Catherine Marie Napoléone de Céligny

Catherine de Céligny, qui épouse le docteur Edmond Lévy-Solal, médecin obstétricien, professeur à la Faculté de médecine de Paris, membre de l'Académie de médecine ; les enfants portent le nom de Solal-Céligny (dont Jérôme Solal-Céligny, conseiller d'État, un des auteurs de la Constitution de la Ve République en 1958).

• https://fr.wikipedia.org/wiki/Napol%C3%A9on-J%C3%A9r%C3%B4me_Bonaparte

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GEDCOM Note

<p>Catherine Marie Napoléone de CÉLIGNY</p><p><p>Catherine tout comme son frère Lucien n'a pas été reconnu par ses parents. Ainsi sur leurs actes de naissances à la mairie du 8ème arrondissement de Paris, figure la mention "de père et mère inconnus".</p><p><p></p></p><p><p>N'ayant pas de nom de famille légal, ils se font appeler "de Céligny", du nom du village ou vivait leur mère, en Suisse.</p><p><p></p></p><p><p>Le prince Napoléon jusqu'à sa mort en 1891 a entretenu avec ses deux enfants une correspondance brève et régulière en signant "Ton parrain" et il venait les voir unefois par an lorsqu'ils habitaient à Prangins en Suisse, village ou ils avaient été placé en pension chez un couple chargé de leur éducation. Leur mère ne s'est jamais occupée d'eux.</p><p><p></p></p><p><p>En fait le nom qui a été donné par décret à Catherine et Lucien était Céligny et non pas de Céligny</p><p><p></p></p><p><p>N 28668. — DÉCRET DU PRÉSIDENT DU LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE (contresigné par le garde des sceaux» ministre de la justice) portant ce qui suit : 1- M. Napoléon-Lucien-Jérôme-Robert né le 22 novembre 1874, à Paris, y demeurant, Et Mlle. Catherine-Marie-Napoléone, née le 7 juillet 1877, à Paris, y demeurant, Mineurs sous la tutelle de M. Adelon (Ernest), Sont autorisés à prendre le nom de Céligny, et à s'appeler légalement, à l'avenir : le premier, Céligny (Napoléon-Lucien-Jérôme-Robert), et la seconde, Céligny (Catherine-Marie-Napoléone) ; 2- Lesdits impétrants ne pourront se pourvoir devant les tribunaux pour faire opérer sur les registres de l'état civil le changement résultant du présent décret qu'après l'expiration du délai fixé par la loi du 11 germinal an XI et en justifiant qu'aucune opposition n'a été formée devant le Conseil d'État. (Paris, 10 Décembre 1894)</p><p><p></p></p><p>Catherine et Lucien lorsqu'ils ont vécu à Paris, 15 rue Montaigne, recevaient une pension annuelle de 20 000 francs-or, versée par le gouvernement français.

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24 DEC 2018 11:01:45 GMT -0500 Claude Simon WEBER WEBER Web Site <p>Arbre généalogique MyHeritage</p><p>Site familial: WEBER Web Site</p>Arbre généalogique: 526035771-1 Smart Matching 526035771-1 Catherine De CELIGNY 3 27 DEC 2018 Ajouté via une Smart Match Discovery