Saint Marguerite Bourgeoys

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Marguerite Bourgeoys (Bourgeois)

Also Known As: "Bourgeoys", "Bourgeois"
Birthdate:
Birthplace: Troyes, Champagne, France
Death: January 12, 1700 (79)
Montréal, Québec, Canada
Place of Burial: Montréal, Québec, Canada
Immediate Family:

Daughter of Abraham Bourgeois and Guillemette Garnier
Sister of Marie Bourgeois

Occupation: Founder, Congregation of Notre-Dame de Montreal
Managed by: Private User
Last Updated:
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Immediate Family

About Saint Marguerite Bourgeoys

Overview

  • On 17 April 1620 Margeurite Bourgeoys was born in Troyes, then in Champagne Provence in France.
  • She was 6th of 12 children born to Abraham Bourgeoys, candlemaker and coiner at the Royal Mint and Guillemette Garnier.
  • First marriage to Nicolas Lepeuvrier at Paris, Isle de France, France.
  • On 7 October 1640 Marguerite was profoundly affected by the procession in honor of Our Lady of the Rosary and gave her self wholly to God with the goal of living a life that mirrored the Virgin Mary.
  • Marguerite led the confraternity at Troyes as a laywoman.
  • At 32 years old, she was refused admission to the Carmelite nuns
  • She therefore agreed to travel to New France to teach the children of the settlers and Indigenous peoples.
  • In February 1653 Marguerite set sail on the Saint Nicholas along with approximately 100 other colonists, mostly men who were recruited under work contracts.
  • She arrived in Québec City and elected to live among the poor settlers. However, there were no children to teach due to the high infant mortality. Marguerite therefore worked alongside the settlers.
  • In 1657 she persuaded a work party to form in order to build Ville-Marie's first permanent church - the Chapel of Our Lady of Good Counsel, Bonsecours in French.
  • In 1658 she was given a vacant stable to use as a schoolhouse. Today a commemorative plaque marks the site of the stable school in Old Montreal. It can be found on a wall just below the southwest corner of Saint-Dizier and Saint-Paul Streets.
  • She requested more women from France to serve as teachers. She also housed and cared for the filles du roi, or King's Daughters, who were orphan girls sent by the crown to establish families in the colony.
  • In 1669 she met with François de Laval, who granted her request that gave permission to the congregation of Notre Dame to teach the entire island of Montréal.
  • In 1670 Marguerite set sail for France, with the goal of gaining an audience with the King to protect the unenclosed nature of her community.
  • In May 1671 she met with Louis XIV and obtained 3 letters patent from him which secured the viability of her colony in New France as Secular Sisters.
  • The 1680s saw the congregation grow and gain a strong presence in Québec City.
  • The new bishop in the colony, Jean-Baptiste De La Croix de Saint-Vallier, had been impressed with the vocational school that Bourgeoys had established in Ville-Marie and worked with her to establish one in Québec City.
  • In 1692 a school in Quebec that catered to girls from poor families was opened.
  • Marguerite attempted to step down in 1683, though ended up staying on as figurehead of the congregation until 1693.
  • Thanks to Marguerite, the colony she founded was able to keep their secular character despite efforts by Bishop Saint-Vallier to impose a cloistered life upon them through a merger with the Ursulines.
  • She wrote an autobiography during the last 2 years of her life, of which some remnants remain.
  • Her likeness, which is included here as her profile picture, was painted by Pierre Le Ber immediately after death, speaks of the compassion that animated her life.
  • She was canonized on 31 October 1982 by Pope John Paul II.
  • In 1975 Canada Post issued an 8 cent stamp "Marguerite Bourgeoys, 1620-1700" designed by Jaques Roy based on a painting by Elmina Lachance.

Sources

GEDCOM Note

In the fall of 1658, Jeanne Mance and Marguerite Bourgeois left Montreal for France aboard the Saint-Andre, to raise some financing and get new recruits for Montreal. The Associes de Montreal provided funds for contracting new soldiers, brides-to-be from the village of Marans in Aunis, France, and nurse-nuns from t he Seminarie de Saint-Sulpice of Paris for the hospital at Hotel Dieu. Eight passengers died at sea, and several more after arriving in Quebec.

About Sainte Marguerite Bourgeoys (Français)

Sommaire

  • Marguerite Bourgeoys née à Troyes, Champagne en France.
  • Elle était la septième d'une famille de treize enfants aux parents dévoués: Abraham Bourgeoys, son père et Guillemette Garnier, sa mère.
  • Premier mariage à Nicolas Lepeuvrier, à Paris, Isle de France, France.
  • Le 7 octobre 1640, pendant une procession en l’honneur de Notre-Dame du Rosaire une grâce de Dieu l’invite à un engagement spirituel plus profond ; elle désigne ce moment comme celui de sa « conversion ».
  • Elle devient membre d’une congrégation externe qui regroupe des jeunes filles pour les former à la prière et à l’enseignement dans les milieux pauvres. La directrice de cette association est alors la sœur de Paul de Chomedey Sieur de Maisonneuve, fondateur de Ville-Marie en 1642
  • En 1653, il visite sa sœur et lui expose la besoin de la colonie : une institutrice laïc pour instruire les enfants des colons et des Indiens. Marguerite accepte cette tâche.
  • En 1653 elle arrive à Ville-Marie, faisant la traversée à bord du Saint Nicolas de Nantes et du Saint Nazaire, s’occupe de tenir la maison du gouverneur et « montre gratuitement aux filles à lire, les instruisant tantôt dans un endroit, tantôt dans un autre, n’en ayant point encore de fixé pour cela. » Charles de Glandelet.
  • En 1658 M. de Maisonneuve lui donne l’étable de pierres de la Commune : elle la nettoie pour en faire une école. Aujourd’hui, on situe l’emplacement de l’étable-école au 50 ouest de la rue Saint-Paul, dans le Vieux-Montréal. On trouve une plaque commémorative sur un mur de la rue Saint-Dizier, au sud-ouest de la rue Saint-Paul.
  • En 1655 elle projette la construction d’une chapelle de pèlerinage en dehors de l’enceinte du fort. Des difficultés retardent la réalisation de ce rêve. La chapelle ne sera terminée qu’en 1678, et abritera la petite statue miraculeuse donnée par le Baron de Fancamp en 1672. Cette statue est encore vénérée dans la chapelle Notre-Dame de Bon-Secours. Au sous-sol, on peut visiter les fondations de la chapelle primitive et d’autres vestiges reliés à l’histoire du site.
  • Dans les années 1650-60, Marguerite et Jeanne Mance ont travaillé ensemble dans de nombreux projets de colonisation.
  • En 1659 Marguerite et Jeanne retourne en Nouvelle-France et ramène quatre compagnes.
  • Elle rapporte aussi les Lettres patentes signées par le roi Louis XIV : c’est la charte civile des « Filles séculières de la Congrégation de Notre-Dame ». L’approbation de Monseigneur de Laval viendra en 1676.
  • Lors de ses voyages, elle se voit confier les Filles du Roi, des jeunes filles destinées à fonder des familles pour le peuplement de la colonie.
  • En 1668, Marguerite organise l’exploitation d’une ferme à la Pointe Saint-Charles. Selon la tradition, elle y accueille les Filles du Roi venues de France de 1668 à 1673. C’est probablement là aussi qu’elle établit l’ouvroir de « La Providence », véritable école ménagère avant la lettre. On y donnait une éducation ayant pour but d’inculquer aux jeunes femmes d’âge post-scolaire les compétences dont elles avaient besoin pour gagner leur vie. La Maison Saint-Gabriel existe toujours.
  • Marguerite Bourgeoys fait un troisième voyage en France en 1680, pour obtenir de nouveaux renforts et défendre le caractère non cloîtré de sa communauté. L’évêque de Québec, Mgr de Laval, alors à Paris, ne lui permet pas de ramener des recrues.
  • Ce sont les filles du pays qui contribueront à la progression de son œuvre. Au recensement de 1681, la Congrégation compte déjà 7 canadiennes parmi les 18 sœurs. Outre les missions de Pointe Saint-Charles et de la Montagne, elle a déjà ouvert des écoles à Champlain, à Pointe-aux-Trembles et à Lachine. Les années suivantes, les sœurs iront à Sainte-Famille, Île d’Orléans, à Québec et à Château-Richer.
  • En 1676, les Sulpiciens établissent à la Montagne, une mission pour les Amérindiens. C’est près de cet endroit que Paul de Chomedey Sieur de Maisonneuve avait élevé la première croix sur le Mont-Royal – croix qui avait été relevée par les soins de Marguerite Bourgeoys. Marguerite reçut deux jeunes femmes iroquoises dans la congrégation : Marie-Thérèse Gannensagouas qui devint enseignante à la mission, et Marie Barbe Attontinon.
  • En 1685, Monsieur de Belmont, p.s.s. fait bâtir un fort avec quatre tours de pierres. La tour ouest sert d’école, et la tour est devient la résidence des sœurs. Ces deux tours existent toujours devant le Grand Séminaire de Montréal, au 2065 ouest, rue Sherbrooke.
  • En 1693, Marguerite Bourgeoys cède sa place comme supérieure.
  • Entre octobre 1697 et juin 1698, elle écrit une autobiographie et une sorte de testament spirituel.
  • Elle avait dès alors acquis une réputation de sainte. Un peu après qu’elle fut morte, « Pierre LeBer fut prié de « tirer » le portrait de notre chère Mère. » Ce portrait est exposé au Musée Marguerite-Bourgeoys.
  • Le 2 avril 1982, le pape Jean-Paul II a promulgué le décret de miracle pour une guérison attribuée à son intercession et, le puis canonisée le 31 octobre suivant, il canonisait, à Rome, celle que l’Église universelle invoque maintenant : « SAINTE MARGUERITE BOURGEOYS ».

Sources

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Saint Marguerite Bourgeoys's Timeline

1620
April 17, 1620
Troyes, Champagne, France
1700
January 12, 1700
Age 79
Montréal, Québec, Canada
January 12, 1700
Age 79
Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours, Montréal, Québec, Canada
Drouin Institute
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