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Claude Chappe

Birthdate:
Birthplace: Brûlon, Sarthe
Death: January 23, 1805 (41)
par suicide à Paris
Immediate Family:

Son of Ignace Chappe and Marie Renée Chappe
Brother of Ignace Chappe; Marie Marthe Chappe; Pierre François Chappe; Sophie Françoise Chappe; René Chappe and 1 other

Occupation: Abbé, inventeur du télégraphe
Managed by: Pierre Quenee
Last Updated:

About Claude Chappe

Claude Chappe (25 December 1763 – 23 January 1805) was a French inventor who in 1792 demonstrated a practical semaphore system that eventually spanned all of France. His system consisted of a series of towers, each within line of sight of others, each supporting a wooden mast with two crossarms on pivots that could be placed in various positions. The operator in a tower moved the arms to a sequence of positions, spelling out text messages in semaphore code. The operator in the next tower read the message through a telescope, then passed it on to the next tower. This was the first practical telecommunications system of the industrial age, and was used until the 1850s when electric telegraph systems replaced it.

Life

One example of Chappe telegraph tower, in Narbonne, in the south of France. Claude Chappe was born in Brûlon, Sarthe, France, the grandson of a French baron. He was raised for church service, but lost his sinecure during the French Revolution. He was educated at the Lycée Pierre Corneille in Rouen.[1]

His uncle was the astronomer Jean-Baptiste Chappe d'Auteroche famed for his observations of the Transit of Venus in 1761 and again in 1769. The first book Claude read in his youth was his uncle's journal of the 1761 trip, "Voyage en Siberie". His brother, Abraham, wrote "Reading this book greatly inspired him, and gave him a taste for the physical sciences. From this point on, all his studies, and even his pastimes, were focused on that subject." Because of his astronomer uncle, Claude may also have become familiar with the properties of telescopes.[2]

He and his four unemployed brothers decided to develop a practical system of semaphore relay stations, a task proposed in antiquity, yet never realized.

Claude's brother, Ignace Chappe (1760–1829) was a member of the Legislative Assembly during the French Revolution. With his help, the Assembly supported a proposal to build a relay line from Paris to Lille (fifteen stations, about 120 miles), to carry dispatches from the war.

Chappe's telegraph

The Chappe brothers determined by experiment that the angles of a rod were easier to see than the presence or absence of panels. Their final design had two arms connected by a cross-arm. Each arm had seven positions, and the cross-arm had four more permitting a 196-combination code. The arms were from three to thirty feet long, black, and counterweighted, moved by only two handles. Lamps mounted on the arms proved unsatisfactory for night use. The relay towers were placed from 12 to 25 km (10 to 20 miles) apart. Each tower had a telescope pointing both up and down the relay line.

Chappe first called his invention the tachygraph, meaning "fast writer"[3]. However, the Army preferred to use the word telegraph, meaning "far writer", which was coined by French statesman André François Miot de Mélito.[4] Today, in order to distinguish it from subsequent telegraph systems, the French name for Chappe's semaphore telegraph system is named after him, and thus is known as a télégraphe Chappe[5]. Alternatively, Chappe coined the phrase semaphore[6], from the Greek elements σῆμα (sêma, "sign"); and from φορός (phorós, "carrying"),[7] or φορά (phorá, "a carrying") from φέρειν (phérein, "to bear").[8]

In 1792, the first messages were successfully sent between Paris and Lille.[5] In 1794 the semaphore line informed Parisians of the capture of Condé-sur-l'Escaut from the Austrians less than an hour after it occurred. Other lines were built, including a line from Paris to Toulon. The system was widely copied by other European states, and was used by Napoleon to coordinate his empire and army.[5]

In 1805, Claude Chappe killed himself.[9] He was said to be depressed by illness, and claims by rivals that he had plagiarized from military semaphore systems.

In 1824 Ignace Chappe attempted to increase interest in using the semaphore line for commercial messages, such as commodity prices; however, the business community resisted.

In 1846, the government of France committed to a new system of electric telegraph lines. Many contemporaries warned of the ease of sabotage and interruption of service by cutting a wire. With the emergence of the electric telegraph, slowly the Chappe telegraph ended in 1852.[5]

Popular culture

The Chappe semaphore figures prominently in Alexandre Dumas' The Count of Monte Cristo. The Count bribes an underpaid operator to transmit a false message.

A bronze sculpture of Claude Chappe was erected at the crossing of Rue du Bac and Boulevard Raspail, in Paris. It was removed and melted down during the Nazi occupation of Paris, in 1941 or 1942.[10]

Wikipedia

Individual Note

Iconographie Claude Chappe, in Figuier L. Les merveilles de la science.

Biographie Après des études à Rouen, puis au Collège Royal de la Flèche, il est nommé abbé commendataire (sans obligations religieuses). Il jouit ainsi de bénéfices qui lui permettent d'ouvrir un cabinet de physique à Paris. L'abbé Claude Chappe suit ainsi l'exemple de son oncle Jean Chappe d'Auteroche.

Dans son cabinet, Il réalise diverses expériences concernant notamment l'électricité statique. Il invente un électromètre, puis il se livre à de nombreuses expériences sur l'électricité; s'inspirant de divers travaux (Lesage à Genève, Lomond à Paris, Bettancourt en Espagne, ...), il travaille sur la transmission du fluide électrique et, semble-t-il, tenta même une expérience de "télégraphie" (déplacement de deux pendules harmonisés au moyen de fils conducteurs électrifiés). Il s'intéresse également à l'élevage des vers à soie ainsi qu'à divers systèmes de transmission de messages par voie aérienne.

A la Révolution, les biens du clergé sont nationalisés. Il perd ses bénéfices, et est obligé de rentrer à Brûlon. Il y poursuit recherches et expériences avec l'aide de ses frères, cherchant une nouvelle situation. Pendant les périodes de troubles, la rapidité des communications est primordiale et Claude Chappe poursuit ses travaux expérimentaux de transmission de signaux. Le 2 et 3 mars 1791, il réussit à transmettre un premier message de Brûlon à Parcé, sur une distance de 14 km, avec un système à cadrans. Devant le succès de l' expérience, son frère Ignace, membre de l'Assemblée Législative, le fait venir à Paris pour y poursuivre ses recherches. Une nouvelle expérience réussit et il est nommé "Ingénieur thélégraphe" (Sic!) avec charge de construire une première ligne de Paris à Lille. Tout est à inventer : technique de recherche des sites, méthodes administratives, mise au point des appareils, recrutement de personnels, ...

Ses travaux iront de succès en échecs au gré de l'engouement pour ses inventions et du manque d'argent de la nation. La ligne Paris-Lille est opérationnelle en 1794, mais celle de Paris-Landau commencée l'année suivante est abandonnée. La période 1797-1800 sera faste par contre : la ligne Paris-Strasbourg sera inaugurée en mai 1798 ; celle de Paris-Brest en 1799 et les premiers travaux d'une ligne Paris-Milan par Lyon sont décidés la même année.

Fin 1800, Bonaparte Premier Consul réduit fortement les crédits : les lignes sont mises en sommeil et certaines suppressions sont même ordonnées. Pour sauver le télégraphe Claude Chappe cherche d'autres ressources. Il suggère ainsi la transmission des résultats de la Loterie Nationale : ce sont eux qui permettront la survie des lignes. Les études de la ligne Paris-Italie sont relancées, mais affaibli physiquement et moralement par 10 ans de recherches et de luttes, Claude Chappe se donnera la mort, en 1805, en se jetant dans un puits à 42 ans.

A partir de ce moment là, ses quatre frères prendront le relais de l'entreprise.

(http://jcb57.club.fr/chappe/claudechappe.html)* Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: Nov 29 2019, 9:42:06 UTC

About Claude Chappe (Français)

Claude Chappe (né le 25 décembre 1763 à Brûlon (Sarthe), en France — mort le matin du 23 janvier 1805 à Paris, inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division 29), est l'inventeur du sémaphore, procédé de communication de l'information à distance plus rapide que tous ceux qu'on avait utilisés jusqu'alors. Il fut le premier entrepreneur des télécommunications dans l'histoire de l'humanité. Il est le neveu du scientifique Jean Chappe d'Auteroche.

Biographie

Origine

Le père de Claude Chappe, contrôleur général du domaine du roi au département de Laval, avait épousé Marie Devernay, d'une vieille famille de bourgeoisie (médecins et chirurgiens) lavalloise. Son frère René était receveur de l'enregistrement à Lassay, en 1793.

Né le jour de Noël 1763, Claude est le second des sept enfants d'Ignace Chappe et de Marie Renée Devernay. Sa sœur jumelle Marie-Marthe est née le lendemain.

Ses quatre frères Ignace (1760 - 1829), l'aîné, Pierre François (1765 - 1834), René (1769 - 1854) et Abraham (1773 - 1849) vont chacun jouer un rôle dans le domaine du télégraphe. Jean Chappe d'Auteroche (1728 - 1769), oncle de Claude Chappe, était originaire de Mauriac, en Haute-Auvergne. Il fut nommé abbé commendataire à la fin de ses études au Collège royal de la Flèche, mais il perdit sa sinécure pendant la Révolution française. À l'âge de vingt ans, il avait fait insérer dans le Journal de Physique un grand nombre de mémoires intéressants, qui lui donnèrent des titres pour être admis à la Société philomathique de Paris, où il fut reçu à la fin de l'année 1792.

Débuts Il commence ses études au collège de Joyeuse, à Rouen, puis au Collège Royal de la Flèche. Claude Chappe devient prêtre et est pourvu tout jeune de deux bénéfices en commende assez lucratifs.

Il peut donc s'adonner à la mécanique et à la physique. Venu à Paris, il monte un cabinet scientifique et effectue une série de recherches sur l'électricité et le pouvoir des pointes. Il est l'auteur de l'expérience de reproduction du phénomène de la foudre. En 1789, il met au point un système d'électromètre.

En 1789, il perd ses bénéfices. Il retourne dans son pays natal et y retrouve ses frères Ignace, Pierre-François, René et Abraham.

Lui et ses quatre frères chômeurs et politiciens décidèrent de développer un système pratique de stations de relais sémaphore. Son frère Ignace Chappe (1760-1830) comme membre de l’assemblée législative l’aida à faire adopter une ligne entre Paris et Lille de quinze stations pour environ deux-cents kilomètres pour transmettre les informations de la guerre.

Les frères Chappe déterminèrent par expérimentation que les angles d’une perche étaient plus faciles à voir que la présence ou l’absence de panneaux. Leur construction définitive était deux bras connectés par une traverse. Chaque bras avait sept positions et la traverse quatre soit un code total de 196 positions. Les bras avaient de un à quatre mètres de long, noirs, avec des contrepoids déplacés par deux poignées. Des lampes montées sur les bras ne furent pas d’une utilisation nocturne satisfaisante. Les tours de relais étaient placées de 12 à 25 km entre eux. Chaque tour avait deux télescopes pointant de chaque côté de la ligne.

Le désir de communiquer avec des amis qui habitaient à quelques lieues de lui fit concevoir au jeune physicien, en 1791, le projet de leur parler par signaux. Ces tentatives réussirent au point qu'il s'aperçut que ce qu'il avait cru n'être qu'un jeu pouvait devenir une découverte importante. Il fit alors beaucoup de recherches pour trouver le moyen d'exécuter son procédé en grand.

Claude Chappe réalisa sa première expérience publique de communication à distance entre Parcé-sur-Sarthe et Brûlon le 2 mars 1791. L'expérience consista à placer deux cadrans mobiles dotés d'aiguilles et de chiffres, appelés tachygraphe, installés respectivement dans son village natal de Brûlon, distant de 14 km, et le village de Parcé. L'expérience, qui consistait à envoyer un message dans chaque sens, fut réussie et authentifiée par un compte rendu officiel. Claude Chappe put, avec ces preuves de fonctionnement, se rendre à Paris pour promouvoir son invention.

En 1791, les premiers messages furent envoyés avec succès entre Paris et Lille. Quand il eut atteint le but qu'il s'était proposé, il offrit à l'assemblée législative, en 1792, l'hommage de sa découverte ; il lui présenta une machine à signaux, nommée par lui télégraphe, de deux mots grecs tele, loin, et graphein, écrire. L'établissement de la première ligne télégraphique ne fut ordonné qu'en 1793. La Convention adopte son invention et le nomme Ingénieur Thélégraphe aux appointements de lieutenant de génie.

Condé

Le 1er septembre 1794, la ligne de sémaphore informa les Parisiens de la victoire de Condé-sur-l'Escaut sur les Autrichiens moins d’une heure après l'événement, grâce à une tour élevée sur le mont Valérien (Suresnes). La Convention reçut cette nouvelle au commencement d'une de ses séances, rendit un décret qui déclarait que Condé s'appellerait Nord-Libre, et le télégraphe annonça, pendant cette même séance, que le décret était déjà parvenu à sa destination, et que déjà il circulait dans l'armée. Ce résultat fit alors une grande sensation ; on comprit combien l'invention du télégraphe pouvait être utile ; mais plus cette découverte paraissait importante, moins on concevait qu'elle n'eût pas été faite plus tôt. Le système fut largement copié dans les autres pays européens, et était utilisé par Napoléon pour coordonner son empire et ses armées.

Des systèmes de télégraphie

En effet, dans tous les temps, on s'était servi de signaux pour communiquer des phrases convenues. Les marins employaient ce moyen depuis des temps immémoriaux, et un prince anglais avait acquis quelque célébrité pour avoir perfectionné les signaux marins. Énée le tacticien fait mention de quelques expériences dont l'objet était de signaler les lettres de l'alphabet à plusieurs stations ; et, vers la fin du xviie siècle, Guillaume Amontons avait fait un essai de ce genre ; mais le premier système ne pouvait servir que pour un petit nombre de faits, prévus longtemps avant qu'on veuille les signaler. Une nuit suffisait à peine pour transmettre deux ou trois mots d'après la méthode d'Énée le tacticien. Quant à Amontons, qui est placé parmi les inventeurs de l'art télégraphique, il n'a laissé aucune trace de la machine qu'il avait imaginée. Le problème était donc encore à résoudre, ou plutôt n'était qu'un projet sans exécution ; il consistait à trouver le moyen de transmettre, à quelque distance que ce fût, avec rapidité, dans tous les lieux et par tous les temps, toutes espèces d'idées.

Moyens télégraphiques

Pour parvenir à ce but, Chappe n'imita aucune des machines dont on s'était servi jusqu'alors ; il en imagina une dont les formes sont extrêmement visibles, les mouvements simples et faciles, qui peut être transportée et placée partout, qui résiste aux plus grandes tempêtes, et qui, malgré sa grande simplicité, donne assez de signaux primitifs pour faire de ces signes une application exacte aux idées, application telle, qu'elle n'exige ordinairement qu'un signe par idée, et jamais plus de deux, ce qui est très remarquable (dit le rapport décennal fait par la classe des sciences physiques), comme ayant ce donné naissance à une langue nouvelle, simple et exacte, qui rend l'expression d'un mot et d'une phrase par un seul signe.

Épilogue

Il quitte son appartement parisien en décembre 1794 pour s'installer à l'hôtel de Villeroy. Il est devenu hypocondriaque. Il est atteint d'un cancer dans l'oreille.

Le 23 janvier 1805, il se suicide en se jetant dans un puits dans le jardin de son hôtel. Il existe de nombreuses versions de sa mort, qui sont à prendre avec réserve : Il était atteint d'une maladie incurable et douloureuse ; il aurait été victime d'une dépression causée par la maladie et des déclarations de ses rivaux selon lesquels il avait plagié des systèmes de sémaphores militaires. Une autre version est proposée par Etienne-Gaspard Robert dans ses Mémoires (p. 200), « un puits, que les fumées du vin l'avaient empêché d'apercevoir». Il est inhumé au cimetière de Vaugirard, puis lors de lors de la désaffectation du cimetière, les restes de Chappe sont transférés aux côtés de son frère, Ignace Chappe, dans le cimetière du Père-Lachaise (29e division).

En 1824, Ignace essaya d’augmenter l’intérêt de l'invention de Claude en utilisant la ligne de sémaphore pour des messages commerciaux, comme les prix des matières premières, mais cela déplut à la communauté d’affaires. La même année, son frère, Jean Chappe, a publié une Histoire de la Télégraphie.

En 1846, le gouvernement français fit mettre en place un système de lignes de télégraphes électriques. Plusieurs contemporains avertirent de la facilité de sabotage et d’interruption de service car un fil était facile à couper.

Le système figure de manière éminente dans le roman d’Alexandre Dumas Le comte de Monte-Cristo où le comte soudoie un opérateur sous-payé pour transmettre un faux message.

Wikipedia

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Claude Chappe's Timeline

1763
December 25, 1763
Brûlon, Sarthe
1805
January 23, 1805
Age 41
par suicide à Paris