Vincent Bollore

public profile

Is your surname Bollore?

Research the Bollore family

Share your family tree and photos with the people you know and love

  • Build your family tree online
  • Share photos and videos
  • Smart Matching™ technology
  • Free!

Vincent Bollore

French: Vincent Claude Henri Bolloré
Birthdate:
Birthplace: Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine, Île-de-France, France
Immediate Family:

Son of Michel Marie René Gaston Marc Bolloré and Monique Yvonne Jeanne Henriette Bolloré
Husband of Private
Ex-husband of Private
Father of Private; Private; Private and Private
Brother of Private; Private; Private and Private

Occupation: industriel et homme d'affaires français, président de sociétés
Managed by: Private User
Last Updated:
view all

Immediate Family

About Vincent Bollore

Vincent Bolloré (born 1 April 1952) is a French businessman. He is the chairman and CEO of the investment group Bolloré.[2]

Early life

Bolloré was born in Boulogne-Billancourt. He attended the Lycée Janson de Sailly, before graduating with a Master of Laws (LLM) degree from Université Paris X Nanterre. Bolloré started his career as an investment bank trainee at Edmond de Rothschild. [3]

Career

Bolloré's personal investment career began when he took over at his family-controlled conglomerate Bolloré,[4] which deals in maritime freight and African trade, and paper manufacturing (cigarette and bible paper). Bolloré employs 33,000 people worldwide. He is a well-known corporate raider in France who has succeeded in making money by taking large stakes in French listed companies, in particular the building and construction group Bouygues, where he left with a sizeable capital gain after a power struggle.

In late 2004, his investment group started building a stake in advertising group Havas, becoming its largest single shareholder. He mounted a coup and replaced Alain de Pouzilhac as CEO in July 2005. In 2005, through his family company, he expanded his media interests by launching the Direct 8 television station. Towards the end of 2005, he began building a stake in independent British media planning and buying group, Aegis. As of July 2006, his stake in Aegis stood at 29%.[5] Direct Soir, a free newspaper, was launched in June 2006. In January 2008, he manifested interest in becoming a shareholder of famed, but troubled, Italian car manufacturer Pininfarina. The Bolloré Group also has important positions in the economies of several former French colonies in Africa (in particular Ivory Coast, Gabon, Cameroon, and Congo).

Personal life

He has four children from his first union, Sébastien, Yannick, Cyrille and Marie. He is married to Anaïs Jeanneret, a French writer.

He is ranked 329th richest person in the world according to Forbes, with an estimated fortune of US$4 billion.[6]

He is a close personal friend of former French President Nicolas Sarkozy. It has been said that their friendship goes back over 20 years.[7] Sarkozy has been criticized for accepting vacations from Bolloré, as did president Georges Pompidou with Vincent's father, Michel Bolloré. They have both stated that no conflict of interest exists.

Wikipedia

About Vincent Claude Henri Bolloré (Français)

Vincent Bolloré, né le 1er avril 1952 à Boulogne-Billancourt, est un industriel et homme d’affaires français.

Président-directeur général du groupe Bolloré, il est également à la tête des conseils de surveillance de Vivendi et du groupe Canal+. En 2016, sa fortune est estimée à 7,3 milliards d'euros, ce qui fait de lui la dixième fortune française.

Biographie

Origines, études et vie privée

Vincent Bolloré est issu d’une famille d'industriels bretons : fils de Michel Bolloré (1922-1997) et de Monique Follot, dont la mère, Nicole Goldschmidt1, a beaucoup compté pour lui. Il est le père de quatre enfants issus de son union avec Sophie Fossorier : Yannick, Sébastien, Cyrille et Marie. Il a été le compagnon d'Anaïs Jeanneret.

Sa résidence principale est dans la villa Montmorency (16e arrondissement de Paris).

Ancien élève du lycée Janson-de-Sailly, il est titulaire d'un DESS de droit à l’université Paris X Nanterre.

Activités professionnelles

Groupe Bolloré

Vincent Bolloré commence sa carrière en 1970 à l'âge de 18 ans, à la banque de l'Union européenne industrielle et financière, avant d'être nommé, en 1975 à l'âge de 23 ans, directeur-adjoint à la Compagnie financière Edmond de Rothschild, alliée de la famille Bolloré.

En 1981, il reprend avec son frère Michel-Yves Bolloré la papeterie familiale OCB, alors en grande difficulté, et la sort de sa tradition papetière en la recentrant sur les sachets à thé, puis investit dans le secteur industriel des films plastiques ultrafins utilisés dans l'industrie des condensateurs.

En 1992, il investit dans la compagnie de transport maritime Delmas-Vieljeux, mais cet investissement ne sera pas porteur.

En 1998, il empoche 240 millions d'euros de plus-value après être sorti du groupe Bouygues.

Il se lance ensuite dans les médias en 2000 et dirige pendant un temps à partir de 2001 la banque d'investissement italienne Mediobanca, dont il restera actionnaire. Puis, il est présent dans la publicité et la communication avec le groupe français Havas et le britannique Aegis ainsi que la presse gratuite (Direct Matin) (les parts Aegis qui seront revendues au Japonais Dentsu en juillet 2012).

En trente ans, Vincent Bolloré parvient à faire de l'entreprise groupe Bolloré un conglomérat international présent dans les secteurs de l'énergie, de l’agriculture (participations dans de nombreuses plantations d'huile de palme en Afrique, notamment au Cameroun, vin en France), du transport, de la logistique, du fret maritime (notamment la gestion de nombreux terminaux maritimes de conteneurs en Afrique), de la publicité (Havas) ou encore des médias (Direct Matin, institut de sondage CSA). Par le biais de ses activités, en 2012 son groupe est présent dans 152 pays, emploie 55 000 personnes et réalise 10,2 milliards d'euros de chiffres d'affaires. Ses activités en Afrique représentent 80 % des bénéfices de son groupe.

En 2011, il obtient le marché de l'Autolib' à Paris ; cela lui permet de mettre en avant la batterie au lithium-métal-polymère produite par le groupe Bolloré, qu'il souhaite étendre à d'autres systèmes urbains avec le système Bluecar, en particulier Lyon et Bordeaux en France, Indianapolis aux États-Unis et à terme des grandes métropoles asiatiques.

Après la revente des chaînes Direct 8 et Direct Star au Groupe Canal+ via un échange d'actions, il devient en 2012 le premier actionnaire de Vivendi. Le 24 juin 2014, il remplace Jean-René Fourtou en tant que président du conseil de surveillance de Vivendi.

Il a prévu de prendre sa retraite le 17 février 2022, le jour du bicentenaire de l'entreprise familiale, et de passer la main à ses quatre enfants. Dans cette perspective, il a nommé trois de ses enfants à des directions de branches du groupe entre 2014 et 2016.

À la tête du groupe Canal +

Début juillet 2015, une rumeur apparaît selon laquelle Vincent Bolloré souhaiterait supprimer l'émission culte de Canal+, Les Guignols de l'info, en raison de l'irrévérence du programme et de l'abus de dérision. D'autres médias affirment qu'il s'agit d'une décision politicienne ayant pour but de favoriser Nicolas Sarkozy dans l'élection présidentielle de 2017.

Fin juillet 2015, Vincent Bolloré interdit personnellement la diffusion par Canal+ du documentaire Évasion fiscale, une affaire française, prévu dans l'émission Spécial Investigation et consacrée à des pratiques d'encouragement de la fraude fiscale qu'organiserait une filiale du Crédit mutuel, la banque Pasche, basée à Monaco. Le journal Mediapart accuse l'affaire d'être « inédite dans l'histoire de Canal + » et met en cause les liens d'amitié entre Vincent Bolloré et Michel Lucas, le patron du Crédit Mutuel, ainsi que les liens d'affaires entre le Crédit Mutuel et Vivendi. Selon la version de Vincent Bolloré, ce reportage a été déprogrammé à cause du fait que les informations étaient déjà sorties dans Mediapart ; il assure par ailleurs n'être jamais intervenu pour déprogrammer ce reportage. Selon lui, cette histoire aurait surtout été utilisée par certains membres de Canal+ pour éviter la diète budgétaire qu’il a appliquée à la chaîne.

Le 3 septembre 2015, Vincent Bolloré, déjà à la tête du conseil de surveillance de Vivendi, prend également la tête de celui de sa filiale Canal+ en tant qu'actionnaire majoritaire de Vivendi. Bertrand Meheut, le président du directoire de Canal+ depuis treize ans, est remplacé par Jean-Christophe Thiery, président de Bolloré Media et fidèle de Vincent Bolloré. Le 24 septembre 2015, le Conseil supérieur de l’audiovisuel auditionne Vincent Bolloré pour qu'il s'explique sur sa stratégie et les limogeages opérés à la tête de Canal+. Vincent Bolloré s'engage à créer un comité d'éthique auprès de Canal + qui, sous la surveillance du CSA, sera chargé de « garantir l'indépendance éditoriale comme celle de l'information ». Vincent Bolloré aura besoin de l'aval du CSA s'il veut supprimer les tranches de programmes en clair et rebaptiser I-Télé, D8 et D17 (futurs C8 et CStar).

Le 12 février 2016, le rédacteur en chef adjoint de Spécial Investigation, Jean-Baptiste Rivoire, confie sur le plateau d’arret sur images que plusieurs propositions d’enquêtes ont été refusées par la direction de la chaîne. Selon lui, la direction a fait savoir qu’elle tenait « avant tout à défendre les intérêts du groupe Canal et estime qu’il est préférable d’éviter certaines attaques frontales ou polémiques à l’encontre des partenaires actuels ou futurs du groupe ». Il indique également que Vincent Bolloré s’est exprimé sur cette censure le 3 septembre 2015 lors du comité d’entreprise de Canal+ : « Il a assumé en disant : "Ce n’est pas de la censure, c’est de la connerie. (…) Il ne faut pas embêter les partenaires du groupe, attaquer la BNP ou le Crédit Mutuel, c’est débile" ». Ces propos figureraient dans le compte-rendu écrit du CE.

Selon Le Figaro, Vincent Bolloré devait quitter la direction de Canal + à l'été 2016. Son bilan divise les médias. Pour certains, il a sauvé Canal + qui était au bord de la faillite avant son arrivée. Pour d'autres, c'est un fiasco, notamment au niveau de l'indépendance des médias et de la liberté d'expression. En effet de nombreuses émissions d'enquête ont été déprogrammées, au profit d'émissions de divertissement, une technique souvent utilisée par les oligarques, comme le dénonce Reporters sans frontières dans son dernier rapport. Ses détracteurs rappellent la purge subie par Canal+, qui a vu le départ de plusieurs journalistes et présentateurs vedettes de la chaîne et la disparition de programmes emblématiques comme le Zapping ou Spécial Investigation.

Le 22 juillet 2016, le groupe Bolloré annonce qu’il réclame 50 millions d’euros à France 2 à la suite de la rediffusion par la chaîne le 21 juillet du reportage de Complément d’enquête consacré à l'homme d'affaires car, selon le groupe, le documentaire « porte atteinte à ses intérêts commerciaux ». Selon le quotidien Le Monde, l’assignation en justice, portée devant le tribunal de commerce de Paris, et non devant un tribunal correctionnel, met en évidence la volonté de Vincent Bolloré de défendre son image, sans contester la véracité des allégations portées contre lui dans le documentaire.

En mars 2017, i-Télé devient CNews. Les anciens employés grévistes de la chaine fondent Explicite, un pure player d'information.

Liens avec le monde politique

En 2007, Vincent Bolloré met son jet privé et son yacht personnel, le Paloma à la disposition de Nicolas Sarkozy, tout juste élu président de la République française. De ces faits, ainsi que du rachat par le groupe Bolloré de la SFP, qui se cumulent avec l'entrée de Vincent Bolloré dans le monde de l'édition, naissent, selon Libération, des controverses sur les commandes publiques de la SFP, et sur les activités du groupe Bolloré en Afrique.

En 2009, un reportage de Benoît Collombat, diffusé le 29 mars et intitulé Cameroun, l'empire noir de Vincent Bolloré, relayé par le site Mediapart, aboutit à un procès en diffamation, gagné par Vincent Bolloré le 6 mai 2010.

En septembre 2013, il annonce qu'il votera pour la candidate PS Anne Hidalgo lors des élections municipales de 2014 à Paris, rendant en même temps hommage au maire sortant Bertrand Delanoë, lequel a permis la mise en place du service de voitures électriques Autolib', dont le groupe Bolloré est l'exploitant.

En avril 2016, Il est débouté d'une plainte contre le journal Bastamag, qui avait décrit des conditions des droits humains « catastrophiques » dans les plantations au Libéria où travaillent « des enfants de moins de 14 ans ».

Fortune

En 2012, Vincent Bolloré est la 11e fortune de France, avec 3,610 milliards d'euros selon Challenges. En 2015, il est classé 9e, avec 11,140 milliards d'euros. En 2016, sa fortune diminue pour se situer à 7,3 milliards

Wikipedia

view all

Vincent Bollore's Timeline

1952
April 1, 1952
Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine, Île-de-France, France