Jean-Paul Albert Palewski

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Jean-Paul Albert Palewski

Birthdate:
Birthplace: Paris-IXème, 75109, Paris, Île-de-France, France
Death: December 10, 1976 (78)
Hôpital de la Pitié - Paris-XIIIème, 75113, Paris, Île-de-France, France
Place of Burial: Tombe Palewski - Louveciennes, 78350, Yvelines, Île-de-France, France
Immediate Family:

Son of Maurice Serge Moïse Herch Palewski and Rose Berthe Brana Palewski
Brother of Gaston Palewski

Managed by: Pierre Quenee
Last Updated:

About Jean-Paul Albert Palewski

Individual Note

Etudes : Collège sainte Barbe à Paris, Lycée Rollin à Paris, Ecole Bréguet à Paris, Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr, Faculté de droit de Paris (Docteur en droit), Diplômé de l'Institut des hautes études internationales, diplômé de l'Académie de Droit International de La Haye

"Jean-Paul Palewski a écrit dans ses mémoires, non publiées, sous le titre : "Prenez, je vous offre ma vie", cette phrase faite de fidélité et de fierté, qui peint bien le caractère à la fois pudique et passionné de son auteur :"Si, je suis français de tout mon corps et de toute mon âme, je n'ai jamais oublié les plus lointains de mes ancêtres, et j'ai orienté ma vie pour m'acquitter d'une double dette envers la France et envers la Pologne". Il a ainsi montré qu'on peut concevoir un double attachement patriotique, tenant l'un aux racines culturelles et historiques, l'autre à une option de citoyenneté." (citation de l'éloge funèbre de Jean-Paul Palewski par Edgard FAURE le 16/12/1976 à l'Assemblée Nationale).

Carrière : Se distingue très tôt par une grande intelligence. Fait des conférences sur Paris dès l'âge de 11 ans (Paris Ignoré cf Figaro du 13 janvier 1909). A 12 ans commence à écrire une histoire de la capitale avec la collaboration de son cadet de 3 ans Gaston. Suit les cours de l'école Bréguet pour faire plaisir à son père (promotion 1916), Il faut croire qu'il ne lui en tint pas rigueur car il écrit dans ses mémoires cette phrase : "Si vraiment je pouvais recommencer ma vie, je crois que je m'attacherais à me donner la finesse des mains d'un créateur manuel (et qu'ainsi j'acquerrais le sens de ces liens qui me font cruellement défaut)", mais il est attiré par la défense de sa patrie et fait l'école militaire de Saint-Cyr. Engagé volontaire dans l'infanterie en 1916 au titre d'élève de l'Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr. "Ici se dénote un trait de caractère de notre collègue, qui était la tendance à se dépasser, voire à se contredire, au nom d'une exigence intérieure, qu'inspirait au surplus le désir émouvant de se solidariser, se s'enraciner plus profondément encore dans l'humus français" (citation de l'éloge funèbre de Jean-Paul Palewski par Edgar FAURE le 16/12/1976 à l'Assemblée Nationale). Il quitte cette école avec le grade d'Aspirant. Participe à la bataille de Verdun en 1917 au lieu dit "L'Homme-mort" avec le 70ème R.I.. Est détaché auprès de l'armée polonaise constituée en France pour combattre contre les Bolchéviks sur le front de l'est. Il participe activement à la mise sur pied de la 6ème compagnie polonaise recrutée parmi les prisonniers de guerre et les émigrés venus d'Amérique ; Lors du défilé du 14 juillet 1918, c'est avec ces troupes qu'il défile, coiffé de la fameuse czapka. Part combattre en Pologne dans la première division de l'armée du général Haller. Là il a le grade d'adjudant major au 2ème régiment de chasseurs polonais. Il a été promu successivement s/Lieutenant, Lieutenant et Capitaine à 20 ans !!. Rentré en France en 1919, il quitte l'armée et s'inscrit à la faculté de droit de Paris, à la Sorbonne et à l'Ecole des Hautes Etudes Internationales. En 1923 s'inscrit au cours de l'Académie de droit international de La Haye. C'est durant cette période qu'il se lie d'amitié avec Gustave Forssius qui restera un grand ami de la famille jusqu'à sa mort. Se spécialise dans les questions financières, les questions internationales et les questions de Propriété Industrielle (avocat-conseil de l'ambassade de Pologne, avocat de la Chambre de Commerce Internationale, avocat du Trésor Public,... 1923-1973). A cette époque il rencontre l'abbé Henri Brémond, le Théoricien de la poésie pure, l'auteur de la monumentale histoire littéraire du sentiment religieux en France. Le prêtre académicien se retrouva évangéliste auprès du héros de la guerre devenu juriste international, et le convertit à la religion catholique. Et cette conversion restera profonde, au point d'imprégner de spiritualité l'ensemble d'une méditation politique et historique.

Mobilisé en août 1939 comme capitaine de réserve d'infanterie au 117ème R.I., il combattit avec cette unité sur le front de Forbach, il est ensuite détaché auprès de la 2ème Division Polonaise en France, unité avec laquelle il combattit sur le plateau de Mache pendant l'offensive allemande de 1940 puis la division se repliant en Suisse (18/08/1940), il y est interné. Rentré en France en 1941 il prit une part active à la résistance en zone occupée. Il est arrêté en avril 1944 et interné politique comme otage au camp des Tourelles, puis au camp du Mont Dore d'où il s'est évadé pour rejoindre le maquis de Saint-Genest dans le Cantal. C'est là qu'il se lie d'amitié avec Monsieur Charles Vayssier qui l'héberge dans sa ferme de Vignan. Extrait d'une lettre de M.Charles Vayssier du 24/08/1996 : "J'avais vécu avec lui une période difficile et dangereuse ; nous hébergions votre père à Vignan où j'habite avec ma famille. Homme intègre et toujours vigilant, face à l'occupant ; il comptait les jours et écrivait dans l'angoisse de retrouver sa famille en bonne santé. Une petite anecdote téléphonique avec M.le Receveur des Postes de Champs où l'armée allemande était sur les lieux : "Pouvez-vous me dire si nos cousins germains sont toujours là, la réponse : Oui ! ils sont toujours là, vous pouvez les voir". Quelques temps après, le débarquement ayant eu lieu, l'armée occupante fut appelée et libéra la région ; c'est alors que votre père décida de rejoindre Paris avec beaucoup de courage pour être présent à la libération de la capitale" Rentré clandestinement à Paris en juin 1944, il a été nommé adjoint au commandant F.F.I. du 7ème arrondissement, il a été blessé pendant les combats de la Libération de Paris. Maire de Louveciennes (1944-1947), membre des deux assemblées constituantes (octobre 1945-juin 1946). Député MRP de Seine & Oise 2ème circonscripton (novembre 1946), Réélu en 1951, inscrit au Rassemblement du peuple français, RPF il est Président de la comission des affaires économiques, membre du comité directeur du FIDES (1951-1955), membre de la commission de la Justice (1951-1955), Vice-Président de la Commission des Finances, de l'économie générale et du Plan (1951-1955, 6 oct. 1959). Rapporteur du budget de la guerre à l'Assemblée (1953-1962). Juge à la Haute Cour de Justice (mai 1956). Conseiller technique auprès du comité d'aménagement de la Région parisienne (17 juillet 1956). Vice-président (18 juin 1959), puis président du Conseil Supérieur de la Propriété Industrielle (1961). Président de la Société de protection des paysages et d'esthétique de la France (depuis 1962). Membre du conseil d'administration du Conservatoire National des Arts et Métiers et du conseil des bibliothèques de France (depuis 1964). Réélu député U.N.R. de Seine & Oise 3ème circ. (St Germain-Rueil, 30 nov. 1958-1962). Président de la délégation parlementaire française auprès de l'OTAN (1958-1963). Président du groupe d'amitié France-Pologne (depuis 1958). Président du groupe d'amitié France-Amérique latine (1958-1967). Vice-président du groupe d'amitié France-Etat-Unis (1958-1970). Membre du comité central de l'U.N.R. (19 mars 1961). Membre du comité directeur du Fonds d'aide et de coopération (5 juin 1962). Réélu député de Seine & Oise 2ème circ. (St Germain-Chatou, 25 nov 1962) ; Inscrit au groupe parlementaire U.N.R.-U.D.T. (12 déc1962-1967).

En juin 1964 naissaient les nouveaux départements de la région parisienne. Le nom du département n'avait pas encore été choisi. A l'issue d'une séance de l'Académie de Versailles, J.P.P. évoque les différents choix possibles et notamment celui de département de Versailles. Jehan Despert, poète, l'estimant trop restrictif, lui souffle alors l'idée de choisir "Yveline", dénomination du massif forestier de la région d'où partent toutes les rivières et cours d'eau. Et pour le rendre plus chantant "ajoutez-lui un "s" "conseille Jean Despert. L'idée du poète a séduit. Les Yvelines se conjugent au pluriel. Pour notre département deux possibilités s'offraient aux députés : rester dans la notion de vallée en l'appelant "Val de Seine" ou plus simplement du nom de la ville préfecture "Département de Versailles". Ni l'une ni l'autre ne convenait. Premier orateur inscrit dans le débat à l'Assemblée Nationale J.P.P. propose le 11 juin 1964 que la préfecture du nouveau département, qu'il souhaitait voir appelé "Yvelines" soit installée à St Germain ; Quant à Versailles, cette ville devait devenir la capitale de la région parisienne et accueillir le siège du District avant la création du conseil régional en 1976, et faire ainsi équilibre à la capitale proprement dite.

Président de la commission des finances, de l'économie et du Plan (mars 1968). Président de la commission nationale des secteurs sauvegardés (août 1963). Réélu membre du comité central de l'U.N.R.-U.D.T. (24 nov 1963). Réélu député Vème république U.N.R. des Yvelines 2ème circ.(12 mars 1967). Inscrit au groupe U.D. Vème Rép. Membre de la délégation française à l'Assemblée générale des Nations Unies (19 sept 1967). Vice-président de la section française de l'Association internationale des parlementaires de langue française (depuis 1968). Elu conseiller général des Yvelines (canton St Germain-Nord, 1er oct 1967). Président du Conseil Général des Yvelines (4 oct. 1967-1971). Membre du comité central de l'Union des Démocrates pour la Vème Rép, puis de l'U.D.R. Réélu député U.D.R. (U.D. Vème Rép.) des Yvelines (2ème circ., 30 juin 1968). Réélu conseiller général (U.D.R.) du canton de St Germain nord (15 mars 1970). Réélu président du Conseil Général des Yvelines (18 mars 1970). Membre du bureau politique du groupe U.D.R. (4 avril 1970). Vice-président de l'Assemblée des présidents de conseils généraux de France (19 mai 1970). Président de la Société pour la Protection des Souvenirs et des Tombeaux historiques polonais en France (1964-1976). Membre de l'association parlementaire Europe-Afrique (depuis 1971). Vice-président de l'intergroupe de l'eau (représentant le bassin de la Seine) (déc 1973). Réélu député U.R.P. (U.D.R.) des Yvelines (2ème circ., 11 mars 1973). Membre suppléant de la commission des transports terrestres au conseil supérieur des transports (15 mai 1973). Réélu président du conseil général des Yvelines (3 oct. 1973). Membre de la commission nationale de l'Union latine (mai 1975). Membre du comité national de l'organisation française. Membre de la commission nationale d'aménagement du territoire. Membre de la commission des licences spéciales en matières de brevets relatifs à l'obtention de produits pharmaceutiques ou remèdes.

"Passionné de voyages, tout à la joie de la découverte, apôtre de la francophonie, il fut un véritable ambassadeur extraordinaire de notre pays, notamment en Pologne, où il était extrêmement connu. Dans toutes ses activités et dans toutes ses missions, Jean-Paul Palewski démontrait une capacité d'accueil qui illuminait tous ceux qui l'approchaient. Mais cet enthousiaste était aussi un technicien...." Sa fonction de président de la commission nationale des secteurs sauvegardés nous mène à ce qui fut l'une de ses plus belles passions, celle qu'il éprouva, et de plus en plus, au soir de sa vie, pour cette région de France au coeur de laquelle, dans une ancienne ferme, il avait su, à Louveciennes, aménager une admirable propriété de famille, un de ces lieux comme on en voit dans les toiles de Pissarro ou Monet.. Elu en 1967 conseiller général du canton de Saint-Germain nord, et porté à la présidence du conseil général des Yvelines, réélu constamment depuis, il avait consacré, dès lors, une grande part de son énergie à cette province dont il était fier et qui risquerait bientôt d'être bien peu provinciale, si on ne la protégeait du monstre urbain, elle qui depuis toujours province française par excellence, celle qui a donné son nom à notre pays, l'Ile de France. Jean-Paul Palewski aimait à en évoquer les plus nobles figures au cours de conférences, comme celles qu'il consacra au "Beau Dunois", bâtard d'Orléans", à Péguy et l'Ile de France" et aussi, étendant son horizon de biographe à "Lazare Hoche", au "Maréchal Lyautey", à "Henri Bremond". Sur Louveciennes même, Jean-Paul Palewski avait publié un livre d'histoire, ouvrage poétique et débordant d'émotions. Son action pour sauvegarder ce noble lieu et l'embellir a suscité de ses concitoyens une reconnaissance durable, dont le plus émouvant témoignage fut donné par l'assistance nombreuse qui se pressait à ses obsèques, en cette froide matinée du 14 décembre 1976.

Avant de prendre congé de cette noble figure, je voudrais citer un trait de son action publique, qui peint tout entier l'homme qu'il était, chargé de souvenirs, et pourtant si attentif au monde de demain. En tant que président du conseil général des Yvelines, il avait organisé, en janvier 1975, une séance spéciale de son assemblée pour les lycéens du département. Cet homme qui ne comptait pas moins de vingt petits-enfants, ne se lassait pas de rencontrer la jeunesse; Ses facultés d'émerveillement et de renouvellement demeuraient juvéniles, témoins ce roman non encore publié, qu'il avait écrit dans la dernière année de son existence, sous un titre symbolique et pour lui parfaitement pensé : "Tout est fini, tout recommence". dans ce livre notre collègue s'adresse justement aux nouvelles générations. Il prête à son héros ces paroles : "Il faudra répondre à l'appel de ces jeunes, satisfaire leurs besoins. Qu'allons-nous leur offrir ? Quelle forme de vie sociale et familiale ? De quels rêves allons-nous pouvoir nourrir leur imagination, leur générosité ou même leurs instincts de violence ? Comment étancher leur soif de passion, de pensée, de savoir ? C'est vrai tout finit un jour, et puis tout recommence". Il n'avait pas oublié la leçon de son maître Henri Bremond, qui aimait lui-même à rappeler qu'il n'y avait pas de souffrance perdue. C'est sur ce message d'espoir, de confiance en l'avenir que nous quittons Jean-Paul Palewski, en cette fin de l'année 1976. A sa famille, à son groupe, à ses amis si nombreux de partout, j'offre les condoléances très émues de l'Assemblée Nationale. (citation de l'éloge funèbre de Jean-Paul Palewski par Edgar FAURE le 16/12/1976 à l'Assemblée Nationale)

M.BOULIN, Ministre des relations avec le Parlement - Le gouvernement s'associe avec une grande tristesse à l'hommage qui vient d'être rendu au Président Jean-Paul Palewski. Au moment où disparaît une des personnalités les plus marquantes de votre Assemblée, nous avons la certitude que le souvenir de Jean-Paul Palewski restera très longtemps dans nos mémoires comme celui d'un homme de qualité, de coeur, de conviction. Ces trente années qu'il a passées presque sans interruption dans votre Assemblée, les responsabilités qui ont été les siennes, notamment celles de Président de la Commission des Finances, ses interventions de rapporteur, la part active et réfléchie qu'il prenait aux débats, sa volonté de proposer et de participer ont imposé, jour après jour, Jean-Paul Palewski à notre commune estime. Ceux qui ont été ici ses compagnons de route sentent comme nous que dans le grand combat qu'il a mené pour son pays, pour ses idées, Jean-Paul Palewski a su garder jusqu'au bout une exemplaire disponibilité. A ses amis du groupe du rassemblement, à tous ses amis, nous disons notre profonde affliction. A Mme Jean-Paul Palewski, à ses enfants, à ses petits-enfants, à son frère, M. le Président Gaston Palewski, nous présentons nos vives condoléances.

Décorations Militaires : Légion d'Honneur : Chevalier : j.o. du 19/03/1933 Officier : j.o. du 13/12/1946 Commandeur : j.o. du 23/04/1958 Croix de guerre T.O.E. 1 étoile d'argent, 1 citation % Division 03/08/1919 2 étoiles de bronze, 2 citations % Régiment 20/06/1919, 13/11/1919 Croix de la Vaillance Polonaise 3 fois décernée (1919-1920) Médaille des Engagés Volontaires 1914-1918 Croix du Combattant Volontaire 1914-1918, 14/08/1936 Médaille commémorative des Combats en Pologne (1918-1921) 9/10/1931 Médaille de l'Indépendance Polonaise 22/10/1932 Croix de guerre 39-45 1 étoile de bronze, 1 citation % régiment 11/11/1940 1 étoile or, 1 citation % Corps d'Armée 26/08/1944 1 palme, 1 citation % Armée j.o. 13/12/1946 Médaille de la Résistance, j.o. 13/07/1947 Croix du Combattant volontaire 1939-1945, 23/06/1958 Médaille de la Victoire 20/07/1958 Croix du Combattant Combattant Volontaire de la Résistance Médaille de Verdun Insigne des Blessés (maladie aggravée en service 14/08/1917, éclat reçu à Paris 08/1944) Croix de la Vaillance Polonaise 1 fois décernée (19/06/1940) Médaille de l'Armée Polonaise Commandeur de Polonia Restituta Médaille commémorative de l'Assemblée des Nations Captives d'Europe 28/10/1964 Croix de la Reconnaissance des Sous-Officiers de 1ère classe 09/01/1960

Décorations civiles : Commandeur de l'Ordre de Vasa 25/11/1950 (Suède) Grand Officier de l'Ordre du Nichan-Iftikhar 10/02/1955 (Tunisie) Grand Officier de l'Ordre du Soleil du Pérou 28/01/1960 (Pérou) Commandeur de l'Ordre du Mérite 25/10/1963 Commandeur de l'Ordre National du Lion 09/01/1973 (Sénégal) Grand Officier de l'Ordre de Aguila Azteca 20/03/1963 (Mexique) Grand Officier de l'Ordre National du Tchad Médaille d'or du Mérite Fédéral de l'Automobile 10/1966 Grand Cordon du Club des Gastronomes 1966

Oeuvres : Le Rôle du chef d'entreprise dans la grande industrie, Histoire des chefs d'entreprises, l'Organisation Scientifique du Travail, Vies polonaises, Pensées d'un otage, l'Ame polonaise, Stanislas-Auguste Poniatowski, Louveciennes, et de nombreuses études d'histoire et de littérature (Beau Dunois bâtard d'Orléans, Péguy et l'Ile de France, Le Maréchal Lyautey, Henri Brémond, Lazare Hoche, Nicolas Copernic, Pour sortir nos musées de la misère, Comment nous sauverons nos villes d'Art, Le dossier politique de l'électeur français, Liberté ! Camarades....Liberté !!!, Politique économique internationale, L'aménagement de la Région Parisienne, Fragments d'un livre de raison, Prenez, je vous offre ma vie (Mémoires).* Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: Jun 23 2019, 8:44:26 UTC

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Jean-Paul Albert Palewski's Timeline

1898
July 19, 1898
Paris-IXème, 75109, Paris, Île-de-France, France
1923
February 8, 1923
Age 24
Chapelle de Soeurs de St Joseph de Cluny - Paris-XIVème, 75114, Paris, Île-de-France, France
1976
December 10, 1976
Age 78
Hôpital de la Pitié - Paris-XIIIème, 75113, Paris, Île-de-France, France
December 14, 1976
Age 78
Tombe Palewski - Louveciennes, 78350, Yvelines, Île-de-France, France