René Jules Lalique

public profile

Is your surname Lalique?

Research the Lalique family

Share your family tree and photos with the people you know and love

  • Build your family tree online
  • Share photos and videos
  • Smart Matching™ technology
  • Free!

René Jules Lalique

Birthdate:
Birthplace: Ay,Marne,Champagne-Ardenne,France
Death: May 01, 1945 (85)
8ème arrondissement - Paris,Paris,Ile-de-France,France
Immediate Family:

Son of Auguste Jules Lalique and Olympe Lalique
Husband of Alice Lalique
Ex-husband of Marie Louise Lalique
Partner of Marie Jeanne Anère
Ex-partner of Claudine Juliette Le Mesnil
Father of René Claude Le Mesnil; Georgette Lalique; Suzanne Renée Haviland; Marc André Lalique; Private and 1 other
Brother of Marie Louise Lalique

Managed by: Pierre Quenee
Last Updated:

About René Jules Lalique

René Jules Lalique (6 April 1860 in Ay, Marne – 1 May 1945 in Paris) was a French glass designer known for his creations of glass art, perfume bottles, vases, jewellery, chandeliers, clocks and automobile hood ornaments.[1][2][3][4]

Life

Lalique's early life was spent learning the methods of design and art he would use in his later life. At the age of two, his family moved to the suburbs of Paris, but traveled to Ay for summer holidays. These trips influenced Lalique' later on in his naturalistic glasswork. With the death of his father two years later, Lalique began working as an apprentice to goldsmith Louis Aucoc in Paris. He died on 1 May 1945, Paris. René Lalique was buried in Père Lachaise Cemetery in Paris, France. His granddaughter, Marie Claude-Lalique (b. 1936), was also a glass maker. She died on April 14, 2003 in Fort Myers, Florida.[2]

Education

In 1872, when he was twelve, he entered the Collège Turgot where he started drawing and sketching. He attended evening classes at the Ecole des arts décoratifs. He worked there from 1874–1876 and subsequently spent two years at the Crystal Palace School of Art Sydenham, London. During that time, he also practiced as an apprentice goldsmith to leading Parisian art nouveau jeweller and goldsmith, Louis Aucoc. At the Sydenham Art College, his skills for graphic design were improved, and his naturalistic approach to art was further developed.[2]

Art Nouveau jewellery designer

When he returned from England, he worked as a freelance artist, designing pieces of jewellery for French jewelers Cartier, Boucheron and others. In 1885, he opened his own business and designed and made his own jewellery and other glass pieces. By 1890, Lalique was recognized as one of France's foremost Art Nouveau jewellery designers; creating innovative pieces for Samuel Bing's new Paris shop, Maison de l'Art Nouveau. He went on to be one of the most famous in his field, his name synonymous with creativity, beauty and quality.[2]

Glass maker

Lalique was best known for his creations in glass art.[1] In the 1920s, he became noted for his work in the Art Deco style. He was responsible for the walls of lighted glass and elegant coloured glass columns which filled the dining room and "grand salon" of the SS Normandie and the interior fittings, cross, screens, reredos and font of St. Matthew's Church at Millbrook in Jersey (Lalique's "Glass Church").[5] His earlier experiences in Ay were his defining influence in his later work. As a result, many of his jewellery pieces and vases showcase plants, flowers and flowing lines.

Both unique and commercial works of René Lalique are in the collections of a large number of public museums around the world including the Museu Calouste Gulbenkian in Lisbon, the Lalique museum of Hakone in Japan, the Musée Lalique [fr] and the Musée des Arts Décoratifs in France, the Schmuckmuseum Pforzheim [de] in Germany, the Victoria and Albert Museum in London, the Metropolitan Museum and the Corning Museum in New York State,and the Rijksmuseum in Amsterdam

Wikipedia

About René Jules Lalique (Français)

René Jules Lalique, né le 6 avril 1860 à Aÿ, dans la Marne, et mort le 1er mai 1945, est un maître verrier, bijoutier et joaillier français.

Il s'est rendu célèbre par ses créations étonnantes de bijoux, puis de flacons de parfum, de vases, de chandeliers, d'horloges et, à la fin de sa vie, de bouchons de radiateur de voitures. L'entreprise qu'il a fondée fonctionne toujours. Son nom est resté attaché à la créativité et la qualité, car il a toujours su dessiner des objets fastueux mais restant discrets.

Le bijoutier Art nouveau

À l'âge de 12 ans, René Lalique gagne sa première compétition de design au lycée Turgot à Paris.

À seize ans, il commence son apprentissage avec un joaillier parisien, Louis Aucoc. Il suit ensuite, de 1878 à 1880, les cours du Sydenham Art College (en), à Londres. Après être revenu en France, il travaille pour Aucoc, Cartier, Boucheron et d'autres. Il avait découvert l'art japonais contemporain à travers les Expositions universelles de 1867 et 1878, qui seront pour lui une source d'inspiration.

En 1882, il devient dessinateur concepteur indépendant pour plusieurs maisons de joaillerie de Paris (Georges Fouquet, Aucoc, Hamelin, Boucheron, Henri Vever…). Il lance quatre ans plus tard, en 1885, sa propre joaillerie.

En 1887, il épouse à Mâcon Marie Louise Lambert, dont il aura une fille, Georgette en 1888 (qui décèdera en 1910). En 1890, il rencontre Alice (Augustine dite Alice) Ledru avec qui il aura une fille, Suzanne Renée Ledru-Lalique (1892). Son mariage n'y résiste pas : le couple se sépare en 1893. Le divorce est prononcé en 18982. D'Alice, il a encore un garçon, Marc André Lalique en 1900. Il épouse Alice en secondes noces en 1902. Alice meurt en 1909, Georgette meurt en 1910 à l'âge de 22 ans. En 1917, sa fille Suzanne épouse Paul Haviland et travaillera pour les manufactures de porcelaine de sa belle-famille. En 1920, René Lalique se liera avec Marie-Jeanne Anère, avec laquelle il aura deux autres enfants : Raymond Anère-Lalique (né en 1925) et Renée Anère-Lalique (née en 1927).

Lalique est reconnu comme un des concepteurs de bijoux les plus importants de l'Art nouveau français ; en créant des pièces innovantes pour la nouvelle boutique de Samuel Bing à Paris, Maison de l'Art nouveau. Il commence à exposer ses œuvres à son nom dès 1894, notamment au Salon des artistes français, de 1897 et 1898. Le grand verrier Émile Gallé le découvre à l'occasion du premier et en fait un éloge appuyé. Son stand à l'exposition universelle de 1900 à Paris remporte un franc succès.

Tout en gardant les sources d'inspiration de l'Art nouveau, faune et flore — dont le paon, divers insectes et parfois un bestiaire fantastique —, il innove en utilisant des matériaux peu usités pour la bijouterie, à cette époque : le verre, l'émail, le cuir, la corne, la nacre, en préférant souvent les pierres semi-précieuses aux pierres précieuses. L'introduction du volume dans la bijouterie est facilitée par ses connaissances en modelage. Il dessine ses modèles, les faisant réaliser par une équipe de ciseleurs, sculpteurs et émailleurs qu'il recrute avec soin.

De nombreuses femmes de la noblesse, de la bourgeoisie et du spectacle se sont mises à porter ses bijoux extraordinaires, telles la marquise Arconati-Visconti, la comtesse de Béarn, Mme Waldeck-Rousseau ou Sarah Bernhardt, pour laquelle il réalise en 1902 un costume de scène pour la reprise de la pièce Théodora, au théâtre Sarah-Bernhardt.

Lalique fut l'unique artiste moderne dont Calouste Gulbenkian devint le client et l'ami. Ce dernier acquit le fameux Pectoral à la libellule (vers 1897-1898), chef-d'œuvre très admiré à l'Exposition universelle de 1900, qu'il prêta à la tragédienne Sarah Bernhardt.

Le maître verrier

Il s'intéresse tôt au verre comme matière artistique et il installe, dès 1890, un atelier de verrerie où il commence à expérimenter ses possibilités, dans un premier temps dans la bijouterie. Il en effectue des moulages et apprivoise la liaison verre-métaux. Ses premiers bijoux comportant cette matière sont exposés en 1895.

Après avoir ouvert une boutique place Vendôme à Paris, il commence à concevoir, en 1895, des flacons de parfums en verre, étant ainsi le premier à imaginer de commercialiser cet emblème du luxe et du raffinement dans un emballage tout aussi splendide. Il le fait aussi dans le but de produire de beaux objets en séries importantes, et donc de rendre son art accessible à un nombre croissant de personnes. Cette même année 1895, le musée des arts décoratifs de Paris fait entrer Lalique dans ses collections.

En 1898, il installe un atelier de verrerie dans la propriété de Clairefontaine (Yvelines), lui permettant, en particulier, de mieux maîtriser le verre soufflé.

En 1900, Lalique triomphe à l'Exposition universelle de Paris et, en 1905, il ouvre un magasin, place Vendôme. En 1910, il crée pour le parfumeur François Coty, qu'il a rencontré en 1908, le flacon pour Ambre antique.

En 1913, il rachète une verrerie à Combs-la-Ville (Seine-et-Marne) et dès 1914, il convertit son usine à la fabrication d'objets médicaux destinés aux hôpitaux et aux pharmacies. En 1921, il construit une usine de verre en Alsace à Wingen-sur-Moder.

Après la fin de la Première Guerre mondiale, les bijoux très colorés et fantastiques de Lalique n'étaient plus dans l'air du temps. Le créateur le sent et décide de se reconvertir et, dès 1920, il se tourne vers l'Art déco. Ainsi, le succédané néo-classique et géométrique Art déco remplace l'Art nouveau. Cependant, selon Olivier Mauny, ex-PDG de Lalique, ses créations vont ouvrir la voie à une industrialisation des objets d'arts, car une des meilleures manières d'inscrire le luxe et l'esthétisme au quotidien est d'en faire des objets usuels. Il va ainsi créer de nombreux objets tels que vases, coupes, chandeliers, flacons à parfum, bouchons de radiateurs pour la 5 CV Citroën (1925), décorations des wagons-restaurants de l'Orient Express (1929), décorations de la salle à manger des premières classes du paquebot Normandie (1936), fontaines des Champs-Élysées.

La première rétrospective est organisée au Musée des arts décoratifs de Paris, en 1933.

En 1934-1935, réalisation du retable et autres chefs-d'œuvre dans l'église Saint-Matthieu, de la paroisse Saint-Laurent, à (Jersey).

En 1945, année de sa mort, son fils Marc Lalique démarre le travail du cristal.

René Lalique est enterré dans le cimetière du Père-Lachaise (23e division).

Innovations techniques

René Lalique ne se contente pas de créer des modèles, il construit aussi une usine à Wingen-sur-Moder, afin de les fabriquer en grande série, et dépose des brevets sur de nombreuses techniques de fabrication (verre pressé-moulé, verre à double fond).

Il crée également des effets esthétiques : le satiné Lalique et les verres opalescents.

Œuvres de commande

L'excellence de ses créations, et le goût qu'il met dans ses œuvres, lui valent de réaliser le décor intérieur de plusieurs paquebots : l’Île-de-France, le De Grasse, le Normandie, ainsi que des trains de prestige l'Orient-Express et le Nice-Côte d'Azur express.

Il réalise les vitrages, ainsi que la colombe et les lampes liturgiques, pour l'Église Saint-Nicaise de Reims. Inspiré par la chapelle de la Vierge Fidèle à Douvres-la-Délivrande, près de Caen, il livre aux sœurs qui lui ont commandé un crucifix et, outre cette croix de verre, une porte de tabernacle, un retable, une lampe, deux colonnes lumineuses, les verrières du chœur, la table de communion et l'autel, entièrement en verre

Wikipedia

Individual Note

Les fiches du fonds Coutot donnent comme date pour son 2ème mariage 23 février 1902 : une vérification des registres des archives de Paris montre que cela est une erreur !! Voir la chronique familiale pour les explications sur la famille de René Jules LALIQUE La date habituellement donnée pour le décès est le 5 mai 1945. Cette date est celle de la transcription du décès en marge de l'acte de naissance à Ay.

 Transcription de l'acte de décès : "Le premier mai 1945, quatorze heures, est décédé en son domicile, 40 Cours Albert 1°, René Jules LALIQUE, né à Ay (Marne) le six avril mil huit cent soixante, Maître verrier, Commandeur de la légion d'Honneur, fils de Auguste Jules LALIQUE et de Olympe BERTHELLEMY, époux décédés. Epoux divorcé de Marie Louise LAMBERT, Veuf en secondes noces de Augustine LEDRU. Dressé le deux mai mil neuf cent quarante cinq, treize heures, sur la déclaration de René Rivoal, quarante six ans, employé, 79 Boulevard Malesherbes, qui, lecture faite, a signé avec Nous, Roger Monnet, Vice-Président du Comité Local de la Libération du huitième arrondissement de Paris, Officier de l'Etat-Civil."

Son dossier sur la Base Leonore (fonds de la Légion d'honneur) sous la cote 19800035/290/38904

Family Note

Marriage with Marie Louise LAMBERT:

Cm 14-04-1887 Maître Desthaires à Mâcon
Marriage with Alice LEDRU:

Cm 01-07-1902 Maître Delafon à Paris Marriage with Marie Jeanne ANÈRE:

Séparation en 1938 Sources

Birth: http://archives.marne.fr/ark:/86869/a011310543769UJ1uht/1/189 + photo acte en mairie où figure le mariage de 1902 Spouse 1: AD en ligne registre M 1887 vue 17 Family 1: jugement de séparation de corps 27-01-1893, jugement de divorce 27-06-1898 par le tribunal civil de la Seine, transcription sur les registres de mariage de Mâcon 24-12-1898 vue 72 Spouse 2: Archives de Paris en ligne acte 367 Family 3: http://www.lesartsdecoratifs.fr/?id_article=1794&id_document=1279&p... Family 4: vu dans L'Écho de Viroflay n° 274 octobre 2011 page 26 Death: noté sur acte de naissance et acte obtenu auprès de la mairie du 8ème arrondissement

view all 11

René Jules Lalique's Timeline

1860
April 6, 1860
Ay,Marne,Champagne-Ardenne,France
1888
February 22, 1888
2ème arrondissement - Paris,Paris,Ile-de-France,France
1892
May 4, 1892
1er arrondissement - Paris,Paris,Ile-de-France,France
1900
September 1, 1900
1er arrondissement - Paris,Paris,Ile-de-France,France
1907
July 9, 1907
17ème arrondissement - Paris,Paris,Ile-de-France,France