Valérie Trierweiler

How are you related to Valérie Trierweiler?

Connect to the World Family Tree to find out

Share your family tree and photos with the people you know and love

  • Build your family tree online
  • Share photos and videos
  • Smart Matching™ technology
  • Free!

Valérie Trierweiler (Massonneau)

Birthdate:
Birthplace: Angers, Maine-et-Loire, Pays de la Loire, France
Immediate Family:

Daughter of Jean Louis Noël Massonneau and Private
Ex-wife of Private; Private; Private and Private
Ex-partner of François Hollande, 24e Président de la République française
Mother of Private; Private; Private and Private
Sister of Private; Pascale Massonneau and Pascale Massonneau

Managed by: Pierre Quenee
Last Updated:
view all 19

Immediate Family

About Valérie Trierweiler

Valérie Trierweiler (French pronunciation: ​[vale%CA%81i tʁiɛʁvɛlɛːʁ]; née Massonneau; born 16 February 1965) is a French journalist and author.[1] She has hosted political talk shows and has contributed to Paris Match. She is best known for having been the partner of the President of the French Republic, François Hollande, until January 2014.[2]

Early life

Valérie Massonneau was born in Angers, the fifth child of six.[3] Her father, Jean-Noël Massonneau, had lost a leg on a landmine during the Second World War, when he was 13,[4] and died at the age of 53, when his daughter was 21.[3] Her mother worked at the front desk of the Angers ice rink following the death of her father.[3]

She studied History[3] and Political Science and obtained a DESS in political science from the University of Paris 1 Pantheon-Sorbonne.[5]

Career

In 2005, she began to host political talk shows, especially interviews, on the Direct 8 television channel. She fronted the weekly political talk show Le Grand 8 until 2007 and with Mikaël Guedj has co-hosted the weekly show Politiquement parlant ("politically speaking") since September of that year.

In 2012, she announced that she would keep her contract as a journalist with the Paris Match magazine despite her boyfriend being elected as President of France.[6]

On 12 June 2012, she caused widespread controversy by tweeting in support of Olivier Falorni, who was standing for election as a dissident socialist candidate at La Rochelle, against Ségolène Royal, François Hollande's former partner. Hollande had already made public his own support for Royal's campaign.[7][8]

In 2017, Trierweiler published her first novel, Le secret d'Adèle.[9] The book is about the life of Adele Bloch-Bauer, best known for Gustav Klimt's Portrait of Adele Bloch-Bauer I.[9]

Personal life

Her first marriage, to childhood friend Franck Thurieau,[10] ended in divorce with no children. Her second marriage was to Denis Trierweiler, a sub-editor at Paris Match magazine,[11] and a writer and academic. This marriage produced three children and divorce proceedings took three years (2007-2010).

She met François Hollande during the parliamentary elections of 1988 while he was living with Ségolène Royal. They began their relationship in 2007, while she was still married, and made it public in October 2010 after her divorce was publicized.[4]

In January 2014, a story in the celebrity magazine Closer featured seven pages of alleged revelations and photos about an affair between Hollande and the French actress Julie Gayet.[12][13] Trierweiler was subsequently admitted to hospital on 10 January "for rest and some tests".[14][15] On 17 January, Hollande made his first private visit to see her in hospital.[16][17] On 25 January, it was announced her relationship with Hollande had ended.[18]

In September 2014, a book written by Trierweiler, Merci pour ce moment (Thank You for This Moment), was published. It details her relationship with Hollande and their breakup

Wikipedia

Individual Note

compagne de François Hollande depuis 2004

Family Note

Marriage with Denis TRIERWEILERils ont eu trois garçons* Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: Sep 25 2017, 8:02:00 UTC



http://fr.wikipedia.org/wiki/Valérie_Trierweiler

About Valérie Trierweiler (Français)

Valérie Trierweiler, née Massonneau, est une journaliste politique française et animatrice de télévision, née le 16 février 1965 à Angers en Maine-et-Loire. Membre de la rédaction de Paris Match, elle présente entre 2005 et 2011, des émissions politiques sur la chaîne de télévision Direct 8.

Entre 2005 et 2014, elle partage sa vie avec François Hollande, élu président de la République française en 2012.

Biographie

Enfance, famille et études

Née à Angers, dans le quartier de la Roseraie, Valérie Massonneau, issue d'une famille modeste, est la cinquième d'une famille de six enfants.

Après avoir vécu dans la tour Chaptal de la cité du quartier du Grand-Pigeon, la famille Massonneau s'installe rue de Champagne en 1969, dans un lotissement pavillonnaire HLM proche du quartier de Monplaisir. Son père, Jean-Noël Massonneau, invalide civil de guerre après avoir perdu une jambe à cause d’un éclat d’obus en 1944 à l'âge de 12 ans, meurt quand elle a 21 ans. Banquiers, son grand-père et son arrière-grand-père ont été des associés de la banque angevine J. Bordier Fils, Massonneau et Cie, vendue en 1950 au Crédit de l'Ouest. Elle dit ne pas en avoir hérité de fortune et déclare avoir découvert cette partie de son histoire familiale seulement en 2012, pendant la campagne présidentielle, grâce aux investigations du quotidien Ouest-France,. Après la mort de son père, sa mère travaille comme hôtesse d'accueil à la patinoire d'Angers.

Valérie Massonneau suit une scolarité successivement à l'école Paul-Valéry, au collège Jean Lurçat et au lycée Joachim-du-Bellay d'Angers, où elle obtient un baccalauréat littéraire en 1983, avant de poursuivre ses études à l'université de Nanterre puis à l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne5 où elle suit des cours d'histoire puis de sciences politiques. Elle obtient le DESS de communication politique et sociale de l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne en 1988.

Après avoir divorcé de Frank Thurieau, un ami de jeunesse qu'elle avait épousé en 1989, Valérie Massonneau épouse Denis Trierweiler en 1995. Celui-ci est secrétaire de rédaction à Paris Match, auteur, universitaire, traducteur, germaniste et spécialiste du philosophe Hans Blumenberg. Ils auront trois fils, Anatole, né en 1992, Lorrain, né en 1995 et Léonard, né en 1997. Une procédure de divorce est engagée en 2007. Elle garde l'usage du nom de son mari après leur divorce prononcé en 2010.

À partir d'avril 2005, elle entretient une relation avec François Hollande qu'elle a rencontré dans un contexte professionnel lors des élections législatives de 1988. Celui-ci envisage de se présenter à l'élection présidentielle de 2007, mais y renonce. En octobre 2010, François Hollande rend publique leur liaison pour la première fois.

Carrière journalistique

Après l'obtention de son DESS en 1988, Valérie Trierweiler collabore à la revue Profession Politique où travaille Gérard Carreyrou. En 19895, Roger Thérond l'engage à Paris Match, où elle couvre des sujets politiques et suit notamment le Parti socialiste. En 2005, Paris Match l'écarte de la rubrique politique en la nommant grand reporter, un titre « fictif » car la rédaction lui demande de se consacrer uniquement à la critique littéraire.

À partir de 2005, au lancement de Direct 8, à l'époque chaîne du groupe Bolloré, elle présente des émissions et rendez-vous politiques, notamment sous forme d'entretiens. Ainsi, jusqu'en 2007, elle présente l'émission hebdomadaire en direct Le Grand 8, première émission politique de Direct 8, initialement en compagnie de Dominique Souchier.

À partir de septembre 2007, elle coanime, avec Mikaël Guedj, l'émission politique hebdomadaire de Direct 8, intitulée Politiquement parlant[ Après avoir animé, de mars à octobre 2011, 2012, Portrait de campagne, elle présente l'émission Itinéraires d'interview de personnalités du show business, à compter du 28 janvier 2012. Ce nouveau magazine connaît des débuts difficiles, en termes d'audience mais réussit ensuite de belles performances.

Rôle en politique et engagement humanitaire

Compagne du président de la République française (2012-2014)

Depuis le milieu des années 2000, elle partage sa vie avec François Hollande. Lors de sa campagne présidentielle, Valérie Trierweiler dispose d'un bureau au siège de campagne du candidat du PS, avenue de Ségur (Paris), notamment pour répondre au courrier qui lui est adressé ; elle prend également l'initiative d'installer dans le grand escalier une exposition de photographies. François Hollande étant le 24e président de la République depuis le 15 mai 2012, elle est présentée comme la « Première dame de France » bien qu'elle ne soit pas mariée à l'actuel chef de l'État et qu'elle refuse le terme. Ainsi, à la suite de la victoire de François Hollande, elle déclare, concernant ce « rôle » : « Il n'y a pas de définition précise, j'ai besoin de réfléchir. […] Ce sera plus facile une fois l'investiture passée, une fois que j'aurai vraiment réalisé, que tout cela deviendra concret y compris de façon pratique et que j'aurai notamment un agenda, un bureau ». En raison de la situation matrimoniale particulière du couple, les médias américains l'ont baptisée la « first girlfriend » à l'occasion du premier voyage présidentiel de mai 2012 aux États-Unis.

Elle assiste à l'investiture de François Hollande, où pour la première fois une « passation de témoin » entre Premières dames a lieu, et participe au programme organisé pour les Premières dames par Michelle Obama, lors du sommet du G8. Au sein du palais de l'Élysée, elle dispose d'un cabinet composé d’une chargée de mission, de deux secrétaires41, plus un chauffeur, dirigé par l'ancien journaliste Patrice Biancone, dispositif plus réduit que celui de Carla Bruni-Sarkozy, la taille de l'équipe n'étant pas légalement fixée. Lors d'une visite d'une école en marge du sommet de l'OTAN à Chicago, elle déclare avoir l'ambition de devenir « ambassadrice de l'égalité des chances ».

Elle publie François Hollande président. 400 jours dans les coulisses d'une victoire, un album de photos légendées, mais les ventes s'avèrent très décevantes.

Affirmant son indépendance, elle poursuit sa chronique littéraire hebdomadaire dans Paris Match. Le 12 juin 2012, dans l'entre-deux tours des élections législatives de 2012, quelques heures après que Ségolène Royal a annoncé sur sa profession de foi électorale avoir reçu le soutien de son ancien compagnon François Hollande, les encouragements adressés sur son compte Twitter par Valérie Trierweiler à Olivier Falorni, candidat socialiste dissident dans la première circonscription de la Charente-Maritime face à l'ancienne compagne du président de la République, posent la question de sa place dans le paysage politique français, et celle de la frontière entre vie privée et sphère publique. Cet événement a reçu le nom de « Tweetgate » ou « Trierweilergate » dans les médias, en référence au fameux scandale du Watergate, car il provoqua des tensions entre certains membres du Parti socialiste et la compagne de François Hollande, et aussi au sein de la famille du président de la République, son fils Thomas estimant un mois plus tard que ce tweet avait détruit l'« image normale » que son père avait construite. En septembre de la même année, elle déclare que « c'était une erreur » et qu’elle « le regrette ».

Elle continue par la suite de participer à plusieurs cérémonies officielles, où elle apparaît néanmoins plus en retrait. Lors de l’interview qui suit le défilé du 14 juillet, où sa compagne était présente dans la tribune présidentielle, François Hollande déclare : « Valérie veut garder son activité professionnelle. Je le comprends. Elle sera présente à mes côtés lorsque le protocole l’exigera, et ce n’est pas très fréquent ». Le conseiller spécial du président, Aquilino Morelle précise : « Les temps ont changé. Aujourd'hui, nous avons une Première dame qui travaille. Il faut s’adapter. Ne soyons pas plus royaliste que le roi. On peut être journaliste culturel et ne pas interférer avec la politique ». En septembre, elle devient ambassadrice de la fondation Danielle-Mitterrand. Elle annonce par la suite renoncer à animer une émission de télévision sur D8, où elle était pressentie.

Le 18 octobre 2012, lors d’un déplacement pour la fondation Danielle Mitterrand à Chambly (Oise), elle déclare finalement assumer le rôle de Première dame, reconnaissant avoir auparavant « tâtonné » : « On ne devient pas comme ça Première dame du jour au lendemain, mais j'éprouve maintenant une grande joie à faire ce genre de choses et je continuerai ». Alors qu’elle visite une école française à l’occasion du voyage diplomatique de François Hollande en Algérie, elle déclare à des enfants à propos de son rôle : « Ça fait très peur, au début. On ne sait pas ce qu’il faut faire. Ensuite, on apprend, comme vous à l’école ». En août 2013, elle déclare à l'occasion d'un déplacement à Cabourg avec des enfants défavorisés : « Je crois qu'aujourd'hui je me sens bien dans mon rôle ».

Le 15 mai 2013, à l'invitation de l'épouse du président du Mali Dioncounda Traoré, elle effectue son premier déplacement officiel en l’absence de François Hollande, afin « d'aborder la question du soutien aux enfants, aux femmes, mais aussi aux populations déplacées du fait de la guerre ».Lors d'un voyage dans un hôpital de Bukavu, à l'est de la République démocratique du Congo en juillet de la même année, elle s'engage en tant qu'ambassadrice de la fondation Danielle Mitterrand à défendre les femmes victimes de violences sexuelles dans ces régions marquées par les conflits ; elle déclare ainsi : « il n'y a plus de doute, il faut s'engager, il faut briser le silence ».

Début septembre 2013, un compte Twitter officiel est créé, avec la présentation : « compte officiel du bureau de la Première dame de France » ; il est géré par le chef de cabinet de Valérie Trierweiler et a pour but de relayer son actualité. Le 27 septembre 2013, elle donne au quotidien Ouest-France sa première interview officielle depuis l'affaire du tweet. "C'est une erreur que je regrette. Je n'avais pas réalisé que je n'étais plus une simple citoyenne."

Le 22 novembre 2013, lors d'un discours pour la fondation Danielle Mitterrand, elle s'est référée à l'ancienne Première dame en déclarant ne plus « se taire » : « Elle n'avait pas peur de porter haut les valeurs de gauche. Elle ne se laissait pas bâillonner »61. Un mois auparavant, lors de l'« affaire Leonarda », elle s'était publiquement indignée de la façon dont la collégienne avait été arrêtée.

Le 10 janvier 2014, après l'annonce dans Closer de la liaison cachée de François Hollande avec l'actrice Julie Gayet, Valérie Trierweiler est hospitalisée dans un hôpital parisien, pour « un gros coup de blues ». Le 18 janvier 2014, après une semaine d'hospitalisation, elle part se reposer à la résidence présidentielle de La Lanterne.

Le 25 janvier 2014, François Hollande annonce leur rupture à l'AFP.

L'après-Élysée (depuis 2014)

Valérie Trierweiler publie le 4 septembre 2014 un livre intitulé Merci pour ce moment dans lequel elle raconte les neuf années de sa relation avec François Hollande, et notamment les dix-huit mois qu'elle a passés à l’Élysée. Ce livre a été tiré à 200 000 exemplaires par les éditions Les Arènes, et a connu un vif succès sans avoir « besoin d’aucune campagne de promotion, ni de publicité pour se vendre », « les articles de presse et le bruit autour de l’ouvrage sur l’ensemble des médias et des réseaux sociaux » ayant joué ce rôle. En seize jours de commercialisation, l'ouvrage se serait vendu à 442 000 exemplaires.

Elle est actuellement engagée aux côtés de quatre associations : le Secours populaire français, Fondation Danielle-Mitterrand - France Libertés, Action contre la faim et Association européenne contre les leucodystrophies.

Procès

Le 20 octobre 2011, elle porte plainte contre X pour « collecte et traitement illicite de données personnelles » auprès du parquet de Paris, à la suite de la parution le 4 octobre, du magazine L'Express affirmant dans un article qu'au début 2011, elle aurait fait l'objet d'une enquête sur son passé et son entourage de la part d'une section de la Direction du Renseignement de la préfecture de police de Paris. Chargée par le parquet de Paris de mener des investigations, l'inspection générale de la Police nationale met en évidence que la fiche de Valérie Trierweiler est un faux mais clôt le dossier, sans chercher l'auteur du délit. Après avoir décidé de classer l'affaire, le parquet de Paris confie à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP) des investigations complémentaires réclamées par le préfet de police, Michel Gaudin.

Le 5 juin 2013, le tribunal de grande instance de Paris condamne les auteurs et la maison d'édition du livre La Frondeuse, biographie non autorisée de Valérie Trierweiler, à verser à celle-ci 10 000 euros de dommages et intérêts pour violation de la vie privée ; le magazine Point de vue est en outre condamné à lui verser, ainsi qu'à l’un des auteurs de l’ouvrage, 3 000 euros. Valérie Trierweiler choisit de reverser ces sommes à des œuvres caritatives. Le livre lui prêtait une relation avec l'homme politique Patrick Devedjian

Wikipedia

view all 13

Valérie Trierweiler's Timeline

1965
February 16, 1965
Angers, Maine-et-Loire, Pays de la Loire, France