Andre Lebon

ALBA Lunéville 3 E 717 4 aoust 1681

retrait lignager des mains d'ANTHOINE JOLY par CHRISTOPHE LE BON à Crion et MARTIN LE BON son frère lignagers d' ANDRE LE BON et d' ANNE CHARPENTIER sa femme 1 /2 fauchée de pré auban de Maixe entre le sieur LOUIOT d'Arracourt et NICOLAS RAGUIN sont cités : CESAR LOUVIOT DOIQUE ROUYER demeurant à Deuxville

ALBA Lunéville 3 E 717 7 aoust 1681

ANNE CHARPENTIER femme à ANDRE LE BON dettes à NICOLAS OUCHARD CHRISTOPHE LE BON régent à Crion fils des dits débiteurs

LEBON 34 E 128 décembre 1715

CHRISTOPHE et MARTIN LEBON régent d'école à Crion , joueur de violon au bourg de Lunéville cèdent à PAUL LEBON vigneron à Maixe et ELISABETH BRUSSON une mazure à maixe .... ANNE CHARPENTIER leur mère

MENGIN Serres 3 E 3529 19 avril 1661

ANDRE LE BON dmt à Maixe fff ANNE CHARPENTIER sa fee à cause delle vente à ANTHOINE LOUVIOT X CLAUDE HENRY sa fee procureur doffices à haraucourt une pièce de vigne à Maixe

Thomas MANGEART Einville 3 E 431 11 mars 1666

JACQUES HUMBERT seigneur de Hénaménil dmt à Einville ff de MARIE APPAOU ? sa fee laisse à ANDRE et NICOLAS LEBON père et fils laboureur à Maixe et ANNE et MANGEON leurs femmes 4 cavalles ... nommées ensuite leurs femmes ANNE CHARPENTIER MANGEON NOIREL

ALBA Lunéville 3 E 716 6 mars 1677

du 6 mars 1677 sur les 2 heures de relevée à Lunéville Comme ainsi soit que procès et différend ait été mené et intenté en la justice du ban de La Val à Dombasle entre ANDRE LE BON vigneron demeurant à Maixe demendier d'une part, et NICOLAS JEANROY JEAN CHARLES en qualité qu'ils prendent et MARGUERITE GERARDIN veuve d' EPNON LHOMMEE tous dmt au dit Dombasle défendierr d'autre part contre NICOLAS RAGUIN CESAR LOUVIOT ANTHOINE LIEGEY FRANCOIS HUSSON VINCENT VINCENT et CLAUDON DURAND aussi du dit lieu défendeurs en la dite sommation sur ce que l e dit LEBON à cause d'ANNE CHARPENTIER sa femme héritière de JACQUES CALOT son ayeul maternel estant propriétaire d'une maison size au dit Maixe entre NICOLAS VAULTRIN d'une part et JEAN PEUCHAT d'autre , les dits JEAN ROY et consors déffendeurs originaires l'aurayent démolis et ruinée et disposé des mathériaux provenant d'icelle comme bon leur aurait semblé , ce qui aurait obligé le dit ANDRE de les faire assigner en la dite justice de Dombasle pour se voir solidairement conduits et par corps aux dommages et intérests procédant de la démolition par eux faite de la maison, Lesquels JEAN ROY et consors estant fondéz sur un traitté fait entre eux et les dits RAGUIN et consors dudit Maixe , par lequel les dits RAGUIN et consors leur auroyent vendu z le troisième janvier 1649 les mathériaux de la dite maison pour la somme de 80 francs. Ils auroyent faict appeler les dits RAGUIN et consors en la justice du dit Dombasle pour leur porter garantie et faire cesser la poursuite originaire contre eux faite par le dit LE BON , et comme pendant le procès qui était en droit et prest à juger , les dits LIEGEY , DURAND, VINCENT et HUSSON seraient décédés , le dit LEBON pour faire valablement prononcer un jugement sur le dit procès , auroit fait assigner les dits JEAN ROY et consors du dit Dombasle pou voir estre dit qi'ils seroyent incessamment appellez veufves ou héritiers des dits deffuncts pour reprendre le procès au lieu et place d'iceux , ce qu'ayant esté ordonné en les choses demeurées de tel estat les dittes parties pour éviter à plus longues involution de procès auroyent esté conseillées d'en transiger comme s'ensuit scavoir que le dit LE BON comparant en personne et JOSEPH LOUVIOT au nom et comme ayant charge de CESAR LOUVIOT son père , PIERRE RAGUIN dmt au dit Maixe aussi au nom et comme ayant charge de NICOLAS RAGUIN son père , CHARLES LE MOINE aussi du dit Maixe au nom de JEANNE CUNY veuve du dit LIEGEY sa belle mère , et CHRISTOPHE HUSSON dmt à serres tt en son nom que fff d'ELISABETH BARBIER sa mère veuve du dit FRANCOIS HUSSON et de MARIE HUSSON sa femme BASTIEN BRIEL à cause de MARIE HUSSON sa femme soeur du dit CHRISTOPHE et JEAN DURAND au nom et comme ayant charge de NICOLLE RAIMBAULX sa mère veuve du dit CLAUDON DURAND en ce que le fait les touche ou peut toucher et tous ensemblement fff de BARBE PETITJEAN veuve du dit VINCENT VINCENT comparant par devant le tabellion général en Lorraine soussigné et en présence des témoins en bas nommés ont promis et se sont solidairement obligés de payer au dit LE BON entre les mains néanmoins de CHRISTOPHE LE BON maître d'escolle à Crion son fils présent et acceptant la somme de 750 francs et ce dans 8 jours à peiié de tous despens dommages et intérêts pour être la dite somme de 700 francs employée au restablissement de la dite maison . Et les 50 francs restant scavoir remyt 5 francs pour une coiffe à la dite CHARPENTIER sa femme , et les autres 25 francs restant aux , et sans lequel employ la présente transaction n'aurait été faitte , Et du temps que besoin serait le dit ANDRE LE BON a fait cesion et transport à CHRISTOPHE LE BON son fils de la somme de 700 francs à l'effet de l'employ cy dessus , dont toutes les dittes parties se sont tenues pour signifiées , Et comme par traité fait entre le dit deffunct CLAUDON DURAND, et NICOLAS VOSGIEN maréchal ferrant dmt audit Maixe , iceluy aurait porté quitte et déchargé le dit deffunct DURAND pour 1/7ème seulement des prétentions que le dit ANDRE LE BON pourait avoir à l'encontre de luy pour raison de la desmolition de la maison dont il s'agit. Les dits LOUVIOT RAGUIN et consors du dit Maixe ont promis en faveur de la présente transaction de les porter quitte et décharge le dit LEBON son beau-père pour le dit 1/7ème seulement sans que le dit VOSGIEN en puisse estre en aucune fasson inquiété # entendu en outre entre les parties que les dits LOUVIOT RAGUIN et consors deschargeront pareillement le dit ANDRE LE BON des despens qui pourroyent estre prétendus à l'encontre de luy par les dits JEAN ROY JEAN CHARLES et MARGUERITE GERARDIN défendeurs originaires Le tout sauf le recourt des dits LOUVIOT RAGUIN LEMOINE DURAND et HUSSON contre qui ils trouveront à faire ; par et leurs indemnités réservées les uns contre les autres en cas de deffault de payement . Et moyennant tout quoy les dictes parties sont hors de temps difficultés et procès à l'esgard de la dite maison circonstance et dépendance promettant les dites parties respectueusement d'avoir pour aggréable ferme et stable la présente transaction sans y contrevenir sous l'obligation de tous leurs biens . Fait et passé en présence du Sieur FRANCOIS ANTHOINE substitut de Monsieur le procureur général au baillage de Lunéville et PIERRE PATAUD marchand dmt au dit Lunéville témoins qui ont signé avec toutes les parties excepté ANDRE LEBON et CHARLES LE MOINE qui ont fait leurs marques tous de connaissance # et sans que le dit ANDRE LE BON puisse prétendre pour raison de ce aucune choses davantage contre les dits LOUVIOT RAGUIN et consors que la somme de 750 francs ci devant mentionnée.

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