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William Grant

Birthdate:
Birthplace: Kirkmichael, South Ayrshire, Scotland, United Kingdom
Death: November 20, 1810 (67)
Sorel, Pierre-De Saurel Regional County Municipality, Quebec, Canada
Immediate Family:

Son of John Grant and Jeanne Genevieve Grant
Husband of Marguerite Grant
Father of William Grant; Jean Baptiste Grant; Marguerite Grant; Jean Francoise Grant; Richard Grant and 2 others

Managed by: Mark Brunke
Last Updated:

About William Grant

http://www.biographi.ca/en/bio/grant_william_1743_1810_5E.html

https://en.wikipedia.org/wiki/William_Grant_%28fur_trader%29

http://www.redriverancestry.ca/GRANT-WILLIAM-1743.php

WILLIAM GRANT (1743-1810) MARGUERITE FARFARD dit LAFRAMBOISE (1769-1845) (Last Updated: January 02, 2014)

William GRANT was born Apr 24, 1743 in Kirkmichael, Scotland, the son of Genevieve FORBES and John GRANT.

  • * MORE ABOUT WILLIAM GRANT in WIKIPEDIA
    • MORE ABOUT WILLIAM GRANT in DCBO
    • MORE ABOUT WILLIAM GRANT in the CLAN GRANT CANADA WEBSITE

WOLFE DEFEATS MONTCALM on the PLAINS OF ABRAHAM VAUDREUIL is defeated in the BATTLE of ST FOY THE BRITISH FUR TRADE ERA BEGINS 1759-61

Quebec fell to the British in Sept, 1759 in the Battle on the Plains of Abraham. Both WOLFE and MONTCALM died in the battle. The following summer, in the Battle of Ste FOY, VAUDREUIL surrendered Montreal to MURRAY HAVILAND and AMHERST, and the whole of Canada to the British on Sep 8, 1760.

The French were finished in North America. At the time of the British conquest, General GAGE gave the first permit to trade in the Great Lakes region to Henry BOSTICK, and reluctantly granted the second to Alexander HENRY the Elder, (1739-1824) who set out for Mackinac in 1761. British soldiers occupied most of the forts in the Great Lakes later that year. By 1767 William was a resident of Montreal and was already involved in the fur trade as a merchant in the regions near Michilimackinac (Mackinac on map below), Lake Superior and Lake Nipigon.

In 1785 Etienne-Charles CAMPION (1737-1795) joined with a number of merchants at Michilimackinac in a partnership known as the General Company of Lake Superior and the South, or as the General Society, which concentrated on the trade south to the Illinois country and west to the headwaters of the Missouri. In that year also, CAMPION became one of the 19 founding members of the Beaver Club in Montreal. ** MORE ABOUT ETIENNE-CHARLES CAMPION in DCBO

Marriage to Marguerite FARFARD dit LAFRAMBOISE Grant, Campion and Company 1787-1791

On Feb 27, 1787 William married Marguerite FARFARD dit LAFRAMBOISE in Trois Rivieres, the daughter of Marguerite CHASTELAIN and Jean Baptiste FAFARD dit LAFRAMBOISE.

The General Society apparently dissolved in 1787, and in 1791 Etienne-Charles CAMPION, along with William GRANT of Montreal and some others, formed Grant, Campion and Company, which moved into the trade west of Lake Superior as far as the Saskatchewan country. It became an important rival of the North West Company.

In 1792 the GRANT-CAMPION group was party to an arrangement by which Joseph FROBISHER (1740-1810) of the North West Company secured agreement among a number of the opposing concerns to diminish the competition at the western posts. ** MORE ABOUT JOSEPH FROBISHER in DCBO

Grant, Campion and Company continued to outfit wintering traders and to sell wholesale to small merchants at Michilimackinac; it also became associated with James GRANT in the Timiskaming trade.

  • * MORE ABOUT JAMES GRANT in DCBO Mitchell:James GRANT was one of the numerous GRANTs in the Canadian fur trade after 1763; their relationships are obscure and there were even several James GRANTs. He may have been related to William GRANT of Montreal, who came from the same parish, although their letters do not suggest any family connection.

In 1792 William was Justice of Peace for the District of Trois-Rivieres.

In 1795 William retired from the fur trade.

On Nov 20, 1810 William GRANT died in Sorel, Quebec, southwest of Trois-Rivieres.

The North West Company – Hudson’s Bay Company Merger 1821

In 1821 the North West Company (NWC) and the Hudson’s Bay Company (HBC) occurred, ending years of bitter rivalry for dominance of the fur trade in Western Canada.

Around 1822-23 son Richard married Marie Anne BRELAND, daughter of Louise HUMPHREYVILLE and Pierre BRELAND (1764-1829). ** MORE ABOUT PIERRE BRELAND

In 1834 daughter-in-law Marie Anne (nee BRELAND; wife of her son Richard GRANT) died at Lesser Slave Lake. Around 1836-37, son Richard took his children to Trois-Rivieres to be raised by his mother (their grandmother), Widow Marguerite, now in her late 60’s. These would have been Stanislas Richard (about 12 years old) and his younger siblings, Charles, Jeanne and Johnny.

On Sep 8, 1845 Marguerite LAFRAMBOISE – GRANT died in Champlain, Quebec (near Trois Rivieres). She would have been about 76 years old.

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=============== Family Details ================

Children: ** Based on a chart from the Clan Grant Canada Website
1. Dec 19, 1787 WILLIAM GRANT 2. c1788 JEAN BAPTISTE GRANT 3. Jan 29, 1790 MARGUERITE GRANT (Died in infancy) 3. Apr 11, 1791 JEAN FRANCOIS GRANT 5. Jan 20, 1794 RICHARD GRANT (m1. Marie Anne BRELAND, m2. Sarah (Indian), m3. Helene McDONALD)

  • * MORE ABOUT RICHARD GRANT 6. Mar 10, 1799 JEANNE GRANT (m1. Charles LAFRAINAIE) 7. Mar 13, 1800 MARIE MARGUERITE GRANT (m. Charles Pallison FONTAINER)

About William Grant (Français)

GRANT, WILLIAM, trafiquant de fourrures et marchand, né en 1743 à Kirkmichael, Écosse, fils de John Grant et de Genevieve Forbes ; le 27 février 1787, il épousa à Trois-Rivières (Québec) Marguerite Fafard, dit Laframboise, et ils eurent cinq enfants ; décédé le 20 novembre 1810 près de William Henry (Sorel, Québec).

William Grant, communément surnommé William Grant de Trois-Rivières pour le distinguer de William Grant de Saint-Roch, et d’au moins deux autres personnages du même nom qui furent ses contemporains, appartient à une grande famille dont plusieurs membres furent actifs dans la traite des fourrures pendant les premières décennies du Régime anglais. Il arrive dans la province de Québec peu après la Conquête. En 1767, il habite Montréal où il est déjà un négociant engagé dans la traite des fourrures. Il poursuit sa carrière pendant près de 20 ans, seul ou avec des associés, dans la région située au sud-ouest de Michillimakinac (Mackinaw City, Michigan) et dans celle des lacs Supérieur et Nipigon. Sa vie publique ne paraît pas avoir été importante ; le seul poste qu’il aurait occupé est celui de juge de paix du district de Trois-Rivières en 1792.

En 1767, des marchands de Michillimakinac remettent à Grant et à Richard DOBIE des propositions concernant la réorganisation de la traite afin qu’elles soient étudiées et acheminées à Londres. Puis plus de trace de l’activité de Grant pendant les dix années suivantes. En 1777, il fournit une caution à Ezekiel Solomons qui expédie un canot de marchandises d’une valeur de £250 à Michillimakinac. En 1778, il obtient, avec Solomons, deux permis de traite pour expédier cinq canots transportant des marchandises évaluées à £1 650 au lac Nipigon et, la même année, il séjourne à Michillimakinac. Avant 1777, il s’était associé à John Grant, gendre de Dobie ; le fonctionnement de cette société qui se termine en 1780 demeure inconnu.

Pendant les années 1780, Grant poursuit son activité de trafiquant. Il obtient régulièrement des permis et séjourne plusieurs fois dans les pays d’en haut. Il s’intéresse à la région du lac Supérieur, où il envoie un canot et £50 de marchandises en 1780, et à la zone tributaire de Michillimakinac, où il achemine quatre canots et une cargaison d’une valeur de £2 000 en 1781, quatre canots totalisant £3 500 l’année suivante, et cinq canots évalués à £5 000 en 1783. L’année précédente, il s’était lié à Gabriel Cotté* pour faire la traite aux postes du lac Nipigon et de la rivière Pic (Ontario). Les associés fournissaient les marchandises à parts égales et partageaient de même les produits de la traite. En 1785, Alexander Shaw, employé de Grant et Cotté, entre dans la société, et les trois hommes divisent également les profits et les pertes. Cette entente semble avoir pris fin en 1786.

De 1780 à 1786, Grant agit rarement à titre de caution ; il en fournit une seule en 1782. Il est alors associé à Dobie qui joue un rôle important dans la carrière de Grant pendant ces années. Dobie compte habituellement parmi ceux qui appuient financièrement les expéditions de Grant et il agit comme équipeur des sociétés qu’il a formées avec Cotté ainsi qu’avec Shaw. Après avoir obtenu des permis de traite à destination de Michillimakinac (Mackinac Island, Michigan), Grant équipe quatre canots évalués à £2 800 en 1786, deux canots d’une valeur de £450 en 1787 et un canot estimé à £200 l’année suivante ; il y séjourne au moins en 1786 et en 1790. En même temps, il semble prendre une part plus active au négoce ; il collabore avec Dobie pour fournir l’équipement nécessaire à tout un réseau de trafiquants et, toujours avec lui, il agit comme bailleur de fonds. Cette association non officielle se termine en 1788 au moment où Dobie prend un nouvel associé, Francis Badgley*.

Cette expérience, de même que ses liens professionnels et amicaux avec Dobie, sera très utile à Grant pendant les dernières années de sa carrière dans la traite des fourrures. En 1791, il forme avec Étienne-Charles Campion*, trafiquant de Michillimakinac, et Samuel Gerrard*, marchand de Montréal et parent par alliance de Dobie, la Grant, Campion and Company qui va occuper une place très importante dans le commerce au sud-ouest des Grands Lacs et au Témiscamingue. Au sein de cette compagnie, Grant s’occupe du commerce général, Campion de la traite « avec les sauvages dans les pays d’en haut » et Gerrard tient les livres de comptes. Grant et Campion reçoivent chacun trois huitièmes des profits et Gerrard, le dernier quart.

La Grant, Campion and Company semble avoir pris en main le réseau de traite équipé antérieurement par Dobie. Elle fournit des objets de traite à divers marchands de Michillimakinac ainsi qu’à des trafiquants de toute la région s’étendant du lac Supérieur au Mississippi. La compagnie s’occupe de l’engagement de voyageurs, paie leurs gages et écoule les fourrures qui lui sont consignées, soit à Montréal ou en Angleterre. La société participe aussi directement à la traite à Michillimakinac, où Campion est très actif, et au Témiscamingue où la société semble posséder un droit exclusif d’exploitation et où son correspondant est Charles Phillips.

Au début des années 1790, la Grant, Campion and Company figure parmi les plus importantes sociétés engagées dans le commerce des fourrures au sud-ouest de Grand Portage (près de Grand Portage, Minnesota), de Michillimakinac et de Detroit. Avec la Todd, McGill and Company, la Forsyth, Richardson and Company et Alexander Henry*, elle entreprend des négociations avec la North West Company au sujet du partage des zones de traite et, en septembre 1792, les compagnies conviennent de ne pas nuire à leurs intérêts respectifs. On procède alors à un nouveau partage des actions de la North West Company, et la Grant, Campion and Company en reçoit une. Cependant, en novembre 1794, Grant décide de mettre fin à la société au mois de novembre de l’année suivante. Dans une longue lettre à Simon McTavish, il explique que la situation précaire du commerce des fourrures dans le sud-ouest des Grands Lacs, de même que de violentes douleurs à l’estomac et des problèmes de vision, qui l’empêchent presque d’écrire, font en sorte qu’il se trouve de moins en moins capable de mener ses affaires. Sa crainte que la Grande-Bretagne soit obligée d’abandonner sous peu les postes du Sud-Ouest semble également avoir influencé sa décision. La compagnie est donc dissoute en novembre 1795. Campion meurt peu de temps après et Grant se retire définitivement du commerce des fourrures.

Grant s’était aussi intéressé au commerce de gros et de détail de produits importés de Grande-Bretagne. Il exerce d’abord cette activité à Trois-Rivières, où il s’était marié en 1787, avait acquis une propriété en 1788 et avait élevé sa famille. Durant les années où il participa à la Grant, Campion and Company, il avait un associé à Trois-Rivières, James Mackenzie, qu’il approvisionnait en produits importés pour le marché trifluvien ; la James Mackenzie and Company est dissoute le 1er octobre 1796. Peu de temps après, Grant prend un nouvel associé, Claude Laframboise, avec lequel il est en affaires jusqu’en 1800 sous le nom de William Grant and Company, à Trois-Rivières, et de Grant and Laframboise, à Montréal. Grant quitte Trois-Rivières et, en 1801, s’installe avec sa famille à Nicolet où habite son beau-frère, Pierre-Michel Cressé, seigneur de l’endroit. Il semble continuer à s’intéresser au commerce et il passe quelques années à William Henry avant sa mort. Il est possible que ces nombreux déplacements résultent de difficultés financières. Il ne semble pas avoir laissé un important patrimoine à ses héritiers : après sa mort, la vente de ses biens ne rapporte que 2 657#.

William Grant s’est mérité une place importante dans les annales du commerce des fourrures au xviiie siècle. Il a participé comme trafiquant et comme marchand à la période de prospérité et d’expansion de la région située au sud-ouest des Grands Lacs et il s’est retiré à la veille de la cession des postes aux Américains par la signature du traité Jay en 1794. Il a contribué à la concentration du trafic des fourrures dans cette région et favorisé ainsi la constitution d’une opposition à la North West Company.

Joanne Burgess

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William Grant's Timeline

1743
April 24, 1743
Kirkmichael, South Ayrshire, Scotland, United Kingdom
1787
December 19, 1787
1788
1788
1790
January 29, 1790
1791
April 11, 1791
1794
January 20, 1794
Montreal, Montreal, Québec, Canada
1799
March 10, 1799
1800
March 13, 1800
1810
November 20, 1810
Age 67
Sorel, Pierre-De Saurel Regional County Municipality, Quebec, Canada