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Léonie Léon

Birthdate:
Birthplace: Paris, Paris, Île-de-France, France
Death: November 14, 1906 (68)
16 ème, Paris, Paris, Île-de-France, France
Immediate Family:

Partner of Léon Gambetta

Managed by: Alex Bickle
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Immediate Family

About Léonie Léon

Léonie Léon (1838–1906) was the French mistress of statesman Léon Gambetta. Born Marie-Léonie in Paris on 6 November 1838, she was the daughter of a French artillery officer. She was educated at the Louvencourt Sisters convent school in Dunkirk. Following the death of her father in the Charenton asylum in 1860, Léon took Louis-Alphonse Hyrvoix, who was in charge of Emperor Napoleon III's security, as a lover. She gave birth to Alphonse Léon, Hyrvoix's son, in Bordeaux on 5 February 1865.

Léon met Gambetta in 1868 and was his mistress from 1872 until his death a decade later. She lived in a house on Avenue Perrichont in Auteuil and was his confidante and adviser in his political plans. They corresponded on an almost daily basis and Gambetta repeatedly urged her to marry him. She finally consented in 1882, though he died later that year. The full details of their relationship were not known to the public until her death in 1906.

About Léonie Léon (Français)

Léonie Léon, née à Paris le 6 novembre 1838 et morte dans sa ville natale le 14 novembre 1906, est une Française connue pour avoir été la compagne de Léon Gambetta.

Biographie

Née à Paris2 le 6 novembre 1838, Marie-Léonie Léon est la fille du colonel François-Émile Léon (1795-1860) et de Marie Sauzy.

Ancienne élève du couvent de Louvencourt5, Léonie vit à Paris avec sa mère et sa sœur depuis la mort de son père4, survenue à l'asile de Charenton en 1860.

En 1864, elle devient la maîtresse de Louis-Alphonse Hyrvoix, inspecteur général de police des résidences impériales. Enceinte, elle se rend à Bordeaux, où, le 5 février 1865, elle donne secrètement naissance à un garçon, Léon-Alphonse6, qu'elle présente par la suite comme son neveu4. Après le départ d'Hyrvoix, nommé trésorier-payeur général dans le département du Jura en 1867, la jeune femme serait devenue la maîtresse du notaire Amédée Mocquard, fils de Jean-François Mocquard, mais cette liaison n'est pas confirmée par son biographe, Émile Pillias.

En 1868, Léonie assiste au « procès Baudin », intenté à des militants républicains qui ont organisé une souscription afin d'élever un monument à la mémoire du député Baudin, mort en résistant au coup d'État du 2 décembre 1851. Le procès révèle un jeune avocat, Léon Gambetta, dont Léonie va désormais suivre tous les discours avant d'oser lui écrire.

La liaison, discrète mais durable, entre Léonie et le tribun républicain débute le 27 avril 1872 et ne prend fin qu'à la mort de celui-ci. Au cours de ces dix années, Léonie exerce une grande influence sur son compagnon, qui écoute attentivement ses conseils politiques.

Depuis l'été 1882, Gambetta tente de convaincre Léonie de l'épouser. Installé aux Jardies le 15 octobre, le couple envisage un mariage à la fin de l'année. Or, Gambetta, qui peine à se remettre d'une blessure qu'il s'est faite à la main le 27 novembre en maniant un revolver, meurt d'une pérityphlite le 31 décembre. Des rumeurs infondées mais tenaces font du célèbre homme d’État la victime de Léonie Léon, qui aurait ainsi tiré sur son compagnon lors d'une crise de jalousie8. En 1924, Léon Daudet affirme même, dans son Drame des Jardies, que Gambetta aurait découvert que Léonie était une espionne au service de l'Allemagne et qu'il se serait blessé en empêchant sa compagne, désespérée d'avoir été démasquée, de mettre fin à ses jours.

Après la mort de Gambetta, les amis de ce dernier aident Léonie9, qui a notamment pour confidente Mme Marcellin Pellet, fille de Scheurer-Kestner5.

Accablée par la mort de son fils, qui a succombé à la phtisie le 3 juin 1891, Léonie cherche du réconfort dans la religion. Sous l'influence d'une parente éloignée, Mme Gavoille, une ancienne religieuse qui tenait un pensionnat à Boulogne-sur-Seine, elle devient antidreyfusarde11. Elle a pour confesseur un prêtre dominicain de sensibilité royaliste, le père Janvier.

Elle meurt le 14 novembre 1906 à son domicile du no 2 de l'avenue Perrichont. Elle est inhumée le 16 novembre dans un caveau familial du cimetière du Montparnasse (12e division). En 1970, ses ossements sont transférés à l'ossuaire du cimetière de l'Est

Wikipedia

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Léonie Léon's Timeline

1838
November 6, 1838
Paris, Paris, Île-de-France, France
1906
November 14, 1906
Age 68
16 ème, Paris, Paris, Île-de-France, France
1906
Age 67