François Pierre Guillaume Guizot

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François Pierre Guillaume Guizot

Birthdate:
Birthplace: Nîmes, Languedoc-Roussillon, France
Death: September 12, 1874 (86)
Abbaye du Val-Richer, Saint-Ouen-le-Pin, Basse-Normandie, France
Place of Burial: Saint-Ouen-le-Pin, Basse-Normandie, France
Immediate Family:

Son of André François Guizot and Elisabeth Sophie Guizot
Husband of Pauline de Meulan and Élisa de Lacroix-Dillon
Partner of Dorothea Herzogin von Biron and Katharina Alexandra Dorothea von Lieven
Father of François Guizot; Henriette Elisabeth Guizot; Pauline Jeanne Guizot and Guillaume Maurice Guizot

Occupation: Président du Conseil des ministres français
Managed by: Alain Robert Pierre Meric
Last Updated:

About François Pierre Guillaume Guizot

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  • Historien. Professeur d’histoire à la Sorbonne
  • Membre de l'Académie Française (1836-1874)
  • Ministre de l'Instruction Publique (1832-1837)
  • Président de la Société de Géographie (1837-1838) Secrétaire général du ministère de l’Intérieur, Ministre de l'Intérieur
  • Ambassadeur de France (à Londres) (février 1840 - octobre 1840)
  • Ministre des Affaires Etrangères (octobre 1840-1847)
  • Président du Conseil (1847-1848)
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Encyclopedia of World Biography on François Pierre Guillaume Guizot

  • The French statesman and historian François Pierre Guillaume Guizot (1787-1874) was a cold and clever politician whose refusal to grant electoral reforms precipitated the February Revolution of 1848. His scholarly publications, however, have been widely praised.
  • Though born at Nîmes on Oct. 4, 1787, François Guizot was educated in Geneva, where his mother had emigrated after his father's execution in 1794. Returning to Paris in 1805, Guizot studied law but soon forsook it for a literary career. The publication of a critical edition of Edward Gibbon's Decline and Fall of the Roman Empire established his reputation as a historian and secured his appointment (1812) to the chair of modern history in the University of Paris. There he became a disciple of the moderate royalist philosopher Pierre Paul Royer-Collard.
  • Guizot took no active part in politics under the Empire, but during the first Bourbon restoration he held the post of secretary general of the Ministry of the Interior. After the Hundred Days he twice held office: secretary general of the Ministry of Justice (1815-1816) and director in the Ministry of the Interior (1819-1820). But the assassination of the Duke of Berry in February 1820 produced a reactionary backlash that swept Guizot and the moderates from office.
  • Out of office for most of the next decade, Guizot concentrated on historical research and writing. From his productive pen came the History of the Origin of Representative Government (2 vols., 1821-1822); History of the English Revolution from Charles I to Charles II (2 vols., 1826-1827); General History of Civilization in Europe (3 vols., 1828); and Histoire de la civilisation en France (4 vols., 1830). Guizot's histories have been justly praised for their excellent scholarship, lucid and succinct style, judicious analysis, and impartiality.
  • Returning to active politics in January 1830, Guizot entered the Chamber as a deputy for Lisieux and immediately joined the opposition to the Polignac ministry. Since 1815 Guizot had shared with Royer-Collard the leadership of the Doctrinaires, who considered the Charter of 1814 the epitome of political wisdom since it established a balance between the power of the Crown, the nobility, and the upper middle classes. As right-wing liberals, they supported the restoration monarchy so long as it governed according to the Charter, but when Charles X attempted to rule by decree, they turned from the Bourbon to the Orleanist dynasty. During the July Revolution of 1830, they helped to elevate Louis Philippe, Duke of Orléans, to the throne.
  • In August 1830 Guizot became minister of the interior. For the next 2 years he gradually became more conservative as a series of Paris disorders instilled in him a fear of anarchy. But his conservatism had deeper roots. A devout Calvinist, he identified the sanctified elect with the political elite, who, he believed, had a divine mission to govern the masses.
  • By October 1832, when he became minister of public instruction, Guizot had assumed leadership of the right-center. His one great legislative act was the law of June 28, 1833--the charter of France's elementary school system--which required every commune to maintain a public primary school. Always the champion of the academic community, he reestablished the Académie des Sciences Morales et Politiques, which Napoleon had suppressed, founded the Société de l'Histoire de France, and published at state expense huge collections of medieval documents and diplomatic dispatches.
  • In February 1840 Guizot went to London as ambassador, but in October he became foreign minister and the dominant personality in the Soult ministry. The tenets of his foreign policy were nonintervention, friendship with Britain, and cooperation with Austria. In 1847 Guizot became premier. But overthrown by the February Revolution of 1848, he went into exile in England. After a year in London, devoted primarily to research in the British archives, he retired to his estate at Val Richer near Lisieux in Normandy.
  • Though Guizot survived the Orleanist monarchy by 26 years, he never reentered the political arena but focused his energy on academic activities and writing historical works. Between 1854 and his death on Sept. 12, 1874, he published the Histoire de la république d'Angleterre et de Cromwell (2 vols., 1854); Histoire du protectorat de Cromwell et du rétablissement des Stuarts (2 vols., 1856); Mémoires pour servir à l'histoire de mon temps (9 vols., 1858-1868); and the Histoire parlementaire de la France (5 vols., 1863), which included his speeches.

Other References

About François Pierre Guillaume Guizot (Français)

François Guizot, né le 4 octobre 1787 à Nîmes et mort le 12 septembre 1874 à Saint-Ouen-le-Pin, est un historien et homme d'État français, membre de l'Académie française à partir de 1836, plusieurs fois ministre sous la monarchie de Juillet, en particulier des Affaires étrangères de 1840 à 1848 et président du Conseil en 1847, avant d'être renversé par la Révolution française de 1848.

Il joue aussi un rôle important dans l'histoire de l'école en France, en tant que ministre de l'Instruction publique, par la loi de 1833, demandant la création d'une école primaire par commune et d'une école normale primaire par département.

Biographie

Origines familiales, enfance

François Pierre Guillaume Guizot naquit à Nîmes dans une famille protestante, alors que l'édit de Fontainebleau était toujours en vigueur : l'édit de Versailles rétablissant la tolérance de leur culte et l'état-civil pour les protestants fut promulgué en novembre 1787. Son père, André, avocat, est le fils de Jean Guizot, « pasteur au Désert ». En décembre 1786, André Guizot épousa à Nîmes Élisabeth-Sophie Bonicel, née en 1765 dans une famille originaire du Pont-de-Montvert. Après François, ils eurent un autre fils, Jean-Jacques (1789-1835).

Durant la Terreur, André Guizot, partisan des Girondins et accusé de fédéralisme, fut exécuté le 8 avril 1794.

À partir de ce moment, sa mère, une femme frêle, aux manières simples, mais d'une grande force de caractère, prit en charge son éducation. C'était une huguenote typique du xviiie siècle[%C3%A0 développer], dont les principes et le sens du devoir étaient inébranlables. Victor Hugo se rappela l’avoir vue aux soirées officielles, vêtue de façon austère « en guimpe et coiffe noire ». Il rapporta aussi que Guizot aimait rappeler à sa mère le temps où sa grand-mère à elle leur racontait comment les dragons la poursuivaient dans les montagnes cévenoles et que les balles trouaient ses jupes3. Elle forgea le caractère de son fils et partagea par la suite toutes les vicissitudes de sa vie, présente auprès de lui au temps de sa puissance comme durant son exil (après 1848), à Londres, où elle est enterrée au cimetière de Kensal Green.

Jeunesse

Genève (1794-1805)

Chassés de Nîmes par la Révolution, madame Guizot et son fils partirent pour Genève, où il reçut une solide éducation. Les théories de Jean-Jacques Rousseau influencèrent madame Guizot. Elle était fermement libérale et elle adopta l'idée, inculquée dans l’Émile, que tout homme devait connaître un métier manuel. Guizot apprit la menuiserie et réussit à construire une table de ses propres mains, qu’il conserva. Cependant, dans l'ouvrage qu’il intitula Mémoires de mon temps, Guizot omet les détails de son enfance.

Physiquement fort, Guizot, bon cavalier, avait une puissance de travail considérable.

Son arrivée à Paris

Lorsqu’il arriva à Paris à 18 ans en 1805 pour poursuivre ses études à la faculté de droit, ses talents littéraires, développés par l'éducation de cette époque, lui permirent d'entrer comme tuteur dans la maison de Philippe Alfred Stapfer, ancien ministre de Suisse à Paris. Il se mit bientôt à écrire dans un journal édité par Jean Baptiste Antoine Suard, le Publiciste, ce qui l’introduisit dans le milieu littéraire parisien.

En octobre 1809, à 22 ans, sa critique sur Les Martyrs de François-René de Chateaubriand reçut l’approbation et les remerciements de l’auteur et il continua à contribuer à des périodiques. Chez Suard, il fit la connaissance de Pauline de Meulan, une femme de 14 ans son aînée, noble et libérale de l’Ancien Régime, contrainte par les épreuves de la Révolution de gagner sa vie dans la littérature et engagée pour la rédaction d’une série d’articles dans le Publiciste. Ces contributions furent interrompues par sa maladie, mais immédiatement reprises par un rédacteur inconnu. On découvrit que c’était François Guizot qui la remplaçait. Cette collaboration se transforma en amitié, puis en amour et, en 1812, mademoiselle de Meulan, autrice de nombreux travaux sur l’éducation, épousa le jeune homme. Elle mourut en 1827.

Situation familiale

François Guizot et Pauline de Meulan eurent un fils unique, nommé François, né en 1815 et mort en 1837 de pleurésie.

Pauline de Meulan meurt en 1827 d’une maladie pulmonaire, et en 1828, Guizot épouse Élisa Dillon de 16 ans sa cadette, nièce de sa première femme et également autrice. Elisa meurt à son tour en 1833, à 29 ans, d’une fièvre puerpérale liée à l’accouchement d’un enfant. Elle laisse deux filles, Henriette (1829-1908) et Pauline (1831-1874), et un fils, Guillaume (1833-1892), qui seront élevés en partie par Rosine de Chabaud-Latour, amie proche et aînée de 10 ans de Mme Guizot qui l'avait assistée dans ses premières tâches éducatives. Guillaume Guizot deviendra un homme de lettres remarqué, professeur au Collège de France et haut fonctionnaire.

À partir de 1836, Guizot connut en outre une relation avec l'élégante Dorothea von Benckendorff, princesse de Lieven (1785-1857), originaire de Riga.

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Wikipedia

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François Pierre Guillaume Guizot's Timeline

1787
October 4, 1787
Nîmes, Languedoc-Roussillon, France
1815
1815
1829
August 6, 1829
1831
1831
1833
January 11, 1833
Paris, Ile-de-France, France
1874
September 12, 1874
Age 86
Abbaye du Val-Richer, Saint-Ouen-le-Pin, Basse-Normandie, France
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Saint-Ouen-le-Pin, Basse-Normandie, France