Marie-Catherine De Baillon

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Marie-Catherine De Baillon

Also Known As: "Catherine DE BAILLON"
Birthdate:
Birthplace: Montfort-l'Amaury, Rambouillet, Chartres, Île-de-France, France
Death: January 27, 1688 (42)
Rivière-Ouelle, Kamouraska, Québec, Canada (Smallpox)
Place of Burial: Notre-Dame de Liesse, Quebec
Immediate Family:

Daughter of Alphonse de Baillon, seigneur de La Massicotterie and Louise De Baillon
Wife of Private and Jacques Miville dit Deschênes, Sieur des Chênes
Mother of Private; Pierre Miville Deschênes; Marie-Catherine Miville-Deschênes; Charles Miville dit Deschênes, Sr.; Jean Miville dit Deschênes and 6 others
Sister of Alphonse De Baillon; Claude-Marie Gouthiere (de Baillon); Antoine de Baillon; Louise du Bocquet (de Baillon); Louis De Baillon and 1 other

Occupation: Fille du Roi
Managed by: Private User
Last Updated:

About Marie-Catherine De Baillon

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Catherine de Baillon

Ancêtre des Miville d'Amérique

Catherine de Baillon, naît aux Layes, en Île-de-France, en 1645. Troisième enfant du second mariage d’Alphonse de Baillon, sieur de la Massicotterie, avec Loyse de Marle, seigneuresse de Ragonant, la future fille du roi perd son père alors qu’elle n’a que trois ans. Comme celui-ci était très endetté, Loyse de Marle doit se départir de la plus grande partie de ses biens. Elle se remarie en 1649 avec Marq d’Amanzé, sieur de La Fond, ce qui n’empêche pas le tuteur des enfants du premier mariage de son défunt époux avec Claude Dupuys de lui créer de sérieuses difficultés.

Mise à l’écart de sa famille, Catherine de Baillon est placée à l’hôpital de la Salpêtrière, à Paris, d’où elle ne sortira que pour émigrer en Nouvelle-France en 1669. C’est à Québec qu’elle épouse, le 12 novembre 1669, Jacques Miville, sieur des Chênes, fils du Suisse Pierre Miville et de la Saintongeoise Charlotte Mongis établis dans la seigneurie de Lauson en 1649.

Dès 1674, Catherine de Baillon et Jacques Miville s’installent à la Grande-Anse (aujourd’hui La Pocatière), plus précisément à la rivière Saint-Jean, où ils consacrent temps et efforts à défricher la terre ainsi qu’à faire la traite des fourrures. Mais comme ils n’ont jamais pu se relever d’une une mauvaise saison de traite qui les avait endettés plusieurs années auparavant, le couple est acculé à la faillite. La vie devient si difficile que Jacques et Catherine finissent par devenir les fermiers du puissant homme d’affaires Charles Aubert de La Chesnaye. Mais en ce temps-là, en la lointaine France, le frère de Catherine, Antoine de Baillon, vit à Versailles où il sert comme lieutenant de la louveterie du Grand Dauphin, fils du roi Louis XIV. Nommé gouverneur de la ville de Pont de l’Arche, il fait un grand mariage avec Marie Marthe Deruel de Beauregard, et ce, en présence de nombreux grands dignitaires de la cour, et s’établit à l’hôtel de Rambouillet à Paris.

En 1687, une épidémie de fièvres pourpres (rougeole ?) s’abat sur la Nouvelle-France. Catherine et son mari Jacques se voient sans doute atteints par la maladie puisque tous deux succombent, à quelques jours d’intervalle, à la fin du mois de janvier 1688. Si à leur décès Jacques Miville et son épouse laissent peu de biens à leurs enfants, il n’en demeure pas moins que Catherine de Baillon est l’une quatre héritières de son frère mort deux ans et demi avant elle. Mais comme les de Baillon ont évincé Catherine de la succession, les enfants Miville doivent s’engager dans une longue suite de démarches et ce n’est qu’au terme de... 59 ans de patience qu’ils obtiendront, enfin, la part de l’héritage français qui leur est due. On estime que Catherine de Baillon compte aujourd’hui plusieurs centaines de milliers de descendants en Amérique du Nord.

http://www3.telus.net/public/cloutiem/Cloutier/QuestionsReponsesRog....

Research your genealogy

with Roger

    Questions and answers

Question 27 : Frank Kings and Emperor Charlemagne - Joseph Robidoux

Bon Jour. I hope that's right :) (I don't speak French!)

I'm a descendant of a Cloutier (my great grandmother married one of the Joseph Robidoux' from Quebec - Iberville). Just in the last two months I have realized what a family line I have descended from! Wow! Til now I have only known about my great grandfather and his contribution to settling a town in Nebraska which I thought was pretty impressive.

I have received last month a great genealogy document from some distant cousin which shows the Robidoux and the Cloutiers and some of their descendants back to France in the year 1230. I was wondering if you have any more genealogy information beyond that date? It seems that with a linguistic analysis of the name (I read about this on Michele Cloutier's website), it is possible the Cloutiers were originally of the Frank Kings, or the Merovingians. Is that correct? Do we descend from them?

Karen

  • *******

Answer:

Bonjour Karen,

I'm assuming that your are talking about Joseph Robidoux and Elisabeth Cloutier married in Henryville on 01 July 1879. If not, I would love to have the details about your g-great-grandmother.

All of the Quebec people who can link with Catherine de Baillon married to Jacques Miville dit Deschesnes in 1669 can claim to have the Frank Kings and Emperor Charlemagne as ancestors through her. This was confirmed recently by a very expert group of searchers and published in the "Mémoires de la Société généalogique Canadienne-Française" (see

http://www.habitant.org/baillon/index.htm#2%20March%202000). This therefore applies to the Cloutiers who have Catherine de Baillon among their ancestors.

As for our Cloutier ancestors, Zacharie and his father Denis, we cannot go any further than Denis because there were no civil records kept in most of France prior to 1600 and we have no other information. Only the nobility kept genealogy records to prove their rights to their titles. Our Cloutiers were not nobles.

Salut !

Roger


Catherine de Baillon, naît aux Layes, en Île-de-France, en 1645. Troisième enfant du second mariage d’Alphonse de Baillon, sieur de la Massicotterie, avec Loyse de Marle, seigneuresse de Ragonant, la future fille du roi perd son père alors qu’elle n’a que trois ans. Comme celui-ci était très endetté, Loyse de Marle doit se départir de la plus grande partie de ses biens. Elle se remarie en 1649 avec Marq d’Amanzé, sieur de La Fond, ce qui n’empêche pas le tuteur des enfants du premier mariage de son défunt époux avec Claude Dupuys de lui créer de sérieuses difficultés.

Mise à l’écart de sa famille, Catherine de Baillon est placée à l’hôpital de la Salpêtrière, à Paris, d’où elle ne sortira que pour émigrer en Nouvelle-France en 1669. C’est à Québec qu’elle épouse, le 12 novembre 1669, Jacques Miville, sieur des Chênes, fils du Suisse Pierre Miville et de la Saintongeoise Charlotte Mongis établis dans la seigneurie de Lauson en 1649.

Dès 1674, Catherine de Baillon et Jacques Miville s’installent à la Grande-Anse (aujourd’hui La Pocatière), plus précisément à la rivière Saint-Jean, où ils consacrent temps et efforts à défricher la terre ainsi qu’à faire la traite des fourrures. Mais comme ils n’ont jamais pu se relever d’une une mauvaise saison de traite qui les avait endettés plusieurs années auparavant, le couple est acculé à la faillite. La vie devient si difficile que Jacques et Catherine finissent par devenir les fermiers du puissant homme d’affaires Charles Aubert de La Chesnaye. Mais en ce temps-là, en la lointaine France, le frère de Catherine, Antoine de Baillon, vit à Versailles où il sert comme lieutenant de la louveterie du Grand Dauphin, fils du roi Louis XIV. Nommé gouverneur de la ville de Pont de l’Arche, il fait un grand mariage avec Marie Marthe Deruel de Beauregard, et ce, en présence de nombreux grands dignitaires de la cour, et s’établit à l’hôtel de Rambouillet à Paris.

En 1687, une épidémie de fièvres pourpres (rougeole ?) s’abat sur la Nouvelle-France. Catherine et son mari Jacques se voient sans doute atteints par la maladie puisque tous deux succombent, à quelques jours d’intervalle, à la fin du mois de janvier 1688. Si à leur décès Jacques Miville et son épouse laissent peu de biens à leurs enfants, il n’en demeure pas moins que Catherine de Baillon est l’une quatre héritières de son frère mort deux ans et demi avant elle. Mais comme les de Baillon ont évincé Catherine de la succession, les enfants Miville doivent s’engager dans une longue suite de démarches et ce n’est qu’au terme de... 59 ans de patience qu’ils obtiendront, enfin, la part de l’héritage français qui leur est due. On estime que Catherine de Baillon compte aujourd’hui plusieurs centaines de milliers de descendants en Amérique du Nord.

Texte : Raymond Ouimet (raymond.ouimet@sympatico.ca)

Nicole Mauger (nicole.mauger@freesbee.fr)

Source : Raymond Ouimet et Nicole Mauger, Catherine de Baillon - Enquête sur une fille du roi, à paraître aux éditions du Septentrion, Sillery, à l’automne 2001.



http://www.histoire-genealogie.com/article.php3?id_article=350

Catherine DeBaillon nee en 1645, issue d'une famille noble copmrenant des vicomtes et seigneurs ruines a l'epoque ou elle naquit. Elle vint au Canada comme fille du roi et apportait une lot s-elevant a 1,000 livres. Catherine a epouse Jacques-Milville-Dechesne a Quebec, le 12 Novembre 1669. Le couple s'etablit a Riviere-Ouelle et y eleva six enfants.



http://www.histoire-genealogie.com/article.php3?id_article=350

Catherine DeBaillon nee en 1645, issue d'une famille noble copmrenant des vicomtes et seigneurs ruines a l'epoque ou elle naquit. Elle vint au Canada comme fille du roi et apportait une lot s-elevant a 1,000 livres. Catherine a epouse Jacques-Milville-Dechesne a Quebec, le 12 Novembre 1669. Le couple s'etablit a Riviere-Ouelle et y eleva six enfants.



aussi connue sous le nom de Marie de Baillon 5, Catherine de Baillou 4 et Catherine Baillon 2, 3.

Elle est la fille de Sieur Alphonse de Baillon de la Mascotterie 6, 7 et Louise de Marle 6, 7.

Elle nait autour de 1645 à Les Layes, Essarts-le-Roi, Yvelines, France 2, 6, 8. Marie-Catherine de Baillon émigre en 1669 9. Marie-Catherine de Baillon et Jacques Miville dit Deschênes signent un contrat de mariage le 19 octobre 1669 par devant Sieur Pierre Duquet de la Chenaye 9. Elle épouse Jacques Miville dit Deschênes fils de Charlotte Maugis et Pierre Miville dit LeSuisse le 12 novembre 1669 à Notre-Dame, Québec, Capitale-Nationale, Québec, Canada 2, 3, 4. Charles Miville dite Deschênes, Jean Miville dit Deschênes, Charles Miville, Marie-Catherine Miville dite Deschênes, Marie-Catherine de Baillon et Jacques Miville dit Deschênes résident à la Bouteillerie, Québec en 1681 2. Elle décède le 27 janvier 1688 à Rivière-Ouelle, Québec 1, 11. Elle est inhumée le 30 janvier 1688 à Notre-Dame-de-Liesse, Rivière-Ouelle 11.

Elle ondoie Catherine Ledran à la côte de Lauzon, Chaudière-Appalaches, Québec pour péril de mort 10

1. Courriel de Darleene Watkins - 3 décembre 2007

2. Internet - Recensement de 1681 en Nouvelle-France, référant au chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@gel.ulaval.ca) le 17 mars 1998.

3. Tanguay - Volume 1, p. 435, 436

4. Histoire de Lauzon - p. 422

5. Courriel de Nancy Leuenberger - 25 mai 2008

6. Fichier Origine - version 14, 15 janvier 2001

7. Tanguay - Volume 1, p. 436

8. Tanguay - Volume 1, p. 436 (Montfort-la-Morille, Chartres)

9. Lettre de Joseph Pope - 22 juillet 2003

10. Histoire de Lauzon - p. 333

11. Lettre de Bob Leroux - juillet 2003

Source http://genealogiequebec.info/testphp/info.php?no=2997


GEDCOM Source

Ancestry Family Trees Name: Online publication - Provo, UT, USA: Ancestry.com. Original data: Family Tree files submitted by Ancestry members.; @R1@ Record for Charles (l'ainé) Miville dit Deschênes http://search.ancestry.ca/cgi-bin/sse.dll?db=1030&h=28889795151&ind...

GEDCOM Source

Ancestry Family Trees Name: Online publication - Provo, UT, USA: Ancestry.com. Original data: Family Tree files submitted by Ancestry members.; @R1@ Record for Charles (l'ainé) Miville dit Deschênes http://search.ancestry.ca/cgi-bin/sse.dll?db=1030&h=28889795151&ind...

GEDCOM Source

Ancestry Family Trees Name: Online publication - Provo, UT, USA: Ancestry.com. Original data: Family Tree files submitted by Ancestry members.; @R1@ Record for Pierre Miville Deschenes http://search.ancestry.ca/cgi-bin/sse.dll?db=1030&h=38435781740&ind...

GEDCOM Source

Ancestry Family Trees Name: Online publication - Provo, UT, USA: Ancestry.com. Original data: Family Tree files submitted by Ancestry members.; @R1@ Record for Pierre Miville Deschenes http://search.ancestry.ca/cgi-bin/sse.dll?db=1030&h=38435781740&ind...

GEDCOM Source

Ancestry Family Trees Name: Online publication - Provo, UT, USA: Ancestry.com. Original data: Family Tree files submitted by Ancestry members.; @R1@ Record for Charles (l'ainé) Miville dit Deschênes http://search.ancestry.ca/cgi-bin/sse.dll?db=1030&h=28889795151&ind...


GEDCOM Source

@R203173684@ Ancestry Family Trees Online publication - Provo, UT, USA: Ancestry.com. Original data: Family Tree files submitted by Ancestry members. Ancestry Family Tree http://trees.ancestry.com/pt/AMTCitationRedir.aspx?tid=153754532&pi...



Catherine de Baillon was among the Filles du Roi, a group of women ordered by the King to be recruited and sent to New France to marry the colony's settlers. She was one of the few Filles du Roi who had noble ancestry. She is the genealogical link between many French Canadians and royal ancestors, including Charlemagne. Catherine being from a noble French family was unusual among the Filles du Roi. Although her father was dead, she still had her mother, her tutors and a brother well-placed at court in France. Although not rich, she still brought a dowry of 1000 livres.

Raymond Ouimet and Nicole Mauger in their book on Catherine de Baillon proposed one plausible explanation.

Accounts from the era suggest she was put aboard ship against her will, possibly after having been locked up at La Salpêtrière in Paris. (The Pitié-Salpêtrière Hospital was the dumping grounds for women who received the dreaded diagnosis of "hysterical" and also for orphans.)[3] It was also used by noble families who had a daughter who was an embarasment in some way to put them out of circulation.[4] Despite her dowry and nobility, none of the 12 bachelor gentry of Québec approached her. It would appear that a bad reputation had preceded her to New France."[5] Catherine's brother, Antoine, was equerry to Gaston Henry de Bourbon, Duke of Verneuil, titular bishop of Metz, and great-uncle of Louis XIV. Through her brother, Catherine may have met this high lord and had a short liaison with him. In October 1668, the Duke of Verneuil married Charlotte Séguier, daughter of the Chancellor of France. Catherine may have been indiscreet as to her adventure with the duke. To protect his own future at the court and avoid a source of embarrassment to his newly married protector, Antoine may have locked up his too loquacious sister at La Salpêtrière and afterwards had her incorporated in the next shipment of Filles du Roi towards New France.[4] Jean-René Côté and Anita Seni in their works on Catherine de Baillon show how Catherine's decision to migrate to New France was influenced by Louis-Théandre Chartier, sieur of Lotbinière. Unlike Ouimet and Mauger they do not believe that Catherine was a naughty young woman forced to migrate, but rather she chose to do so based on her social position and family contacts.[6][7]

It is possible that Catherine de Baillon was never confined at La Salpêtrière, as Ouimet and Mauger suggest, and that she joined the King's Daughters of her own free will. Her family was connected to someone associated with the hospital. Her mother, believing that she was not able to provide for Catherine properly may have encouraged her youngest to go to New France with other unmarried young women searching for better opportunities.

Louis Viole, her uncle and tutor to her sisters, Elisabeth and Marie-Claude, had a young aunt, Marie Defita, who may have intervened in favor of Catherine. Marie was better known as Mademoisselle Viole. She was an Assistant and the Treasurer of the Ladies of Charity, an organization that maintained close ties with La Salpêtrière. She was the head of the staff who cared for the women and girls interred at the hospital. Aware of a ship sailing for Canada at the beginning of summer 1669, it is possible that Mademoisselle Viole invited young Catherine to join the girls of La Salpetrière to avoid the costs of the crossing and to travel with the group in safety.

The decision by Catherine to leave for Canada was encouraged by the visit of Louis-Théandre Chartier, a friend and family ally. Visiting France in 1668, Mr. Chartier was able to present to Louise de Marle the many possibilities offered by New France.

Catherine de Baillon departed La Rochelle aboard the ship Le St-Jean-Baptiste on 15 May 1669 and arrived in Quebec on 30 Jun 1669.[8]

Drapeau identifiant les profils du Canada, Nouvelle-France Catherine (Baillon) de Baillon lived in Canada, Nouvelle-France. Marriage

Marriage Contract Catherine de Baillon is probably the daughter of the King who has been most studied by genealogists and historians. This interest is not related to the remarkable facts of Catherine de Baillon in New France but rather by what was revealed in her marriage contract made with Jacques Mivillve signed before the notary Pierre Duquet on 19 October 1669. The contract states that she was "Catherine de Baillon, daughter of deceased Alphonse de Baillon Squire, Sieur de la Mascotterie, and Louise de Marle". The title of his father indicates that he was a noble owner of the seigneury of the Mascotterie. This marriage contract was also the first document in which Jacques Miville was called "Sieur Deschenes". Jacques Miville had been granted land in the seigneury of Lauzon and he may have wanted to make himself more interesting in the eyes of his future wife. The marriage contract specified that Catherine de Baillon had brought from France the sum of 1000 livres of which 300 were placed in the community goods of the couple. It was quite a fortune that Catherine had with her. It is rather intriguing to find this young woman among the daughters of the King who had, for the majority of them, only 50 livres in dowry and which came from the treasury of the King of France.[9][10]

At the office of Notary Duquet, Jacques Miville was surrounded by family members and relatives. Catherine de Baillon was accompanied by Daniel de Remy, Knight of France, Seigneur de Courcelles, and Governor General for the King; Pierre de Saurel, a Captain of the Carignan-Salières regiment; Louie Roüer, Sieur de Villeray, First Counselor of the Sovereign Council; and the Captain of the vessel Le St-Jean Baptiste, Pierre Fillye. In addition to the Governor General, Claude de Boutroue d'Aubigny, the Intendant of New France, signed the contract. The presence of the Governor and the Intendant for the simple signing of a marriage contract may seem astonishing, but attests to the importance of Catherine de Baillon. Catherine had a brother in France who was close to the Royal family. Antoine de Baillon was the Squire of Gaston-Henri de Bourbon, Duke of Verneuil, who was the uncle of King Louis XIV.[11]

Marriage Catherine de Baillon married Jacques Miville 12 November 1669 at Notre-Dame de Québec.[12]

Family

Known children of Jacques Miville and Catherine de Baillon:

Marie Catherine, born 22 August 1670 and baptized 3 Sept. in Québec. She married (1) Ignace DURAND 24 February 1691 in Québec; (2) Jean-Baptiste SOULARD 16 septembre 1701 in Québec and (3) Jean-Joseph FERRÉ dit DUBURON on 6 February 1713 in Québec. She died and was buried July 13, 1715 in Quebec City. Charles, born 5 September 1671 and baptized on the 8th in Québec. He married Louise Charlotte GRONDIN on 13 February 1697 in Rivière-Ouelle. Jean was born 5 September 1672 and baptized the next day in Québec. He married 13 May 1691 at Rivière-Ouelle Marie Madeleine DUBÉ, daughter of Mathurin et Marie CAMPION. He died 30 December 1711 and was buried the following day at Rivière-Ouelle. Marie Louise was born 30 March 1675 at Saint-Jean-Port-Joli, and she was baptized 23 July 1675 in Québec. She died 10 October 1754 and was buried the next day in Saint -Laurent, Île de Montréal. Charles was born 14 August 1677 in Rivière-Ouelle and baptized 1 September in Québec. He married Marie-Marthe VALLÉE 28 August 1702 in Rivière-Ouelle. Charles was buried 11 February 1758 in La Pocatière Claude Marie was born 1 October 1681 in Rivière- Ouelle and baptized 20 November 1681 in L’Islet. She married (1) François NIQUETTE dit MONTY on 7 January 1699 in Saint-François-du-Lac; (2) Jean Baptiste Louis HAREL 2 March 1710 in Saint- François-du-Lac; (3) Gilles BADAYAC dit LAPLANTE on 22 July 1725 also at Saint-François-du-Lac. Claude Marie was a midwife. She died between November 1744 and February 1747 at St-François-du-Lac. After living a few years in the Miville lands in Lauzon, the couple settled on in La Grande Anse, near Rivière-Ouelle.

In 1681 the couple and four children were residing in La Bouteillerie. According to the Census: Jacques Minville 46; Catherine Baillon, sa femme, 36; enfant: Catherine 12, Charles 11, Jean 9, Charles 5; the family had 2 rifles, seven cattle, and a little over 6.75 acres (8 arpents = 6.758 acres) under cultivation.[13][14][15]

Death

Catherine and Jacques died a few hours apart in 1688, probably victims of an epidemic. Marie Catherine de Baillon died on 27 Jan 1688 in Rivière-Ouelle, Canada Nouvelle-France, and was buried on 30 Jan 1688. On the burial record, the priest wrote her name "Marie Catherina Bayon


GEDCOM Note

Prior to 1663 the majority of women who arrived in Canada were married to one of the settlers or were single women who came looking for a husband. These single women were few in number and often paid their own passage to Canada by a contract of indenture. In 1663 when King Louis XIV became concerned with populating the colony of New France. He directed a recruitment of women to be sent to Canada.

Once chosen, the girl was given passage, clothing, and personal necessities. She was also given a dowry of 59 livres if she married a soldier or habitant. She was given 100 livres if she married an officer. Of the nearly 1000 women who undertook the journey, about 800 made it to Canada. These women arrived between 1663 and 1673. There distinction of being a King's Daughter is noted by the marriage contract which showed the dowry from the king.

Catherine de Baillon, wife of Jacques Miville dit Deschenes, was such an individual. She came with a 1000 livres dowry and was considered to be be born from an upper class family. Her ancestory can now be traced back to Charlemagne and the 7th century.


GEDCOM Note

Catherine de Baillon - Scandaleuse
Les Romantiques - 28/09/2017

(1645-1688)

Anne du scandale : 1668.
Epoque : Rgne de Louis XIV.
Objet du scandale : Enferme lhpital de la Salptrire la demande de son frre, suite sa sduction par le duc de Verneuil, fils btard dHenri IV et ex-vque de Metz, elle sera expdie au Canada en tant que fille du roi dans le contingent de 1669

Catherine de Baillon est ne aux Hayes, dans la commune des Essarts le roi (Yvelines), dans le courant de lanne 1645. Elle est la dernirefille du couple Alphonse de Baillon, seigneur de Valence et de la Mascottire, et de sa seconde pouse, Louise de Marle.

Le pre de Catherine avait pous en premires noces Claude Dupuy, qui tait morte aprs douze ans de mariage en lui laissant deux petites filles : Elisabeth et Claude Marie. Soucieux de donner une mre ses deuxenfants, le seigneur de Valence avait ensuite pous en 1640 Louise deMarle, ge de vingt-huit ans (lui-mme en avait trente-sept), qui luiavait enfin donn lhritier tant attendu, Antoine (n en 1643), et deux filles, Louise en 1644 et la petite dernire Catherine en 1645.

Les de Baillon appartiennent la petite noblesse, mais lascendance de Catherine est prestigieuse : de sa grand-mre paternelle on peut remonter jusqu Charlemagne. Hlas, un grand nom napporte pas toujours laisance : le grand-pre de Catherine, Adam II de Baillon (1528-1610), avait reu de son pre un hritage de 40 000 livres. Son fils, aussi prnomm Adam III (1570-1626), avait fait une belle carrire militaire mais dilapid la fortune de la famille. Quand le pre de Catherine,Alphonse de Baillon, se maria pour la premire fois, il navait ni terre ni profession et la fortune de la famille (ou ce quil en restait) tait tombe dans lescarcelle de son frre an, Adam IV de Baillon.

La dot de sa premire pouse avait permis Alphonse dacheter la mtairie de la Massicotterie (en Yvelines) pour 2 880 livres. La dot de ladeuxime consistait en la terre de Ragonan, accompagne dune jolie somme qui lui avait permis dacheter le fief des Enclaves et dagrandir sa seigneurie.

A sa naissance, Catherine peut donc esprer un destin digne dune fille de seigneur ais, mais la mort de son pre quand elle a trois ans, en 1648, va dtruire ce beau rve. A lautomne 1648 Alphonse de Baillon meurt brutalement, laissant une veuve enceinte avec cinq enfants charge. En 1649, Louise de Marle perd lenfant quelle porte et doit faire face des dettes importantes laisses par son mari.

A cette poque la campagne est ravage par la Fronde, et il ne fait pasbon tre une jeune femme avec des enfants charge et peu dargent sa disposition. Heureusement elle rencontre un jeune gentilhomme, MarcdAmanz seigneur de la Fond, qui tombe sous son charme et lpouse en 1649. Ladolescence de Catherine se passe donc avec sa mre et son nouvel poux la Massicotterie. Ses demi-soeurs se marient rapidement : en 1654 Claude Marie de Baillon pouse Gilles Thiboust, un sergentroyal, et en 1657 Elisabeth pouse Paul Hanot, un notaire royal, tous deux sont des roturiers.

En 1658 son frre, Antoine de Baillon, obtient une belle position : il devient page au service de Gaston Henri de Bourbon, btard dHenri IVet de la marquise de Verneuil. Il va ds lors frquenter Paris et son beau monde, et en fera profiter ses soeurs ds quil sera devenu adulte. Catherine et sa soeur Louise sont places dans un couvent lgede quinze ans et apprennent lire et crire. Elles reviennent frquemment la Massicotterie et revoient leur frre, qui accompagne souvent Gaston Henri de Bourbon dans ses dplacements labbaye des Vaux de Cernay, dont il est labb et dont les terres jouxtent celles de laMassicotterie.

Bien malgr lui, le fils dHenri IV tait ds sa naissance destin la carrire ecclsiastique. Fils de roi, il est nomm vque de Metz en1612 ( lge de onze ans !) et jouit de plus de 400 000 livres de revenus en bnfices (il est abb commendataire de St Germain des Prs et de labbaye des Vaux). Il na aucun got pour la vie religieuse quon lui a impose, mais sait user de ses privilges pour sadonner ce quil aime, cest--dire la chasse et les femmes. En 1652, lge de cinquante ans, il dcide de renoncer sa charge dvque.Mazarin lui accorde ce privilge (mais continue de lui distribuer les revenus des abbayes dont il est labb en titre) et le roi Louis XIV le fait chevalier de lordre du Saint Esprit en 1661. Revenu la viecivile, il partage son temps entre Paris, les Yvelines et son beau chteau de Verneuil sur Halatte (Oise) quil a hrit de sa mre.

En 1663 le roi le nomme duc de Verneuil et pair de France, et en 1665 il est envoy comme ambassadeur extraordinaire du roi de France en Angleterre. En 1666 il est nomm gouverneur du Languedoc et part sur ses terres Pzenas, emmenant avec lui le jeune Antoine de Baillon qui lui est tout dvou. Celui-ci est devenu cuyer, puis premier cuyer du duc.

La rencontre avec Catherine de Baillon a d se faire vers 1665, puis lajeune femme revoit le duc de Verneuil en 1667, la suite dune visite Paris. Cet homme charmeur, qui a lge dtre son grand pre, est un sducteur dans lme. La jeune Catherine ne sait pas lui rsister et devient sa matresse clandestine. Que se passe-t-il ensuite ? Tombe-t-elle enceinte des oeuvres du fils dHenri IV ? Quelquun remarque-t-il sa prsence frquente chez le duc de Verneuil ? Toujours est-il que le scandale est suffisamment important et public pour que le jeune Antoine de Baillon ragisse rapidement en chef de famille. Dans le courant de lanne 1668, lors dun dplacement du duc de Verneuil enLanguedoc, il fait conduire sa soeur la prison pour femmes de la Salptrire.

Pour tre pensionnaire la Salptrire, il faut vivre Paris, tre pauvre, folle ou handicape : Catherine de Baillon ne remplit aucune de ces conditions. Il en existe une autre : avoir t interne sur lettre de cachet du roi. Or le duc de Verneuil est loncle de la main gauche du jeune Louis XIV, qui entend bien le marier maintenant quil est revenu la vie civile. Dautant quen 1668 le duc de Verneuil envisage de renoncer la vie ecclsiastique. Au cours de lt 1668, le bruit court quil va se marier ( soixante-sept ans) avec la veuve duduc de Sully, Charlotte Sguier, ge de quarante-six ans.

Les pourparlers de mariage sont engags et nul obstacle ne doit entraver cette union approuve par le roi. Catherine de Baillon se morfond depuis neuf mois la Salptrire lorsque le duc de Verneuil pouse Paris, le 29 octobre 1668, la veuve du duc de Sully.

Quant Antoine de Baillon, il cherche ds lors se dbarrasser de sa jeune soeur. Sa rputation ayant t entache, il ne peut plus la marier un noble de la cour. Il prend contact avec un oncle de la premire pouse de son pre, un nomm Louis Viole, dont une parente est assistante et trsorire des Dames de la Charit, qui ont dtroits liens avec ladministration de la Salptrire. Elles soccupent entre autresdu personnel qui prend soin des femmes enfermes. Or dans le courant de lhiver 1668, le personnel de la Salptrire commence rassembler un contingent de filles du roi qui doit partir lt suivant pour la Nouvelle France afin de repeupler cette colonie, selon les dsirs du roi et de Colbert.

Cest la mre de Catherine, Louise de Marle, en se dplaant la Salptrire qui prsente la situation sa fille : le mieux pour elle est de partir au Canada parmi les filles du roi, rassembles pour trouverun mari l-bas et sassurer un avenir plus radieux. Afin de ly aider sa mre propose de lui fournir 1 000 livres de dot. Cest bien moins que ce quont touch ses demi-soeurs leur mariage (Elisabeth avait eu 3 000 livres et Claude Marie 2 400 livres) mais 1 000 livres surle sol canadien, cest tout autre chose, et srement que Catherine pourra trouver un seigneur local suffisamment riche pour laccepter entant qupouse.

Et puis elle doit penser un peu lavenir de sa soeur Louise, resteprs de leur mre. Il faut lui trouver un mari elle aussi, et la rputation de Catherine entache toute la famille tant quelle demeure enFrance. Dailleurs le duc de Verneuil est prsent mari et ne semble gure press de prendre de ses nouvelles, la Nouvelle France est lavenir de Catherine, il faut quelle parte avec les filles du roi. De guerre lasse, la jeune fille cde.

Catherine de Baillon sembarque sur le Saint Jean Baptiste en juin 1669 et arrive dans la ville de Qubec, en Nouvelle France, en aot 1669. Elle fait partie dun contingent de 149 jeunes filles qui sont pour la plupart orphelines et ont reu du roi une dot de 50 livres chacune: une misre compare la sienne. Ds le dpart Catherine observe unecertaine distance avec ses compagnes de voyage : dabord elle est noble, ensuite elle a une dot consquente, et enfin elle est plus ge que la plupart de ces filles du roi. Elle a vingt-quatre ans, alors quela plus jeune en a seize.

A larrive du bateau une foule dhommes vient les observer pour choisir leur future promise : la plupart ont appartenu au rgiment Carignan, achet un lopin de terre et entendent le faire fructifier tout enlevant une famille quils comptent fonder avec une fille du roi. Quinze jours aprs leur arrive Qubec, les filles du roi sont en gnral maries et expdies sur les terres de leur colon de mari, que ce soit Qubec, Montral ou Trois Rivires. Or ce ne sera pas le caspour Catherine de Baillon.

Les Soeurs hospitalires du Couvent des Ursulines Qubec lhbergent et la voient rejeter avec ddain les prtendants qui viennent demander sa main. Il y en a peu, car sa rputation la prcde et sa mre asous-estim les cancans dune petite garnison comme Qubec. De plus Catherine veut pouser un seigneur local, mais cela ne court pas les rues. Dans le courant du mois daot, elle est prsente Jacques Miville, un jeune homme de six ans son an.

Il est robuste, aimable et de bonne constitution. Il est arriv au Canada lge de quinze ans avec son pre, Pierre (qui tait n en Suisse), et sa mre, Charlotte Maugis. Sa famille est trs en faveur auprs de Jean Talon, ladministrateur de la petite colonie, et sest installe sur la cte de Lauzon. Ils ont aussi un bel htel place Royale Qubec.

De plus Jacques Miville peut esprer hriter de la petite seigneurie deson pre, qui est seigneur des Chnes. Or le 14 octobre 1669 celui-ci meurt. Le prtendant de Catherine bouillonne dides et souhaite tablir le fief des Chnes sur la Cte du Sud, sur une terre concde sa famille par le marquis de Tracy.

Sduite par ses projets davenir, la jeune fille lui promet ds lors sa main et le contrat de mariage est sign le 12 novembre 1669 en prsence du gouverneur Rmi de Courcelles, de Claude Boutrue, intendant de la Nouvelle France, et Louis Rouer de Villeray, lun des conseillers du Conseil souverain. La crmonie a lieu le mme jour lglise Notre Dame de Qubec.

Les deux poux partent aussitt sur la cte de Lauzon, dans la belle maison que les Miville ont construite ds leur arrive au Canada, en 1649. Elle est assez isole et compte cinq personnes. Catherine de Baillon doit trs vite apprendre cuisiner, coudre et travailler aux champs. Elle doit aussi soccuper de sa belle-mre.

Elle met au monde son premier enfant, Catherine Marie, le 22 aot 1670,qui sera bientt suivi de Charles lan en 1671, Jean en 1672, Marie en 1675, Charles le jeune en 1677, Marie Claude en 1681 et Robert en 1682. Le couple est semblet-il assez uni. Nous navons malheureusement aucune description physique de Catherine de Baillon : certains tmoignages disent quelle avait les cheveux clairs, mais il nexiste pasde portrait de la dame des Chnes.

Toute la famille dmnagea en 1673 pour sinstaller sur la Cte du Sud. Cette mme anne, en octobre, Catherine apprend que sa soeur Louise a pous un beau parti, Jean Pocquet, premier brigadier des gardes du duc de Montausier, dont elle deviendra veuve en 1681.

En Nouvelle France, la famille Miville vit surtout du commerce des fourrures, mais Jacques nest pas un gestionnaire habile, et bientt ses affaires dclinent suite une mauvaise saison de chasse. En 1675 le couple fait faillite, et Jacques devient simple fermier dun seigneur des environs : Charles Aubert de la Chesnaye. Ce doit tre une humiliation pour Catherine, mais deux ans plus tard, en 1677, le couple russit acheter 72 arpents de terre Rivire Ouelle, avec la ferme intentionde se refaire une sant financire.

En 1680, la mre de Catherine de Baillon meurt et laisse sa fille 600livres, somme qui est perue avec soulagement par la dame des Chnes. Lors du recensement de 1681, Jacques Miville, seigneur des Chnes, dit possder deux fusils, sept btes cornes et huit arpents de terre.

En 1682 le sducteur de Catherine, Gaston Henri de Bourbon duc de Verneuil, meurt chez lui au chteau de Verneuil, g de quatrevingt-un ans et sans enfants de son pouse Charlotte Sguier. Dans ses dernires annes, il tait tomb dans la dvotion pour racheter son pass dabb dbauch.

En 1683 le frre de Catherine, Antoine de Baillon, fait un beau mariage: il pouse le 3 fvrier Marie Marthe Deruel de Beauregard. Les signataires du contrat de mariage sont le roi Louis XIV, la reine Marie Thrse et la veuve du duc de Verneuil, Charlotte Sguier. Le roi a la bontde le nommer lieutenant de la louveterie du Grand Dauphin et gouverneur de la ville de Pont de lArche. Il nen profitera pas longtemps car il dcde en 1685, lge de quarante-deux ans, suivi lanne daprs par son pouse qui mourra en couches en avril 1686.

En dcembre 1687 une terrible pidmie de rougeole sabat dans la rgion de Qubec : Catherine et son poux tombent malades en mme temps. Jacques meurt aux premires lueurs du 27 janvier 1688, et Catherine le suit au cours de la mme journe, dans laprs-midi. Elle a quarante-trois ans. Catherine de Baillon et son poux le sieur des Chnes reposent cte cte dans le cimetire de Rivire Ouelle Kamouraska, Qubec.

Le couple laisse sept orphelins dont le plus jeune na que six ans. Ils sont recueillis par le frre de Jacques, Franois Miville, qui les lvera avec les douze enfants quil a eu de sa premire pouse, MarieLanglois. Les enfants de Catherine revendiqueront la succession dAntoine de Baillon, dont elle tait lune des quatre hritires. Mais comme elle avait t dshrite par son frre, ils devront batailler pendant cinquante-neuf ans avant dobtenir une
part de leur hritage franais.

Pour la petite histoire, cette descendante de Charlemagne est aussi lanctre de la chanteuse Cline Dion, qui descend delle par trois branches diffrentes.

Lafouine77

Sources : Catherine de Baillon, fille du roi de Raymond Ouimet et Nicole Mauger.

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Marie-Catherine De Baillon's Timeline

1645
May 14, 1645
Montfort-l'Amaury, Rambouillet, Chartres, Île-de-France, France
1669
November 7, 1669
Age 24
Ville-de-Québec, Québec, Capital-Nationale, Québec, Canada
1669
De, Fribourg, Switzerland
1670
August 22, 1670
Québec, QC, Canada

Miville M Catherine baptisé 1670-09-03 née le 29 août à Québec (N-D) est la fille de Jacques et de M Catherine Baillon.

Parrain: Nicolas de Mouchy

Marraine: Marie Catherine Chartier tante (?) et fille de ... Chartier

Signataires: aucune pas la pratique ...

1671
May 9, 1671
Québec City, Capitale-Nationale, QC, Canada
1672
September 5, 1672
Quebec City, Quebec, Canada
1673
1673
Notre-Dame-de-Quebec, Québec, Canada
1675
March 30, 1675
Saint-Jean-de-Port-Joli, QC, Canada
1677
August 14, 1677
Rivière-Ouelle, Quebec, Canada