François Bacquet dit LaMontagne

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François Bacquet dit LaMontagne

Also Known As: "Dit Baquet"
Birthdate:
Birthplace: Lamontjoie, Francescas, Lot-et-Garonne, France
Death: April 10, 1701 (50-59)
Quebec, Quebec, Canada (Décès à l`âge de 55 ans)
Immediate Family:

Son of Feu Renaud Bacquet; Renaud Baquet; Feu Jeanne Montus and Jeanne Baquet
Husband of Anne Lamontagne and Anne Philippe
Father of François Bacquet dit LaMontagne; Feu Marie-Anne Bacquet; Feu Pierre Bacquet and Feu Joseph Bacquet

Occupation: Carignan Regiment, A soldier in the Monteil Company of the Carignan-Salieres Regiment; farmer
Managed by: Timothy Robert Roy
Last Updated:

About François Bacquet dit LaMontagne

http://www.angelfire.com/me4/maryilene/lamontagne.html

Francois was born in a small town called Montjoie in the southwestern part of France, to Renaud Bacquet and Jeanne Montus (Monsus). At age 18, he answered the call to serve his country . France at the time was involved in several areas that had a need for soldiers, and our ancestor, Francois, found himself as a member of the Carignan Regiment commissioned to New France in order to eliminate the Iroquois, who were a constant threat to the new colonists. It is during this time that he adopted the dit name "Lamontagne". There were 4 soldiers who used the surname "Lamontagne", but our ancestor was definitely of the Bacquet family,and in the service of the Company de Monteil aka Poitou. After his tour of duty, Francois decided to remain in New France.

Soldat de Carignan, Cie De Montreal arrived in Quebec in 1665 with the Carignon Regiment Acquired the dit Lamontagne name during his army days. Opted to receive a land grant and stay in New France.


BIOGRAPHIE-BIOGRAPHY: Le fils de Renaud Bacquet et de Jeanne Montus avait vu le soleil à LaMontjoie, petite localité perdue au sud-ouest de la France, aujourd'hui dans le canton de Francescas, arrondissement de Nérac, département du Lot-et-Garonne. Nérac posséda une forteresse féodale au XIe siècle. Sur ses ruines, l'on construisit un château qui servit de résidence à la soeur de François ler, Marguerite de Valois. Les puissants Romains ont même laissé des vestiges de leur civilisation dans cette région.

François Bacquet était originaire d'un territoire éloigné, peu propice à l'envoi de colons en Amérique. Vers l'âge de 18 ans, en 1663 ou au début de 1664, il fut appelé à servir sous les drapeaux de sa patrie dans une compagnie nommé Poitou et commandée par le capitaine François de Tapie de Monteil. La France avait alors un besoin urgent de soldats valeureux pour défendre ses intérêts dans les Antilles.

Le 19 novembre 1663, Alexandre de Prouville de Tracy reçut sa commission de " lieutenant général dans toute l'étendue des terres de notre obédience situées en l'Amérique Méridionale et Septentrionale ... ". Tracy possédait une double mission: déloger les Hollandais des Antilles et, au Canada, porter la guerre jusque dans les foyers iroquois pour les exterminer entièrement.

Sous le commandement de Tracy, une flottille partit de La Rochelle le 26 février 1664. Destination: Cayenne. Elle transportait 650 colons et 4 compagnies d'infanterie: de Broglie, Chambellé, Orléans et Poitou. Au mois de mai 1664, Cayenne tomba aux mains des Français. Puis, les victoires se succédèrent à la grande satisfaction de François Bacquet, dit Lamontagne.

Le 25 avril 1665, le lieutenant général et ses troupes quittèrent la Guadeloupe et se dirigèrent vers le Saint-Laurent. Après avoir mouillé à Percé, l'expédition arriva à Québec le 30 juin. Plusieurs soldats furent hospitalisés. Les autorités conclurent à la nécessité de reposer les troupiers fatigués ou malades, de tracer des chemins, de bâtir des forts, avant l'expédition punitive décrétée pour l'année suivante.

Les militaires de Tracy et ceux du régiment de Carignan furent réunis sous un seul commandement. Le 14 septembre 1666, Tracy et le gros de l'armée marchèrent vers le pays des Agniers au-delà du lac Champlain. Les ennemis s'étaient envolés comme des oiseaux. Il fallut se contenter de la destruction des villages et des récoltes. Cette victoire mitigée avait réussi à terrifier les Iroquois, mais non à les vaincre.

Ce fut, en 1668, la démobilisation générale, le démantèlement du régiment et le retour en France d'un grand nombre de militaires. On dressa alors le " rolle " de ceux qui restaient au pays. C'est ici que nous découvrons, caché, le surnommé Lamontagne de la compagnie de Monteil. Cette liste a été rendue publique d'abord par Benjamin Sulte, ensuite par Francis-J. Audet à la Société royale du Canada, enfin par Régis Roy et Malchelosse. À retenir pour démêler les cartes qu'il y avait 4 soldats portant le surnom Lamontagne: François Dilay, compagnie de Saint-Ours; Pierre Dupuis, compagnie de Petit; Honoré Martel, compagnie de Berthier, François Bacquet, compagnie de Monteil ou de Poitou.

François Bacquet, comme ses compagnons demeurés en Nouvelle-France, fut soldé pendant une année supplémentaire. Quel fut l'emploi de son temps en 1669 et en 1670?... Fit-il partie de la garnison de Québec? Se mit-il au service d'un fermier? Nous ne le saurons jamais.

Colon à Saint-Michel

Talon, le 29 octobre 1672, concéda officiellement en seigneurie à Olivier Morel de la Durantaye un territoire situé à Saint-Michel, aujourd'hui dans le comté de Bellechasse. Les ler mai 1693 et 7 mai 1696, les autorités civiles firent des ajouts à la propriété du seigneur. La seigneurie de la Durantaye s'étendait sur environ 3 lieues de front, côté sud du fleuve, et sur 4 lieues de profondeur, entre les seigneuries de Berthier à l'est et de Beaumont à l'ouest. Sur ce territoire, 2 paroisses virent le jour: Saint-Michel et Saint-Vallier.

Un des tout premiers colons de Saint-Michel fut François Bacquet. L'on peut même se demander si, en 1671 ou au début de 1672, le couple Lamontagne n'était pas déjà occupé à exploiter son lot, le 6e d'après la carte de catalogne faite en 1709. L'on sait que plusieurs seigneurs mirent en valeur leur seigneurie souvent bien avant l'obtention de leur acte officiel de concession. Ne serait-ce pas le cas d'Olivier Morel revenu au pays au mois d'août 1670?

De toutes façons, c'est là que François et Anne vécurent toute leur vie canadienne. Le 20 octobre 1678, Anne Philippe est marraine du dernier enfant de Nicolas Le Roy, Jean-Baptiste.

Le recensement de 1681 nous apprend que François Bacquet, 35 ans, possède à Saint-Michel, 1 vache et 7 arpents de terre en culture. Son premier voisin Pierre Balan, dit Lacombe, en cultive 2; le second, Julien Boissy, dit LaGrillarde, époux de Françoise Grossejambe, nous fait voir 13 arpents en exploitation, 5 bêtes à cornes et 1 fusil.

Enfin, le 21 mars 1712, Olivier Morel concéda officiellement une terre à François Bacquet. Le lot avait 3 arpents de front sur le fleuve avec 40 arpents de profondeur. Il était situé entre " les héritiers de defunt patry et d'autre coste... a françois Rouleaux ". Mieux vaut tard que jamais!

Génération Bacquet-Philippe

Les familles de colons français étaient ordinairement nombreuses. Cependant, celle de François Bacquet et d'Anne Philippe fut en-dessous de la moyenne avec une seule fille et trois garçons: Marie-Anne, François, Pierre et Joseph. Tous naquirent à La Durantaye et y reçurent le baptême, entre 1678 et 1691.

Le 4 décembre 1678, l'abbé Thomas Morel baptisa l'aînée Marie-Anne, née le 23 novembre précédent. L'acte a été inscrit à Québec. Il nous dit qu'André Patry et Marie Ducoudray, femme de François Grenet, furent ses parrain et marraine. Marie-Anne apparaît sur la liste des malades de l'Hôtel-Dieu de Québec pour un séjour d'un mois et demi le 1er mai 1693 et une autre entrée le 24 juillet 1696 à l'âge de 13 ans. Elle ne laissa aucune trace de son existence après cette dernière mention.

Quant à François, le seul à transmettre son patronyme à la descendance, il épousa Élisabeth Guénet, le 2 juin 1710, à La Durantaye. Sa compagne de vie, fille de Pierre Guénet et d'Élisabeth Paquet, lui donna 9 enfants à aimer. Le 2 août 1717, François recevait de son frère Joseph la moitié de la terre paternelle, ou 1 1/21/2 arpent de front. Le curé Jean-Baptiste Lacorne, le 18 octobre 1744, présida les funérailles de François, premier fils de ancêtre. Son épouse était morte depuis le mois de mars 1734.

Le registre de Saint-Joseph de Lauzon garde le souvenir de l'acte de baptême de Pierre Bacquet, célébré le 27 février 1687. Le parrain Pierre Millet lui avait légué son prénom. Pierre fut hospitalisé à l'Hôtel-Dieu de Québec, le 30 novembre 1708. Il décédait, le 4 décembre suivant, à l'âge de 20 ans et 9 mois.

Le cadet Joseph, filleul de Joseph Grégoire, né le 13 octobre 1691, demeura célibataire. Le 7 novembre 1736, il était inhumé dans le cimetière de Saint-Michel.

Telle est en bref la trop courte histoire de la deuxième génération Bacquet-Philippe.

Versant de la montagne

La vie de François Bacquet et de son épouse baigne dans une sérénité exemplaire, aucune esclandre, aucune dispute de taille, au contraire, une vie paisible et heureuse malgré les sacrifices inhérents à la vie des pionniers dispersés sur les bords du fleuve Saint-Laurent. La Grande Rivière, offrait ses poissons; les berges, ses volatiles; la forêt, son gibier varié; la terre neuve, ses blés mûrs.

François Bacquet partit le premier. Après avoir reçu les sacrements de pénitence et l'extrême onction, il fut inhumé à Québec, le 10 avril 1701, devant les témoins Jean Dubreuil, habitant de l'île d'Orléans, et Jacques Michelon, bedeau de la cathédrale.

Anne Philippe, après plus de 7 ans de veuvage, convola en justes noces avec François Marquet, un voisin établi à La Durantaye depuis de nombreuses années. Veuf de Marie Dain, Marquet possédait deux filles: Françoise mariée en 1692, Catherine épouse de Antoine Bourgeois depuis 1697. Le 20 janvier 1709, à Saint-Michel, Anne et François unirent leur solitude. Le nouveau mari mourut le 11 mars 1715. L'aïeule Anne Philippe décéda à son tour, deux mois plus tard, le ler mai. Elle fut inhumée dans le cimetière de la paroisse où elle avait vécu l'espace d'environ 30 ans.

Anne et François Bacquet avaient développé, ensemble, une parcelle de notre grand pays. Ensemble, sur le versant de la montagne, ils avaient planté une tige qui est devenue un grand arbre.

Gilles Martineau

Roughly translated into English:

BIOGRAPHY-BIOGRAPHY: The son of Renaud Bacquet and Jeanne Montus had seen the sun Lamontjoie, a small town lost in the southwest of France, today in the township of Francescas, borough of Nerac, Lot-et-department Garonne. Nerac possessed a feudal fortress in the eleventh century. On its ruins, they built a castle that was the residence of the sister of Francis I, Marguerite de Valois. The powerful Romans also left traces of their civilization in this region.

François Bacquet was from a distant land, not conducive to sending colonists in America. Around the age of 18, in 1663 or early 1664, he was called to serve under the flag of his country in a company named Poitou and commanded by Captain Francis de Tapie de Monteil. France had so urgently need brave soldiers to defend its interests in the Caribbean.

On November 19, 1663, Alexander Prouville Tracy received his commission as "lieutenant general in the whole extent of the lands of our obedience located in South America and Holland ...". Tracy had a double mission: to dislodge the Dutch West Indies and in Canada, carry the war into Iroquois homes to exterminate them completely.

Under the command of Tracy, a flotilla sailed from La Rochelle on February 26 1664. Location: Cayenne. It was carrying 650 settlers and four infantry companies: de Broglie, Chambellé, Orleans and Poitou. In May 1664, Cayenne fell to the French. Then the victories followed one another to the delight of François Bacquet says Lamontagne.

The April 25, 1665, Lieutenant General and his troops left the Guadeloupe and headed for the St. Lawrence. After wetting Percé, the expedition arrived in Quebec June 30 Several soldiers were hospitalized. The authorities concluded on the need to rest tired or sick troopers, trace paths, build forts, before punitive expedition declared for the following year.

Military Tracy and those of the Carignan regiment were united under one command. The September 14, 1666, Tracy and the main army marched Mohawk country beyond Lake Champlain. The enemy had fled like birds. It was simply the destruction of villages and crops. This mitigated victory had managed to terrify the Iroquois, but not overcome.

It was, in 1668, the general demobilization, decommissioning of the regiment and the return to France of a large number of soldiers. We then drew up the "rolle" of those who remained in the country. It is here that we discover, hidden, nicknamed Lamontagne of the company Monteil. This list was first made public by Benjamin Sulte then by Francis-J. Audet to the Royal Society of Canada, and finally by Regis Roy Malchelosse. To remember to sort the cards that there were 4 soldiers with the nickname Lamontagne: François Dilay, Saint-Ours company; Pierre Dupuis, Petit company; Honoré Martel, Berthier company, François Bacquet, company Monteil or Poitou.

François Bacquet, like his companions remained in New France, was ended for another year. What was the use of time in 1669 and in 1670? ... Did he part of the garrison of Quebec? Will he put in a farmer's service? We'll never know.

Colon St. Michel

Talon, October 29, 1672, officially conceded in seigniory to Olivier Morel of Durantaye a territory located in Saint-Michel, now in the County of Bellechasse. The l May 1693 and May 7, 1696, civil authorities made additions to the property of the lord. The lordship of Durantaye stretched about 3 miles from the front, south side of the river, and four leagues in depth between the lordships of Berthier in the east and west of Beaumont. On this territory, 2 parishes were born: Saint-Michel and Saint-Vallier.

One of the first settlers of Saint-Michel was François Bacquet. One may even wonder whether, in 1671 or early 1672 the pair Lamontagne was not already busy exploiting his lot after the 6th Catalonia map made in 1709. It is known that several Lords put off their lordship often well before receiving their official act of concession. Would this not the case of Olivier Morel returned to the country in the month of August 1670?

Anyway, that's where Francis and Anne lived all their life in Canada. On October 20, 1678, Anne Philippe is godmother of the last child of Nicolas Le Roy, Jean-Baptiste.

The 1681 census reveals that François Bacquet, 35, has in Saint-Michel, 1 cow and 7 acres of land under cultivation. His first neighbor Pierre Balan says Lacombe, cultivates 2; the second, Julien Boissy says LaGrillarde, husband of Francoise Grossejambe, shows us 13 acres in operation, 5 cattle and one rifle.

Finally, March 21, 1712, Olivier Morel officially ceded land to François Bacquet. The lot has 3 acres of frontage on the river with 40 acres in depth. It was located between "the heirs of deceased patry sides François Coste ... a Rolls." Better late than never!

Generation Bacquet-Philippe

The families of French colonists were usually numerous. However, that of François Bacquet and Anne Philippe was below average with one girl and three boys: Marie-Anne, Francis, Peter and Joseph. All were born in La Durantaye and there were baptized between 1678 and 1691.

On December 4, 1678, Father Thomas Morel baptized the eldest Marie-Anne, born on 23 November last. The act was registered in Quebec. He tells us that André Patry and Marie Ducoudray, wife of François Grenet, were his godparents. Marie-Anne on the list of patients of the Hôtel-Dieu de Québec for a stay of a month and a half on 1 May 1693 and another input 24 July 1696 at the age of 13. She left no trace of its existence after this last statement.

As for Francis, the only one to pass his surname on to offspring, he married Elizabeth Guénet, June 2, 1710, in La Durantaye. His life companion, daughter of Pierre and Elisabeth Guénet Paquet, gave him nine children to love. On August 2, 1717, received his brother François Joseph half the paternal land or one acre 1/21/2 front. The priest Jean-Baptiste Lacorne, October 18, 1744, presided over the funeral of Francis, first son of ancestor. His wife had died the month of March 1734.

The register of St. Joseph Lauzon has the memory of the baptismal certificate of Pierre Bacquet, celebrated on February 27, 1687. The godfather Pierre Millet had bequeathed him his first name. Peter was hospitalized at the Hôtel-Dieu de Québec, November 30, 1708. He died on December 4, according to the age of 20 years and nine months.

The younger brother Joseph, godson of Joseph Gregory, born October 13, 1691, remained unmarried. On November 7, 1736, he was buried in the cemetery of Saint-Michel.

This is in brief the story too short second generation Bacquet-Philippe.

Mountainside

The life of François Bacquet and his wife bathes in an exemplary serenity, no fuss, no size argument, instead, a peaceful and happy life despite the sacrifices inherent in pioneer life scattered on the banks of the St. Lawrence River. La Grande Rivière, offered its fish; the banks, its volatile; the forest, its varied game; the new land, ripe wheat.

François Bacquet left first. After receiving the sacraments of penance and extreme unction, he was buried in Quebec City, April 10, 1701, before the witnesses Jean Dubreuil, inhabitant of the island of Orleans, and Jacques Michelon, sacristan of the cathedral.

Anne Philippe, after more than seven years of widowhood, convola the knot with François Marquet, a neighbor established in La Durantaye for many years. Widower of Marie Dain Marquet had two daughters: Françoise married in 1692, Catherine wife of Antoine Bourgeois since 1697. On January 20, 1709, at Saint-Michel, Anne Francis and united their loneliness. The new husband died March 11, 1715. The grandmother Anne Philippe died in turn, two months later, on l May She was buried in the cemetery of the parish where she had lived within about 30 years.

Anne and François Bacquet had developed together a parcel of our great country. Overall, the slope of the mountain, they had planted a rod that became a large tree.

Gilles Martineau

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François Bacquet dit LaMontagne's Timeline

1646
1646
Lamontjoie, Francescas, Lot-et-Garonne, France
1678
November 23, 1678
St- Michel de Bellechasse, Quebec, Canada
1682
1682
Cap-Saint-Ignace, Montmagny, Québec, Canada
1687
February 25, 1687
1691
October 12, 1691
1701
April 10, 1701
Age 55
Quebec, Quebec, Canada
April 10, 1701
Age 55