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André Seguin

Also Known As: "Paddy"
Birthdate:
Birthplace: Saint Marcel, Eure, Normandy, France
Death: January 15, 1982 (90)
Épernay, Marne, Champagne-Ardenne, France
Immediate Family:

Son of Georges Michel Seguin and Marguerite Fernande Seguin
Husband of Gisèle Seguin
Father of Janine Fourmon; Alain Seguin and Private
Brother of Yvonne Seguin

Managed by: Raphaël Jean, Marcel Fourmon
Last Updated:
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Immediate Family

About André Seguin

Et la croix de guerre? c pas lui c'est ATh
@ asso spclsée ou JO via gallica? cf. favoris Chrome 24.2.26

Conscrit à Paris à l'appel de sa classe d'âge (20a) en 1911. N° de conscription pour consulta° aux archives de Paris : 1363 https://archives.paris.fr/s/17/etats-signaletiques-et-des-services-...

1913.11.07 incorporé soldat 2e cl. (après 1m de report) - 8e rég. génie [2a] (matricule ou au répertoire : 4288)
1914.08.01 campagne d'Allemagne jusque 1919.08.08 [in Campagnes]
1914.08.02 campagne aux armées CD sous les % du Gal Cdt en chef jusque 1917.02.15 [in Campagnes]

1915.10.01 réserve de l'armée d'active - 21e rég. aviation [1a et 4m] (Plan P.)
https://www.traditions-air.fr/unit/escadre/RABN.htm + https://www.pboyer.fr/nancy-hier/image/11952-Bureaux%20du%2021e%20RA : 21e RABN (Bombardements de Nuit), Caserne Kléber, Essey-les-Nancy, "Champagne 1915"
http://albindenis.free.fr/Site_escadrille/Regiment_aviation_21emeRA... :
Pendant la 1ère guerre mondiale, le terrain, situé sur le plateau de Malzéville, sur les hauteurs surplombant la ville de Nancy, a été utilisé intensivement à partir du 23 mars 1915. Sur place, le GB 1, avec ses trois escadrilles VB 101, VB 102 et VB 103, est complété par le GB 2, avec ses trois escadrilles VB 104, VB 105 et VB 106, puis par le GB 3, avec ses VB 107, VB 108 et VB 109 et finalement le GB 4, avec ses VB 110, VB 111. Toutes ces escadrilles sont équipées d'avions Voisin LA et LAS. C'est à partir de ce terrain que seront menées de très nombreuses missions de bombardement sur la Moselle, l'Alsace occupées et sur l'Allemagne.

Cap. Bouchet adj cdt GB1 (1er gpe bbdmt) 16.10.1915

1916.08.02 AS, mat. 4283, 2e sapeur 43e Cie aérostiers, dirigeable abattu

au lieu de mat.1363 : pourquoi? vérifié AD75+AD27 qui renvoie vers Grand-Memorial où il y a deux AS identiques au bureau 75 mais pas de 27 ni de mat.4283. Est-il possible que 43e Cie aérostiers soit une unité du 21e RABN?

https://www.cairn.info/revue-historique-des-armees-2017-3-page-123.... :
À la fin du XIXe siècle, Clément Ader revendique le premier vol avec un aéronef « plus lourd que l’air » équipé d’un moteur à vapeur, et baptisé Eole. Le projet d’Ader s’avère finalement non concluant, mais ouvre la voie à d’autres initiatives. Les progrès techniques étant rapides, l’offre en matière d’avion s’étoffe peu à peu et donne lieu à de véritables spectacles populaires. L’armée, bien qu’émettant certaines réserves du fait de la fragilité apparente de ces nouveaux appareils, perçoit leur potentiel et s’organise en conséquence. La création d’une inspection permanente de l’aéronautique militaire en 1910 et la promulgation d’une loi dès 1912 permettent ainsi d’établir l’organisation d’ensemble de l’aviation militaire.
Ce service est source de rivalité, artillerie et génie luttant pour en obtenir la responsabilité. Cette opposition marque surtout une vision différente quant à l’emploi de l’avion, qui doit être tactique pour l’un, et stratégique pour l’autre. Alors que l’inspection disparaît au profit d’une nouvelle structure, la direction de l’aéronautique militaire, le rôle de l’avion est finalement clarifié. Sa mission se limite à l’observation ; le réglage des tirs d’artillerie et le bombardement sont quant à eux confiés aux dirigeables.
Dès le début des hostilités, lors de la bataille de la Marne, deux événements mettent en lumière la plus-value de l’arme aérienne. Dans le domaine du renseignement tout d’abord, avec la détection du mouvement des troupes allemandes le 3 septembre, qui, faute de ressources suffisantes, dérogent au plan Schlieffen et contournent Paris par le sud-est…

https://www.cairn.info/revue-historique-des-armees-2016-4-page-5.ht... :
Cette nouvelle étape de l’histoire de l’aéronautique militaire franchie lors de la bataille de Verdun témoigne de la profonde évolution de cette dernière depuis les premières heures du conflit. Ainsi, à la mobilisation, la France aligne 134 appareils et 6 dirigeables tandis que l’Allemagne dispose de 232 avions, 12 dirigeables et de nombreux ballons captifs, les Drachen.
Un peu plus d’un an et demi plus tard, au 1er février 1916, la France dispose de 1 149 avions dont 826 avions d’observation biplaces, 135 avions de chasse – dont 95 monoplaces – et 188 avions de bombardement dont 181 biplaces et le restant triplaces sans compter 75 compagnies d’aérostiers équipés de ballons captifs Caquot de 880 m3 (près de 300 ballons). Ces ballons inspirés des Drachen allemands, installés entre 2 et 5 km à l’arrière et stationnant entre 800 et 1 500 m assurent des missions complémentaires à celles de l’aviation : observation du front, réglage de tirs et contrôle des destructions. Chaque ballon dispose d’une ligne téléphonique insérée dans le câble du treuil, qui peut être reliée directement au poste d’artillerie puis en fin 1915 au PC de l’armée ou du corps d’armée les tenant ainsi informés de la progression des troupes donnant au ballon une nouvelle mission celle de ballon de commandement. Bien plus qu’un saut quantitatif spectaculaire, ces chiffres traduisent la part sans cesse croissante qu’occupe l’aéronautique c’est-à-dire l’aérostation, mais surtout l’aviation dans la bataille, mais plus encore la grande faculté d’adaptation de cette nouvelle arme à la recherche d’une organisation et d’une doctrine d’emploi répondant au mieux aux circonstances…

https://www.cairn.info/revue-historique-des-armees-2016-2-page-115.... :
The ballooning observation, a part first of the Engineer corps then of the Air Force, has an organization, staffing, hardware, employment doctrine of its own.
L’aérostation d’observation française entre dans la Première Guerre mondiale fortement amoindrie. « Les ballons captifs d’observation avaient été totalement abandonnés [%E2%80%A6] au profit des avions. L’apparition, dès août 1914, des « Drachen » allemands et surtout les excellents résultats qu’ils permettaient d’obtenir à l’artillerie démontra à l’évidence l’erreur de la France ». Dès lors, une course contre la montre s’engage pour combler le retard pris, sous l’impulsion des officiers Caquot et Saconney : de nouveaux modèles de ballons sont produits, le treuil à vapeur tiré, qui permet l’ascension du ballon, est remplacé par un treuil à moteur, etc. Le matériel français devient si performant qu’il est ensuite adopté par les Alliés, mais aussi par les Allemands.
Un effort est également consenti au niveau des effectifs. De 10 compagnies (Cie) et 30 ballons en octobre 1914, l’armée française passe à 75 Cie en 1916. Sur l’ensemble du conflit, l’aérostation totalise près de 2 000 officiers et 10 000 sous-officiers et soldats…

1917.02.11 détaché - 1er gpe d'ouvriers aviation [20j] (pilote)
- do - (pl. Pl.?) 3e Cie 1j St Cyr / Pilote // Sans affectation

1917.02.15 fin campagne aux armées CD sous les % du Gal Cdt en chef (dps 1914.08.02) [in Campagnes]
1917.02.16 Intérieur CS sous les % du Gal Cdt la Région jusque 1918.11.11 [in Campagnes]

1917.03.01 dirigé - école de Tours [2a et 4m]
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Base_a%C3%A9rienne_705_Tours : dvt école US le 1917.11.01 (vs 1917.4 D. Albin)

dans les 2 cas que faisait-il parmi eux pendant +/- 2a? les a-t-il formés?)

http://albindenis.free.fr/Site_escadrille/Ecoles_Tours.htm :
A ) Ecole de pilotage militaire française du 1er octobre 1915 à avril 1917 :
Créée le 1er octobre 1915. A l’origine, le terrain de Parçay-Meslay était une zone de manœuvres pour le 66ème RI. Ce terrain devient centre d’instruction sur Caudron G 3. Des hangars Bessonneaux et des barraques Adrians sont construits. Le camp fut inauguré par le colonel Giraud. En 1917, c'était un total de 65 Caudron G 3 et au moins 2 Nieuport déclassés qui étaient en service à l'école.
B ) Ecole de pilotage militaire américaine d’avril 1917 au 11 novembre 1918
Pour accueillir l’école de pilotage américaine, de nombreux aménagement furent réalisés, hangars, routes, chemin de fer sur voie de 60 qui déservaient toutes les installations du terrain. Trente-trois hectares furent expropriées pour réaliser cette extension de la zone militaire. Après la guerre, les américains laissèrent leurs matériels en place dont les avions. Cest ainsi que l’escadrille SAL 10 récupèra les Bréguet XIV que les américains avaient abandonnés. (à vérifier)

1917.06.03 Caporal
1918.03.22 Sergent
persipiead? de P.?la Accordé

1918.11.11 fin campagne de l'intérieur CS sous les % du Gal Cdt la Région (dps 1917.02.16) [in Campagnes]
1919.08.08 fin campagne d'Allemagne (dps 1914.08.01) [in Campagnes]
1919.08.09 mis en congé, démobilisé par - 1er gpe aérostation, 8e échelon n°246
1923.08.04 affecté au 21e rég. aviation, désaffecté au profit du 1er gpe d'ouvriers aviation
1923.09.03 P.M 1er Gpe Aviation
1923.12.01 fasc. 1er gr. aéro
1930.01.21 Dr médical 1er Go A (gpe aéro?)
1930.06.19 classé "sans affectation"
1930.08.20 fasz. G.. 12..
1931.11.26 radié du personnel navigant
1939.09.09 rattaché à la classe de mobilisa° - plus anc. 2e R. comme père de 3 enfants vivants
1940.10.15 dégagé de toutes obligations militaires

pourquoi pas de traces de l'Indochine?

1952.07.04 ES à l'int. loge

1ère guerre : dirigeable abattu : trouve récit sur Retronews

1940-46 environ : guerre en Indochine, pilote pour Bao Daï : pas trouve trace sur Rnews. Cherche "andre seguin" + pilote ou aviation ou aviateur

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André Seguin's Timeline

1891
March 18, 1891
Saint Marcel, Eure, Normandy, France
1918
October 13, 1918
Paris, Paris, Île-de-France, France
1920
November 22, 1920
Paris, Paris, Île-de-France, France
1982
January 15, 1982
Age 90
Épernay, Marne, Champagne-Ardenne, France