Louis Guibau Guibeau Guibaut Gibeau Grandbois

GEDCOM Note

Au baptême le nom est inscrit Guibeau et lors du mariage Guibaut/Grandbois.

Lors du baptême de Louis, le nom des parents est inscrit Louis Guibeau et Marie-Magdelaine Charrest.

Lors du baptême de leur fille Marie-Magdeleine le 24 mars 1770 à Trois-Rivières, le nom du père est inscrit Louis Guilbault dit Grandbois.

Mariage de Louis Guibaut Grandbois et Madeleine Savoie

St-Joseph de Deschambault,

L'an mil sept cent soixante et dix huit le douze janvier après avoir publié par trois dimanches consécutifs les bans de mariage entre Louis Guibaut Grandbois fils de feu Joseph Guibau Grandbois et de Madeleine Charest de la paroisse de Champlain et de Madeleine Savoie fille d'Honoré Savoie et de deffunte Marie Coumeau de la paroisse de Dechambeau ne s'étant découvert aucun empêchement au dit mariage je soussigné prêtre faisant les fonctions curiales dans la dite paroisse de Dechambeau certifie leur avoir donné la bénédiction nuptiale avec les cérémonies prescrites par la Ste-Église en présence de Jean Boudro de David Boudro de Joseph Perron amis de l'époux d'Honoré Savoie, de François Savoie père et frère de l'épouse et de plusieurs autres tant parents qu'amis Les uns ont signé les autres ont déclaré ne savoir signer de ce enquis suivant l'ordonnance.

Jean Boudro Louis-François Savoie

J. Fillion ptre.

Recherche faite par Mgr Albert Gravel, P.D. archiviste

L'histoire nous apprend que la famille Guilbault/Grandbois/Savoie, se trouvait parmi les 45 familles qui ont fondé St-Grégoire de Nicolet. Dans les registres de la paroisse, il y est écrit que le dit GUILBEAUX y tenait feux (demeure), lors du recensement du 19 janvier 1795. Nous y apprenons aussi qu'il vivait au village de Ste-Marguerite-de-Nicolet, aujourd'hui St-Grégoire, QC.

Plusieurs enfants de cette famille sont nés à St-Michel-de-Yamaska qui est aujourd'hui connu sous le nom de Yamaska.

" Saint-Michel-d'Yamaska " n'est plus le nom officiel de ce lieu.
Celui-ci s'appelle maintenant " Yamaska ".

Spécifique Saint-Michel-d'Yamaska
Générique (avec ou sans particules de liaison) -
Origine linguistique du spécifique Abénakis
Type d'entité Municipalité de paroisse
Région administrative Montérégie
Municipalité régionale de comté (MRC) Le Bas-Richelieu
Municipalité Yamaska (Municipalité)
Code géographique de la municipalité 53072
Latitude Nord 46° 00' 00"
Longitude Ouest 72° 55' 00"
Carte topographique 1:50 000 31I/02
Désofficialisé le 2002-01-24

Il est à noter que cette municipalité n'existe plus depuis le 19 décembre 2001. En effet, à cette date, la municipalité de la paroisse de Saint-Michel-d'Yamaska ainsi que les municipalités des villages de Yamaska et de Yamaska-Est se regroupaient pour constituer la nouvelle municipalité de Yamaska. Le texte qui suit est celui qui avait été rédigé pour décrire l'ancienne municipalité de la paroisse de Saint-Michel-d'Yamaska. Cette municipalité de la Montérégie se situe à 15 km à l'est de Sorel, entre Sainte-Anne-de-Sorel, à l'ouest, et Saint-François-du-Lac, à l'est. L'élément majeur du paysage demeure la rivière Yamaska qui coule au centre du territoire qui enchâsse, en outre, celui des municipalités des villages de Yamaska et de Yamaska-Est pour former le Grand-Yamaska. Il faut remonter au début du XVIIIe siècle pour fixer les commencements du développement territorial avec l'érection canonique de la paroisse de Saint-Michel-d'Yamaska en 1722, confirmée en 1833. Érigée civilement en 1727, elle sera à l'origine de la municipalité du même nom établie en 1855. Toutefois, en 1845, avait vu le jour la municipalité de Yamaska, abolie en 1847 pour devenir partie de la municipalité de comté.

En adoptant la dénomination Saint-Michel-d'Yamaska, on a voulu célébrer le souvenir de Michel Leneuf de La Vallière et de Beaubassin, père (1640-1705), seigneur de Yamaska ou de La Vallière, fief qu'il reçoit en concession du gouverneur La Barre et de l'intendant de Meulles en 1683. Promu gouverneur de l'Acadie en 1683, alors qu'il y exerçait la fonction de commandant depuis 1678, il deviendra major de Montréal en 1699, fonction qu'il assumera jusqu'en 1702. Yamaska, pour sa part, qui identifie la rivière, provient, suivant le père Guinard, de l'amérindien iyamaskaw, il y a beaucoup de foin, de jonc.

Les Maskoutains, qui partagent leur nom collectif avec les citoyens de Saint-Hyacinthe, de Saint-Hyacinthe-le-Confesseur, de Yamaska et de Yamaska-Est, étaient jadis agriculteurs en majorité et profitaient de l'abondance du foin, comme en fait foi le constituant amérindien de la dénomination municipale. De nos jours, le commerce du bois et de la brique constitue le pivot de l'économie locale.

Lors de la signature du Traité de la Grande Paix signé à Montréal en 1701, il y avait entre autres comme participante, une tribu nommée Mascoutens.

Au total se sont 39 tribus qui ont signées ce traité de paix.

Source: Noms et lieux du Québec, ouvrage de la Commission de toponymie paru en 1994 et 1996 sous la forme d'un dictionnaire illustré imprimé, et sous celle d'un cédérom réalisé par la société Micro-Intel, en 1997, à partir de ce dictionnaire.