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André Robert Raimbourg

Birthdate:
Birthplace: Prétot-Vicquemare, Seine-Maritime, Normandy, France
Death: September 23, 1970 (53)
Paris, Paris, Île-de-France, France
Immediate Family:

Son of Albert Raimbourg and Eugénie Pascaline Hortense Raimbourg
Husband of Jeanne Raimbourg
Father of Private and Private
Brother of René Raimbourg and Denise Marie Thérèse Raimbourg
Half brother of Denise Menard; Marcel Menard and Thérèse Menard

Managed by: Pierre Quenee
Last Updated:

About Bourvil

André Bourvil, born André Robert Raimbourg (French pronunciation: ​[%C9%91%CC%83d%CA%81e buʁˈvil]; 27 July 1917, Prétot-Vicquemare, France – 23 September 1970, Paris), often known mononymously as Bourvil, was a French actor and singer best known for his roles in comedy films, most notably in his collaboration with Louis de Funès in the films Le Corniaud (1965) and La Grande Vadrouille (1966). For his performance in Le Corniaud, he won a Special Diploma at the 4th Moscow International Film Festival.[1]

Biography

His father was killed in the First World War before Bourvil was born. As a result, he spent his entire childhood in the village of Bourville, the name of which inspired his stage name. He married Jeanne Lefrique on 23 January 1943. After a battle with Kahler's syndrome, which attacks the bone marrow, he died at the age of 53. He is buried in Montainville, Yvelines.

Career

In his comic performances Bourvil principally played roles of gentle and well-meaning characters who were often a bit obtuse or naïve, such as his roles opposite the hyperactive, dishonest and bossy ones played by Louis de Funès. Bourvil's characters not only managed to make viewers laugh, but also to save themselves, often unwittingly, from the Machiavellian designs of his adversaries.

Bourvil was, however, also capable of more dramatic roles such as the handyman in L'Arbre de Noël (1969). In this role he observes the relationship between a man he works for and the young son who has fallen ill. The audience can identify with the character played by Bourvil, just as they can in his comic roles, so often as a simple man. One can also note his role of Monsieur Thénardier in the film adaptation of Les Misérables (1958), and his last role as the policeman Mattei in Jean-Pierre Melville's Le Cercle rouge (1970).

In March 1948, Bourvil took part in the complete recording of Offenbach's The Tales of Hoffmann with artists of the Paris Opéra-Comique conducted by André Cluytens, playing the four 'servant' roles

https://en.wikipedia.org/wiki/Bourvil

About Bourvil (Français)

André Raimbourg, dit Bourvil, est un acteur, chanteur et humoriste français, né le 27 juillet 1917 à Prétot-Vicquemare (Seine-Inférieure) et mort le 23 septembre 1970 à Paris.

Biographie

Jeunesse et début de carrière

André Raimbourg, alias Bourvil, est le deuxième garçon d'Albert Raimbourg (1889-1918), décédé de la grippe espagnole durant la Première Guerre mondiale et d'Eugénie Pascaline Hortense Raimbourg (1891-1970), agriculteurs. Il passe son enfance avec sa mère et le nouveau mari de celle-ci, un agriculteur nommé Joseph Adrien Menard, à Bourville, village natal de sa mère où elle est revenue en 1921. Il a ainsi un frère aîné, René Raimbourg, une sœur cadette Denise Marie Thérèse Raimbourg (1919-2006), une demi-sœur Thérèse Menard et un demi-frère, Marcel Menard, futur maire de la commune de Bourville.

Bon élève, il obtient son certificat d'études avec la mention très bien. On le destine à devenir agriculteur, mais il entame des études d'instituteur à l'école primaire supérieure pour garçons de Doudeville. Rebuté par les règles strictes du pensionnat, il retourne deux ans après à la ferme familiale. Il est également un enfant de chœur espiègle et anime régulièrement des fêtes familiales, banquets et kermesses. Il y reprend les chansons de Fernandel en faisant le pitre, ce qui lui vaut rapidement le surnom de « Fernandel normand ». De temps en temps, la famille attelle le cheval de la ferme et se rend au marché de Fontaine-le-Dun, chef-lieu de canton. C'est en 1936, dans cette commune qu'il intègre la fanfare (dans laquelle il joue de l'harmonica, de l'accordéon et du cornet à pistons) et qu'il rencontre un soir à un bal de fête, Jeanne Lefrique (1918-26 janvier 1986) dont le père est contremaître à la sucrerie du bourg.

Mitron à 17 ans dans la boulangerie de Monsieur Beaufils à Saint-Laurent-en-Caux, il devient boulanger à Rouen en 1936. En 1937, il a la révélation, lorsqu'il assiste au spectacle de son idole Fernandel au cirque de Rouen. Il est décidé à devenir artiste.

Afin de pouvoir choisir son arme, et ainsi rejoindre la musique militaire, il décide de devancer l'appel et s'engage dans l'armée pour deux ans de service militaire. Il est affecté le 20 février 1937 dans le 24e régiment d'infanterie à Paris. Cornettiste dans la fanfare du régiment, il fait rire ses camarades de chambrée qui lui lancent un défi en 1938 : s'inscrire au radio-crochet Les Fiancés de Byrrh à Radio-Paris. Sous le pseudonyme d’Andrel (en référence à son modèle Fernandel), il interprète la chanson Ignace et gagne le Prix Byrrh, trois cents francs, aussitôt employés à acheter un accordéon.

Démobilisé après la bataille de France, il exerce de nombreux petits métiers (plombier, garçon de courses pour une entreprise fiduciaire) dans la capitale, mais poursuit sa carrière musicale : radio-crochets, cabarets, music-halls. Les imitations de Fernandel ne faisant plus recette, il se crée le personnage du « comique-paysan » naïf en rabattant sa frange sur le front et en s'affublant d'un pantalon noir et d'une veste étriquée : Andrel devient Bourvil en 1942. Son cousin éloigné( lien familial), Lucien Raimbourg étant déjà dans le métier, il choisit ce nom de scène, afin d'éviter toute confusion, en référence au village de son enfance. Il sera parfois nommé « André Bourvil » (il existe d'ailleurs un « Théâtre André Bourvil » à Paris, XIe arrondissement). C'est sous ce nom qu'il apparaît au générique et à l'affiche de l'avant-dernier film qu'il a tourné, Le Cercle rouge.

Il épouse le 23 janvier 1943, Jeanne Lefrique, avec qui il aura deux fils :

Dominique Raimbourg (né le 28 avril 1950), avocat pénaliste et député de la Loire-Atlantique ; Philippe Raimbourg (né le 18 mars 1953), professeur de finance à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à l'ESCP Europe.

Jeune artiste en quête de succès, il s’installe avec son épouse à Vincennes, dans un minuscule appartement du 25 rue des Laitières, au septième étage sous les toits, où il restera jusqu’en 1947. Il enchaîne ses numéros de « comique-paysan » (dérivé du comique troupier) à l'accent traînant avec un nouveau répertoire musical, mettant la musique sur les textes de son ami accordéoniste Étienne Lorin rencontré en 1939. C'est avec la chanson Les Crayons que sa carrière débute vraiment en 1945. C'est d'ailleurs avec cette chanson qu'il fait sa première apparition au cinéma, en 1945, dans La Ferme du pendu, de Jean Dréville.

Un acteur reconnu

Les premiers films le cantonnent dans son personnage de benêt, mais il se rend progressivement compte qu'il doit le renouveler. Sa popularité commence en effet à baisser et il connaît son premier revers cuisant le 9 décembre 1951 : invité à se produire en vedette devant son public dans un gala au cirque de Rouen, il est sifflé par les Normands vexés de l'image de paysan nigaud qu'il donne d'eux. Il abandonne alors les tours de chant, se lance dans l'opérette (notamment avec sa grande complice Pierrette Bruno dont il doit se séparer en 1962 lorsque la presse évoque leur liaison) et, malgré les réticences initiales de Marcel Aymé et du producteur, est engagé par Claude Autant-Lara en 1956 dans le film La Traversée de Paris où il montre toute la palette de son jeu d'acteur.

Dans la cinquantaine de films qu'il a tournés, le comique de Bourvil repose principalement sur des rôles de gentil, parfois un peu bête ou naïf, comme les rôles qu’il a tenus face à l’énergique Louis de Funès : le personnage incarné par Bourvil parvient toujours, par sa gentillesse, non seulement à faire rire, mais aussi à échapper aux manipulations des personnages machiavéliques interprétés par de Funès.

C'est en 1963 qu'il rencontre Jean-Pierre Mocky qui lui propose de tenir le rôle d'un pilleur de tronc dans Un drôle de paroissien, rôle qu'avait refusé Fernandel. Contre toute attente ce film fut un énorme succès populaire. Bourvil tournera trois autres films avec Mocky. Quand Bourvil citera ses six films préférés ce sera Le Cercle rouge, La Traversée de Paris et les quatre qu'il tourna avec Mocky.

Bourvil a cependant tenu des rôles plus dramatiques, comme l’homme à tout faire dans L'Arbre de Noël, dans lequel il aide un petit garçon atteint d'une leucémie à assouvir sa passion pour les loups. Dans ce film, comme dans les films comiques, le spectateur peut facilement s’identifier au personnage joué par Bourvil, car c’est un homme simple. Dans Le Miroir à deux faces, son jeu est méconnaissable : face à Michèle Morgan, il incarne un homme qui manipule une femme laide pour pouvoir l'épouser, puis, lorsque celle-ci devient belle grâce à une opération, il devient ignoble avec elle, jusqu'à la harceler et lui retirer ses enfants. On peut enfin citer son rôle de l'odieux Thénardier dans l’adaptation cinématographique des Misérables, ou encore son avant-dernier rôle, celui d’un commissaire de police dans Le Cercle rouge. Ce grand comique arrive même à verser des larmes dans Fortunat à l'annonce de la mort d'une institutrice qu'il considérait comme sa mère.

Bourvil était un homme très cultivé. Dans les années cinquante, aimant le calme de la campagne, il choisit le petit village de Montainville, car bien relié à Paris par l'autoroute de l'Ouest. Son ami Georges Brassens, qui habitait non loin de là, à Crespières (Yvelines) au Moulin de La Bonde, confiait qu’il était le parfait honnête homme, façon xviie siècle et qu'il lui suggérait des lectures. Il partageait avec Brassens une connaissance encyclopédique de la chanson française. Il connaissait aussi Jean-Paul Sartre et on pensa à lui pour la Comédie-Française

Jean-Pierre Mocky a tourné quatre films avec Bourvil (Un drôle de paroissien, La Cité de l'indicible peur, La Grande Lessive (!) et L'Étalon). Mocky a donné à Bourvil des rôles à contre-emploi. Il reste aujourd'hui une référence pour de nombreux artistes. François Morel et Antoine de Caunes ont notamment réalisé un portrait de lui, en mars 2005, dans le cadre de l’émission télévisée sur le plus célèbre des Français à travers les siècles, classement dans lequel il arrivait en 7e position[ gage d’une très grande popularité, 35 ans après sa disparition. Il parlait le français, l'anglais et un peu l'espagnol dans les films qu'il tournait.

Derniers films et décès

En 1968, lors du tournage des Cracks, Bourvil chute lourdement à vélo. Hospitalisé, il en profite pour subir l'ablation à l'oreille d'un simple kyste qui le gêne depuis deux ans. Le chirurgien fait alors un prélèvement et diagnostique un cancer de la moëlle osseuse (cancer du sang) la maladie de Kahler (myélome multiple). Lorsque son médecin l'en informe, Bourvil décide de ne pas en parler aux gens de sa profession, mais les rumeurs de son cancer courent et les assureurs s'inquiètent. Ses jours sont comptés, alors qu'il est au faîte de la gloire. Pour tenter de prouver sa bonne santé, il accepte de jouer le rôle principal dans L'Étalon, film tourné en seize jours avec des contrats journaliers, car les compagnies d'assurance ne le couvrent que dix-sept jours (le réalisateur Jean-Pierre Mocky lui avait fait raser le crâne pour dissimuler son alopécie, effet secondaire de la chimiothérapie). Son dernier rôle cinématographique est une apparition dans la comédie érotique Clodo et les vicieuses, un rôle accepté par amitié envers Georges Clair, le réalisateur du film, qui ne connaîtra qu'une très confidentielle distribution.

Après une longue agonie, Bourvil s'éteint à l'âge de 53 ans le 23 septembre 1970, au milieu des siens, dans son appartement parisien du boulevard Suchet Il venait de terminer le tournage du Cercle rouge avec Alain Delon et Yves Montand. Son dernier tournage Le Mur de l'Atlantique fut éprouvant, l'acteur souffrant énormément. Les deux films sortirent quelques semaines après sa mort.

Bourvil repose à Montainville (Yvelines), village où il avait sa maison de campagne. Le décès de Bourvil mit fin à plusieurs projets cinématographiques et théâtraux : L'Albatros de Jean-Pierre Mocky ; une Guerre des Gaules et les tribulations de deux frenchies aux États-Unis, avec Louis de Funès, de Gérard Oury ; les aventures d'un tonique curé de campagne du Pays de Caux imaginées par l'abbé Alexandre. Au théâtre, il aurait dû retrouver de Funès dans Le Contrat, pièce écrite par Francis Veber et mise en scène par Jean Le Poulain).

Seuls L'Albatros, La Folie des grandeurs, tirée de Ruy Blas (Yves Montand le suppléant) et L'Emmerdeur, issu du Contrat (avec Jacques Brel comme premier François Pignon) furent ensuite réalisés.

Jeanne Lefrique, son épouse, née en 1918, meurt le 26 janvier 1986 dans un accident de voiture, alors qu’elle se rend de Paris à Montainville sur la tombe de son époux.

Rôles et œuvres

Bourvil a reçu le prix du meilleur acteur du festival de Venise (la Coupe Volpi) pour son rôle dans le film La Traversée de Paris (d’après l’œuvre de Marcel Aymé). Comédien complet, il a choisi à maintes reprises des rôles traitant de sujets de société, notamment en coproduisant les films avec Jean-Pierre Mocky (La Cité de l'indicible Peur ou La Grande Frousse, La Grande Lessive (!)…). Il a également assuré le doublage de ses films en anglais.

Wikipedia (juillet 2017)

Individual Note

Après un apprentissage de boulanger, il partit en région parisienne pour tenter une carrière musicale, qu'il commença par des radio-crochets. Jeune artiste en quête de succès, il s’installe avec son épouse, à Vincennes dans un minuscule appartement de la rue des Laitières, au septième étage, sous les toits (il y restera jusqu’en 1947). Il enchaina ensuite avec des numéros de « comique-paysan » (dérivé du comique troupier), mais c'est avec la chanson Les Crayons que sa carrière débuta vraiment en 1945. C'est d'ailleurs avec cette chanson qu'il fit sa première apparition au cinéma, en 1945 dans La Ferme du pendu, de Jean Dréville. Le jeu comique de Bourvil a reposé principalement sur des rôles de gentils, parfois un peu bêtes ou naïfs, comme les rôles qu’il a tenus face à l’énergique Louis de Funès : le personnage incarné par Bourvil parvient toujours, par sa gentillesse, non seulement à faire rire, mais aussi à échapper aux manipulations des personnages machiavéliques interprétés par de Funès. Bourvil a cependant tenu des rôles plus dramatiques, comme l’homme à tout faire dans L'Arbre de Noël, dans lequel il aide un petit garçon atteint d'une leucémie à assouvir sa passion pour les loups. Dans ce film comme dans les films comiques, le spectateur peut facilement s’identifier au personnage joué par Bourvil, car c’est un homme simple. On peut aussi citer son rôle de Thénardier dans l’adaptation cinématographique des Misérables, ou encore son avant-dernier rôle, celui d’un commissaire de police dans Le Cercle rouge. Bourvil était un homme très cultivé. Son ami Georges Brassens, devenu son voisin à Montainville, confiait qu’il était le parfait honnête homme, façon XVIIe siècle et lui suggérait des lectures. Il partageait avec Brassens une connaissance encyclopédique sur la chanson française. Il connaissait aussi Jean-Paul Sartre et on pensa à lui pour la Comédie-Française. Il reste aujourd'hui une référence pour de nombreux artistes. François Morel et Antoine de Caunes ont notamment réalisé un portrait de lui, en mars 2005, dans le cadre de l’émission télévisée sur le plus célèbre des Français à travers les siècles, classement dans lequel il arrivait en 7e position, gage d’une très grande popularité, 35 ans après sa disparition. Il parlait le français, l'anglais et un peu l'espagnol dans les films qu'il tournait. Il est parfois désigné par le nom d'« André Bourvil » (il existe d’ailleurs un « Théâtre André Bourvil » à Paris, XIe arrondissement). C'est sous ce nom qu'il apparaît au générique et à l'affiche de l'avant-dernier film qu'il a tourné, Le Cercle rouge. Il remercia Jean-Pierre Melville, le réalisateur, pour avoir mentionné ainsi son prénom. Bourvil a reçu le prix du meilleur acteur du festival de Venise (la Coupe Volpi) pour son rôle dans le film La Traversée de Paris (d’après l’œuvre de Marcel Aymé). Comédien complet, il a choisi à maintes reprises des rôles traitant de sujets de société, notamment en coproduisant les films avec Jean-Pierre Mocky (La Cité de l'indicible Peur ou La Grande Frousse, La Grande Lessive (!)...). Il a également assuré le doublage de ses films en anglais.* Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: Jul 23 2017, 14:09:06 UTC

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Bourvil's Timeline

1917
July 27, 1917
Prétot-Vicquemare, Seine-Maritime, Normandy, France
1970
September 23, 1970
Age 53
Paris, Paris, Île-de-France, France