François Charles Mauriac

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François Charles Mauriac

Russian: Франсуа Мориак
Birthdate:
Birthplace: Bordeaux, Gironde, Aquitaine, France
Death: September 01, 1970 (84)
Paris, Île-de-France, France
Place of Burial: Val d'Oise, France
Immediate Family:

Son of Jean-Paul Mauriac and Marguerite Marie Claire Mauriac
Husband of Marguerite Jeanne Mauriac
Father of Jean Marc Claude Mauriac; Jean Mauriac; Marie Thérèse Claire Levachov Wiazemsky and Luce Marie Jeanne Mauriac
Brother of Germaine Marie Joseph Fieux; Marie Joseph Symphorien Raymond Mauriac; Jean Mauriac and Léonard Pierre Mauriac

Occupation: French novelist, essayist, poet, playwright, journalist, Nobel Prize for Literature in 1952, Ecrivain 1952 prix Nobel de Littérature
Managed by: Yigal Burstein
Last Updated:

About François Charles Mauriac

François Mauriac (11 October 1885 – 1 September 1970) was a French author; member of the Académie française (1933); laureate of the Nobel Prize in Literature (1952) "for the deep spiritual insight and the artistic intensity with which he has in his novels penetrated the drama of human life". He was awarded the Grand Cross of the Légion d'honneur (1958).

Biography

He was born François Charles Mauriac in Bordeaux, France. He studied literature at the University of Bordeaux, graduating in 1905, after which he moved to Paris to prepare for postgraduate study at the École des Chartes.

On 1 June 1933 he was elected a member of the Académie française, succeeding Eugène Brieux.

Mauriac had a bitter dispute with Albert Camus immediately following the liberation of France in World War II. At that time, Camus edited the resistance paper (now an overt daily) Combat while Mauriac wrote a column for Le Figaro. Camus said newly liberated France should purge all Nazi collaborator elements, but Mauriac warned that such disputes should be set aside in the interests of national reconciliation. Mauriac also doubted that justice would be impartial or dispassionate given the emotional turmoil of liberation.

Mauriac also had a bitter public dispute with Roger Peyrefitte, who criticised the Vatican in books such as Les Clés de saint Pierre (1953). Mauriac threatened to resign from the paper he was working with at the time (L'Express) if they did not stop carrying advertisements for Peyrefitte's books. The quarrel was exacerbated by the release of the film adaptation of Peyrefitte's Les Amitiés Particulières and culminated in a virulent open letter by Peyrefitte in which he accused Mauriac of homosexual tendencies and called him a Tartuffe.

Mauriac was opposed to French rule in Vietnam, and strongly condemned the use of torture by the French army in Algeria.

In 1952, he won the Nobel Prize in Literature "for the deep spiritual insight and the artistic intensity with which he has in his novels penetrated the drama of human life". He was awarded the Grand Cross of the Légion d'honneur in 1958.[4] He published a series of personal memoirs and a biography of Charles de Gaulle. Mauriac's complete works were published in twelve volumes between 1950 and 1956. He encouraged Elie Wiesel to write about his experiences as a Jew during the Holocaust, and wrote a foreword in Elie Wiesel's book, Night.

He was the father of writer Claude Mauriac and grandfather of Anne Wiazemsky, a French actress and author who worked with and married French director Jean-Luc Godard.

François Mauriac died in Paris on 1 September 1970 and was interred in the Cimetière de Vemars, Val d'Oise, France.

Awards and honors

   * 1926 — Grand Prix du roman de l'Académie française
   * 1933 — Member of the Académie française
   * 1952 — Nobel Prize in Literature
   * 1958 — Grand Cross of the Légion d'honneur

Works

Novels, novellas and short stories

   * 1913 - L'Enfant chargé de chaînes («Young Man in Chains», tr. 1961)
   * 1914 - La Robe prétexte («The Stuff of Youth», tr. 1960)
   * 1920 - La Chair et le Sang («Flesh and Blood», tr. 1954)
   * 1921 - Préséances («Questions of Precedence», tr. 1958)
   * 1922 - Le Baiser au lépreux («The Kiss to the Leper», tr. 1923 / «A Kiss to the Leper», tr. 1950)
   * 1923 - Le Fleuve de feu («The River of Fire», tr. 1954)
   * 1923 - Génitrix («Genetrix», tr. 1950)
   * 1923 - Le Mal («The Enemy», tr. 1949)
   * 1925 - Le Désert de l'amour («The Desert of Love», tr. 1949) (Awarded the Grand Prix du roman de l'Académie française, 1926.)
   * 1927 - Thérèse Desqueyroux («Thérèse», tr. 1928 / «Thérèse Desqueyroux», tr. 1947 and 2005)
   * 1928 - Destins («Destinies», tr. 1929 / «Lines of Life», tr. 1957)
   * 1929 - Trois Récits A volume of three stories: Coups de couteau, 1926; Un homme de lettres, 1926; Le Démon de la connaissance, 1928
   * 1930 - Ce qui était perdu («Suspicion», tr. 1931 / «That Which Was Lost», tr. 1951)
   * 1932 - Le Nœud de vipères («Vipers' Tangle», tr. 1933 / «The Knot of Vipers», tr. 1951)
   * 1933 - Le Mystère Frontenac («The Frontenac Mystery», tr. 1951 / «The Frontenacs», tr. 1961)
   * 1935 - La Fin de la nuit («The End of the Night», tr. 1947)
   * 1936 - Les Anges noirs («The Dark Angels», tr. 1951 / «The Mask of Innocence», tr. 1953)
   * 1938 - Plongées A volume of five stories: Thérèse chez le docteur, 1933 («Thérèse and the Doctor», tr. 1947); Thérèse à l'hôtel, 1933 («Thérèse at the Hotel», tr. 1947); Le Rang; Insomnie; Conte de Noël.
   * 1939 - Les Chemins de la mer («The Unknown Sea», tr. 1948)
   * 1941 - La Pharisienne («A Woman of Pharisees», tr. 1946)
   * 1951 - Le Sagouin («The Weakling», tr. 1952 / «The Little Misery», tr. 1952) (A novella)
   * 1952 - Galigaï («The Loved and the Unloved», tr. 1953)
   * 1954 - L'Agneau («The Lamb», tr. 1955)
   * 1969 - Un adolescent d'autrefois («Maltaverne», tr. 1970)
   * 1972 - Maltaverne (the unfinished sequel to the previous novel; posthumously published.)

Plays:

   * 1938 - Asmodée («Asmodée; or, The Intruder», tr. 1939 / «Asmodée: A Drama in Three Acts», tr. 1957)
   * 1945 - Les Mal Aimés
   * 1948 - Passage du malin
   * 1951 - Le Feu sur terre

Poetry:

   * 1909 - Les Mains jointes
   * 1911 - L'Adieu à l'Adolescence
   * 1925 - Orages
   * 1940 - Le Sang d'Atys

Memoirs : 1931 - Holy Thursday: an Intimate Remembrance

Biography : 1951 - Life of Jesus

About François Charles Mauriac (Français)

François Mauriac, né le 11 octobre 1885 à Bordeaux et mort le 1er septembre 1970 à Paris, est un écrivain français. Lauréat du Grand prix du roman de l'Académie française en 1926, il est élu membre de l'Académie française au fauteuil no 22 en 1933. Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1952.

Biographie

Famille, enfance et formation

Le domaine de Malagar, dont François Mauriac hérita en 1927 et où il écrivit une grande partie de son œuvre.
Charles François Mauriac naît le 11 octobre 1885 dans la maison familiale du 86, rue du Pas-Saint-Georges à Bordeaux4. Il est le dernier d'une fratrie composée d'une sœur aînée, Germaine (1878-1974) et de trois frères, Raymond (1880-1960), Jean (1881-1945) et Pierre (1882-1963).

Son père, Jean-Paul Mauriac (né le 22 mai 1850 à Saint-Pierre-d'Aurillac) est un marchand de bois merrains, banquier et propriétaire terrien dans les Landes de Gascogne, qui avait le goût des lettres mais qui, en sa qualité d'aîné, fut dirigé vers les affaires. Il a épousé à Bordeaux, le 14 janvier 1878 Marguerite Marie Claire Coiffard (née le 14 novembre 1853 à Bordeaux), héritière d'une famille du négoce bordelais Jean-Paul Mauriac meurt prématurément le 11 juin 1887 à Bordeaux à 37 ans des suites d'un « abcès au cerveau ». Marguerite Mauriac meurt le 24 juin 1929 à Lanton.

Orphelin de père à vingt mois, François Mauriac vit toute son enfance très entouré par une mère très pratiquante – dont il est le fils préféré et celui qui gère toutes les affaires familiales –, par sa grand-mère Irma Coiffard (née Abribat) et sous le tutorat de son oncle, Louis Mauriac, magistrat (seul frère cadet de son père). N'ayant pas connu son père, il en interpréta les sentiments profondément laïques et républicains comme contrepoids au formalisme religieux maternel.

François Mauriac apprend à lire et à écrire rue du Mirail, chez la sœur Adrienne, avec Martial-Piéchaud, son plus vieil ami bordelais. Il fait à partir de 1892 ses études primaires puis secondaires chez les Marianistes de l'institution Sainte-Marie Grand-Lebrun à Caudéran, où il fera la rencontre d'un ami d'une vie, André Lacaze.

Outre les divers logements que la famille occupe à Bordeaux, son adolescence est marquée par plusieurs lieux girondins qui tous, marqueront profondément son œuvre : Gradignan où sa grand-mère Irma possède le « Château-Lange », les Landes de Gascogne autour de Langon, Verdelais et surtout l'été à Saint-Symphorien, tous ces bourgs dominés par la bourgeoisie viticole ou ayant fait fortune dans l'exploitation forestière, aux climats lourds de secrets étouffés qu'il peindra dans la plupart de ses romans.

Après avoir écrit, dans son enfance, de petits textes et poèmes, il compose à treize ans sa première réelle œuvre, un mélodrame de jeunesse intitulé Va-t'en !, dédié à sa sœur Germaine.

La mort de sa grand-mère Irma en 1902 est un profond choc pour l'adolescent. Il constate la profonde hypocrisie de sa famille religieuse et bourgeoise qui se partage déjà l'héritage à côté de l'agonisante.

François Mauriac rate la seconde partie du baccalauréat de philosophie et doit redoubler, préférant refaire une année au lycée public de Bordeaux. Dans cet établissement, il a notamment pour professeur Marcel Drouin, beau-frère d'André Gide, qui lui fait découvrir les textes de Paul Claudel, Francis Jammes, Henri de Régnier, Arthur Rimbaud, Charles Baudelaire, Colette et André Gide (notamment L'Immoraliste et Les Nourritures terrestres qui le marqueront), tous proscrits dans sa famille et chez les pères, finissant ainsi de constituer son corpus littéraire personnel. Il découvre également à cette époque les textes et idées de Maurice Barrès qui marqueront sa jeunesse.

Après son baccalauréat obtenu en juillet 1904, il étudie la littérature à la faculté de Bordeaux, sous la direction de Fortunat Strowski. Il a alors pour condisciple Jean de La Ville de Mirmont et se lie d'amitié avec André Lafon.

À cette époque, il habite toujours avec l'ensemble de sa famille, dans divers appartements et immeubles de Bordeaux, dont le 15 rue Rolland de 1903 à 1907, et fréquente à partir de 1905 les cercles bordelais du Sillon de Marc Sangnier, mouvement catholique « ouvriériste » dont il se sent proche mais qui le laisse insatisfait et dont il s'écarte définitivement en juin 1907.

Sa famille l'envoie avec une rente annuelle de 10 000 francs à Paris, où il s'installe le 16 septembre 1907 — tout d'abord dans une pension étudiante de frères maristes au no 104 de la rue de Vaugirard où il réside un an avant d'être exclu, puis quelques mois dans l'hôtel l'Espérance voisin, et enfin seul en 1909 au cinquième étage du no 45 de la rue Vaneau — pour préparer l'École des chartes qu'il intègre mais abandonne presque aussitôt : plus tard, il écrira en effet que ces études lui convenaient « comme le métier de coiffeur à une écrevisse ».

Dès lors, il se consacre entièrement à l'écriture en publiant des poèmes, à son compte, dans la Revue du temps présent

....

Wikipedia

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François Charles Mauriac's Timeline

1885
October 11, 1885
Bordeaux, Gironde, Aquitaine, France
1914
April 25, 1914
16ème, Paris, Île-de-France, France
1917
1917
1919
1919
1924
August 15, 1924
Paris, Île-de-France, France
1970
September 1, 1970
Age 84
Paris, Île-de-France, France
????
Cimetière de Vemars, Val d'Oise, France