Acfred II, duc d'Aquitaine

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Acfred II, duc d'Aquitània

Also Known As: "Aifredo", "Alfredo"
Birthdate:
Death: circa October 927 (32-41)
Immediate Family:

Son of Acfred I, comte de Carcassonne and Adelinde d'Auvergne
Husband of Arsinde de Carcassonne
Father of Garsinde de Béziers and Waifri (Godifer, Waifre) d'Aquitaine de Carcassonne
Brother of Adélaïs de Carcassonne; Guillaume II le Jeune, duc d'Aquitaine and Bernard, comte d'Auvergne

Occupation: Comte de Carcassonne et de Razès, Comte d'Auvergne (926-927), Duc d'Aquitaine (926-927), Comte de Mâcon (6e, 926-927)
Managed by: Private User
Last Updated:

About Acfred II, duc d'Aquitaine

https://en.wikipedia.org/wiki/Acfred,_Duke_of_Aquitaine

http://gw.geneanet.org/pierfit?lang=sv;p=acfred;n=de+carcassonne;oc=2

Acfred II de CARCASSONNE (Acfred d'AUVERGNE) (Acfred de CARCASSONNE) Titlar: comte de Carcassonne, duc d'Aquitaine (926-937), comte d'Auvergne (4:e, 926-937)

Född omkring 890 Död efter 927 Fin de la dynastie des Comtes d'Auvergne qui reprend avec Guillaume Tête d'Étoupe. Föräldrar

Acfred II , comte de Carcassonne ca 837-935 Adelinde d'AUVERGNE ca 860-906 Vigslar, barn, barnbarnen och barnbarns barnen

Gift med demoiselle N*** barn K Arsinda d'AUVERGNE , comtesse de Carcassonne ca 920-ca 970 gift 934 med Arnaldo de CARCASSONNE , seigneur de Foix ca 920-957 M Etienne Ier , vicomte de Thiers ca 925- gift med Ermengarde N*** 925- barn M Robert Ier , vicomte de Thiers gift omkring 955 med ? ? barn : M Guilhem II , vicomte de Thiers ca 1015- Syskon

M Guillaume III Le Jeune d'AUVERGNE , duc d'Aquitaine †926 K Adélaïde de CARCASSONNE ca 880- M Acfred II , comte de Carcassonne ca 890-927/ Halvbröder och halvsystrar

Från s släktsida Acfred II , comte de Carcassonne ca 837-935 Från s släktsida Adelinde d'AUVERGNE ca 860-906 med demoiselle N*** K Arsinde de CARCASSONNE med Roger de CARCASSONNE 845- M Roger II , comte de Carcassonne ca 875- Noteringar

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CHAPITRE 4 Des structures antiques aux structures dites féodales Géraud d’Aurillac. Initiale ornée de la Vita Geraldi. B. N., Ms. Lat. 5301, f° 221. Page 2 Le premier chapitre de notre enquête auvergnate avait été un constat de l’affaiblissement croissant de l’autorité royale qui est sans cesse bafouée et concurrencée par les puissances locales, avec une acuité particulière dans la seconde moitié du IX e siècle. Comme dans tout le Midi de la Gaule, le pouvoir passait aux mains du comte de la dynastie des Guilhemides. La crise de succession de 927, et la rivalité dynastique entre la maison de Poitiers et celle de Toulouse, voyait descendre plus bas encore le pouvoir ainsi confisqué. C’est alors qu’apparaissaient les véritables bénéficiaires de la crise : les seniores arvernici. L’aristocratie auvergnate passait au devant de la scène politique. Nous venons de voir que le secret de la permanence et de la force de cette aristocratie, du modèle « romain » qu’elle tient à préserver encore, c’est l’Église, son Église, qui lui sert de structure. Il ne faudrait pas pour autant sous-estimer les institutions de type proprement laïque. Ces institutions, venues du Nord avec le pouvoir franc, il est convenu de les appeler « carolingiennes ». on sait pourtant que leur caractère proprement original, du moins de certaines d’entre elles, a été récemment mis en doute par l’historiographie ; Michel Rouche a montré par exemple que le beneficium ad opus publicum, pour ne citer qu’un des rouages les plus importants du système, ne date pas d’Hincmar, mais est l’adaptation d’une institution du Bas-Empire 1 . L’apport des Carolingiens aurait plutôt été la généralisation de la fidélité more francico, par les mains, et l’extension des clientèles cavalières de la royauté, intégrant tout ce dispositif dans une conception particulière, dans un effort général de remise en place de la théorie de l’Etat, avec la renovatio imperii et la théocratie royale. Là encore, on s’est d’ailleurs demandé s’il ne s’agissait pas de la réinterprétation d’un transfert d’idées du Midi (tel le sacre, via l’onction royale des Wisigoths d’Espagne) ; bien des conseillers de l’entourage de Charlemagne et de ses successeurs étaient méridionaux, comme Claude de Turin. Il n’en demeure pas moins, quelles que soient les origines composites de cet ensemble qu’on peut appeler carolingien, qu’il a été ensuite plus ou moins réadapté : le beneficium publicum revient dans le Midi avec le fief/fevum. Et on a prétendu rediffuser le modèle carolingien dans son intégralité dans toutes les provinces de l’Empire. Qu’en a-t-il été en Auvergne ? C’est ce que nous verrons dans un premier temps. Nous verrons ensuite comment les structures « carolingiennes » plus ou moins adaptées à l’Auvergne ont été complètement remises en cause cette fois, puis balayées par la « révolution féodale » du X e siècle 2 . Nous essaierons de déceler les symptômes de cette révolution, de voir comment elle éclate chez nous, quels en sont les manifestations et les effets immédiats. Bref, comment s’opère le passage de ce qui était encore une res publica à une nouvelle société qualifiée de féodale, même si les critères de son identification au Midi sont quelque peu différents de ceux du Nord. I. LE SYSTÈME CAROLINGIEN EN AUVERGNE Il était presque inévitable que le système administratif franc, plus ou moins importé du Nord, se modifiât rapidement en s’appliquant au sud de la Loire. Dés le début de leur fonctionnement, les institutions carolingiennes en Auvergne sont teintées de particularisme. Très tôt ce particularisme vire franchement à la dénaturation ; parallèlement à l’effondrement progressif de l’autorité impériale puis royale, on voit les structures administratives et judiciaires prendre une forme « bâtarde », sous l’action de plus en plus évidence de ceux qui les régissaient, à savoir les grands. C’est cette transformation que nous allons entreprendre de montrer, en étudiant tout d’abord la fin du fisc, et ensuite la situation du pouvoir comtal qui en hérite ; nous étaierons enfin notre discours d’un exemple fourni par le fonctionnement de la justice, tel que nous le décrivent les rares sources dont nous disposons, notamment la précieuse Vita Geraldi. § 1. — LA FIN DU FISC. Les éléments traditionnels du fisc du Bas-Empire étaient l’impôt direct (la capitation), l’impôt indirect (avec la monnaie et le tonlieu), et l’assise foncière. De ces trois éléments, il ne subsiste guère de traces à l’époque carolingienne en Auvergne. 1 L'Aquitaine..., p. 362 et ss. 2 Expression « lancée » par BOUDET, dans son introduction à l'édition du Cartulaire de Saint-Flour Page 3 Les impôts ? on ne peut même plus exclure qu’ils aient disparu : Le silence de la documentation est en lui-même un aveu de l’inconsistance de l’institution ; il est possible que les terres d’Église, en échange de l’immunité dont elles jouissent traditionnellement, paient encore un impôt public au roi par les bons soins du comte on nous dit que le duc Waïfre, au VIII e siècle, n’hésita pas à « envoyer sur les domaines (aquitains) des églises (du Nord) des comtes et des percepteurs (exactores), ce qui déjà n’était plus pratiqué depuis longtemps » 3 . Ses successeurs ont-ils consolidé cette reprise de la tradition, encouragés par l’administration carolingienne, ou bien l’impôt n’est-il plus qu’une redevance privée perçue par les établissements fiscaux et ecclésiastiques sur leurs seuls domaines ? Les uniques mentions de tonlieu se trouvent dans les diplômes d’immunité concédés par le roi aux abbayes « royales « de Brioude, Saint-Chaffre, Manglieu, Mozac 4 . La monnaie ? on en sait peu de choses, sinon que l’exercice du droit régalien de la battre échappe au prince. Les premiers Carolingiens avaient restauré le caractère public de la frappe, par l’uniformisation des émissions, désormais toutes faites au nom du roi, et par la réduction du nombre des ateliers. Face au nombre relativement important des centres monétaires mérovingiens on ne trouve dans l’Auvergne carolingienne que deux ateliers connus, dans les deux centres urbains de Clermont et de Brioude 5 , Au X e siècle, la concession par la royauté à certaines autorités locales du droit de frappe fait partie de son attitude de démission, en Auvergne comme ailleurs ; c’est un élément de la constitution de la principauté territoriale. Pour ne pas laisser s’écrouler le dernier rempart de sa puissance fragile dans le centre de la Gaule, le roi Raoul octroie à l’évêque du Puy Adalard la permission de battre monnaie à sa place en même temps que les autres droits régaliens sur la civites Aniciensis. Quelques années auparavant, le comte Guillaume duc d’Aquitaine, frappe aussi monnaie au lieu du roi, à Brioude, et c’est le premier exemple connu pour l’ensemble du pays, et c’est à ce titre pour nous un symbole lourd de sens 6 . Lorsque cent ans plus tard, en 1030, c’est l’évêque de Clermont Rencon qui obtient même privilège, il hérite d’un droit que le souverain n’exerce plus depuis longtemps puisque c’est le comte qui le lui cède Reste seule l’assise foncière de ce fisc. Tentons de l’évaluer, même si l’entreprise paraît délicate, pour des raisons toujours documentaires. Voyons ce que sont devenues les terres fiscales à l’époque qui nous intéresse. Nous centrerons ensuite notre attention sur un cas particulier, le fisc d’Ébreuil. A. DU DOMAINE F1SCAL IMPÉRIAL AUX DERNIÈRES POSSESSIONS COMTALES À l’époque mérovingienne déjà, le fisc connaît de graves problèmes dans le Midi et le pouvoir se plaint de sa situation : Léon, conseiller aquitain de Chramn déclarait avec amertume que les domaines de

—————————————————————————————————————— LES POSSESSIONS DU DUC ACFRED D’APRÈS SON TESTAMENT DE 927 —————————————————————————————————————— A. Br. 315. B. Br. CCCCXXXIII. C. Saux. 13. D. Br. 15. —————————————————————————————————————— BRIOUDE D — 3 manses Ad ollases. AB — Cour de Brassac, avec église S.Pierre, dépendances, esclaves. AB — Alleu de Chauliat, et ce que son oncle Guillaume y avait conquis. AB — Église Saint-Gal (de Vabres). AB — Cour ou villa d’Anglars (de Saint-Flour) avec église Saint-Pierre, sauf la villa de Cistrières. AB — Un manse à Mercœur (1). AB — Cour de Rocoules en Gévaudan, avec église Saint-Jean (1). —————————————————————————————————————— SAUXILLANGES C — Cour de Sauxillanges et ses deux églises, son bois etc. C — Églises de Gignat (Saint-Julien) et de Chargnat (Saint-Rémy), et dép. C — 3 manses, une maison et des vignes à Brandon, une maison à Merdanson, etc. (au total, 61 manses, 6 maisons, 76 appenderies). —————————————————————————————————————— N.D. DU PUY B — Alleu de Chalmes-Ellarias, et l’église, Saint-Haon. —————————————————————————————————————— Bertrand, B — Villa de Cistrières, fils d’Erail AB — Villæ du Gidour et de La Chassagne (?), Rocoules (?) (1) et Mercœur (1). —————————————————————————————————————— Robert, vicomte B — Villa de Mazérat et Grezin, et ses biens d’Ambronnais, excepté l’Église de Gignat. —————————————————————————————————————— Eustorge B — Casa de Sivérac. B—Vigne et biens de Vénêche. —————————————————————————————————————— Armand, B — Biens de Bordellas. père de Robert —————————————————————————————————————— Robert B — Alleu du Valdonnez en Gévaudan), et 2000 sous à distribuer aux sièges épiscopaux Dalmas. d’Aquitaine monastères et chanoines ; et 10 manses qu’ils donnent à Bernard, fils d’Adalgarius, pour le rachat de l’alleu de Valdonnez, à prendre sur leurs alleux en Brivadois. —————————————————————————————————————— Nous ne reviendrons pas sur les biens ecclésiastiques d’origine fiscale, qui sont assurément encore plus nombreux, La plupart des établissements ecclésiastiques auvergnats so

Källor

Person: Apollon / Sémélè Familj: Sémélè