John Forbes Nash, Jr., Nobel Memorial Prize in Economic Sciences, 1994

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John Forbes Nash, Jr.

Birthdate:
Birthplace: Bluefield, Mercer, West Virginia, United States
Death: May 23, 2015 (86)
New Jersey Turnpike, Monroe, Middlesex, New Jersey, United States (ejected from taxi along with wife during auto collision)
Place of Burial: Princeton, Mercer, New Jersey, United States
Immediate Family:

Son of John Forbes Nash, Sr. and Margaret Nash (Martin)
Husband of Alicia Nash
Ex-partner of Eleanor Agnes Stier
Father of Private; Private and Private
Brother of Private

Occupation: Economics Nobel Laureate, Genius Mathematician eg. Nash Equilibrium, Expert Game Theorist, Cryptographer, and Artificial Intelligence expert, Matemático
Managed by: Malka Mysels
Last Updated:
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Immediate Family

About John Forbes Nash, Jr., Nobel Memorial Prize in Economic Sciences, 1994

John Forbes Nash, Jr. (born June 13, 1928) was a brilliant American mathematician whose works in game theory, differential geometry, and partial differential equations have provided insight into the forces that govern chance and events inside complex systems in daily life.

His theories are used in market economics, computing, evolutionary biology, artificial intelligence, accounting, politics and military theory.

Serving as a Senior Research Mathematician at Princeton University during the latter part of his life, he shared the 1994 Nobel Memorial Prize in Economic Sciences with game theorists Reinhard Selten and John Harsanyi.

Nash is the subject of the Hollywood movie A Beautiful Mind. The film, loosely based on the biography of the same name, focuses on Nash's mathematical genius and apparent struggle with paranoid schizophrenia.

In 2011, the National Security Agency declassified letters written by Nash in 1950s, in which he had proposed a new encryption-decryption machine. The letters show that Nash had anticipated many concepts of modern cryptography, which are based on computational hardness.

Family Life:

Per Nash's biography, from 1951 onwards, he had an affair with a nurse, Eleanor Stier. She bore a child named John David Stier. Though Nash had thoughts of marrying her, he later decided against it and left them.

In 1951, Nash went to the Massachusetts Institute of Technology as a C. L. E. Moore Instructor in the mathematics faculty. There, he met Alicia Lopez-Harrison de Lardé (born January 1, 1933), a physics student from El Salvador, whom he married in February 1957. She admitted Nash to a mental hospital in 1959 for schizophrenia; their son, John Charles Martin Nash, was born soon afterward, but remained nameless for a year because his mother felt that her husband should have a say in the name.

Nash and de Lardé divorced in 1963, though after his final hospital discharge in 1970 Nash lived in de Lardé's house. They were remarried in 2001.
pad.mymovies.it/filmclub/2002/02/014/locandina.jpg

http://www.laflecha.net/perfiles/ciencia/john_nash

About John Forbes Nash, Jr., Nobel Memorial Prize in Economic Sciences, 1994 (Français)

John Forbes Nash, Jr., né le 13 juin 1928 à Bluefield (Virginie-Occidentale) et mort le 23 mai 2015 à Monroe Township (New Jersey), est un mathématicien et économiste américain. Il a travaillé sur la théorie des jeux, la géométrie différentielle et les équations aux dérivées partielles.

Il est le seul mathématicien et économiste à être lauréat à la fois du prix dit Nobel d'économie en 1994 et du prix Abel pour les mathématiques en 2015.

À l'aube d'une carrière mathématique prometteuse, John Nash a commencé à souffrir de schizophrénie. C'est seulement vingt-cinq ans plus tard qu'il apprendra à vivre avec cette maladie. Sa vie est racontée de façon romancée dans le film Un homme d'exception.

Biographie

Enfance

John Nash né le 13 juin 1928 à Bluefield en Virginie-Occidentale, est le premier enfant de John Nash Sr., ingénieur électricien, et Margaret Virginia Martin, enseignante que tout le monde appelle Virginia. C'est une famille de la classe moyenne croyante et conservatrice. Deux ans et demi après la naissance de John, sa mère donne naissance à une fille, Martha. La personnalité étrange du petit John n'est pas la conséquence d'un manque d'amour familial ni des absences prolongées du père que son travail d'inspecteur amène à voyager fréquemment. Bien au contraire, John Forbes Nash père manifeste toujours envers son fils une grande affection et apprécie les moments qu'ils passent ensemble, il aime la curiosité sans bornes du petit garçon qui passe beaucoup de temps à lire et à faire des expériences dans sa chambre, qu'il a convertie en laboratoire. C'est vers l'âge de 14 ans que John junior montre son intérêt pour les mathématiques.

Études

John ne sait pas tirer parti de son intelligence pendant ses premières années scolaires, lesquelles se soldent par un bilan désastreux. Il a de mauvaises notes, manifeste une grande aversion envers toute forme de discipline et se montre distrait et distant, plus préoccupé par ses pensées que par les enseignements dispensés en classe. Par ailleurs, il ne tient pas son crayon correctement et son écriture est presque illisible, ce qui oblige sa mère à l'inscrire à un cours de calligraphie. Sa compétence d'institutrice lui permet, à la maison, de pallier ses carences.

John n'est pas un enfant prodige, ses résultats scolaires sont très loin de l'excellence et il met longtemps avant de révéler ses extraordinaires qualités en mathématiques. Les sources s'accordent pour dire qu'il se découvre pour la première fois une attirance pour cette discipline à la lecture de l'ouvrage Les grands mathématiciens. Quoi qu'il en soit, le jeune John n'a pas encore décidé de son avenir et semble vouloir suivre la carrière d'ingénieur électricien de son père. En collaboration avec lui, il réalise sa première étude qui permet de calculer les tensions adéquates dans les câbles électriques. Ils publient un article sur ce sujet en 1945 dans le magazine Electrical Engineering. Encouragé par ce succès, il participe au concours George Westinghouse pour les écoles d'ingénieurs et décroche une des dix bourses d'études offertes, ce qui lui permet d'entrer, en 1945, à l'université Carnegie-Mellon à Pittsburgh.

Université Carnegie-Mellon

Son premier choix d'études supérieures est l'ingénierie chimique, mais cette vocation meurt quasiment dans l'œuf : il a du mal à suivre la discipline au sein des laboratoires. Parallèlement, il se laisse tenter par le département de mathématiques, qui attire les meilleurs étudiants. Le directeur, John Lighton Synge a déjà exercé au sein de l'université de Princeton et rassemble quelques-uns des meilleurs mathématiciens de son époque.

Dès le début, Nash impressionne ses collègues de l'Institut de technologie par sa facilité à trouver des solutions imaginatives aux problèmes qui lui sont présentés, et par l'insolence dont il fait preuve dans sa manière d'aborder le plus difficile d'entre eux. Synge lui conseille, avec le soutien du reste des professeurs, de se concentrer sur les cours de mathématiques, où l'on estime qu'il peut développer la totalité de son talentN 5. Nash répond favorablement à cette suggestion en 1946 et se consacre presque exclusivement aux mathématiques, contre la volonté des administrateurs de sa bourse, qui auraient préféré le voir étudier n'importe quel type d'ingénierie. Pendant ses études à Carnegie Tech, Nash se sent attiré par les équations diophantiennes et il y suit aussi le seul cours d'économie de toute sa vie, tout un paradoxe pour quelqu'un qui recevra le prix Nobel de cette discipline. Avec le groupe de théorie des jeux de Carnegie, il a commencé à se plonger dans le problème de la négociation, posé par John von Neumann dans son livre Théorie des jeux et du comportement économique (Theory of Games and Economic Behavior 1944). Il n'est pas encore diplômé que déjà s'accumulent les offres des principales universités du pays, et il se décide en faveur de l'université de Princeton qu'il intègre à l'automne 1948.

Université de Princeton

À peine arrivé à l'université, Nash est pris en charge par Solomon Lefschetz, qui lui fait clairement comprendre ce qu'il attend de lui : qu'il commence sa carrière de chercheur et soit capable d'écrire et de défendre sa thèse doctorale quelques années plus tard. L'un des groupes les plus actifs de Princeton consacre la majeure partie de ses travaux à l'algèbre, il a à sa tête le mathématicien Emil Artin qui centre son activité sur la théorie algébrique des nombres. Nash participe aux investigations algébriques d'Artin et bénéficie de ses connaissances, mais il se rapproche finalement d'un autre groupe plus important pour sa carrière, celui gravitant autour d'Albert Tucker qui se consacre à la théorie des jeux, une branche de connaissance émergente qui n'a pas le prestige de la topologie ni de l'algèbre. Nash décide d'orienter sa thèse de doctorat vers la théorie des jeux, qui commence à peine à faire partie du corps doctrinal, les connaissances en ce domaine étant considérées comme précaires. En travaillant sur sa théorie de l'équilibre, il conçoit même un jeu — le jeu de Hex — qui parvient à se faire une place dans les salles de repos et le met en contact avec John Milnor.

Sa thèse de doctorat sur Les jeux non coopératifs, qui va par la suite s'appeler l'équilibre de Nash, va lui valoir, quarante-quatre années plus tard, le prix de la Banque de Suède en sciences économiques — souvent désigné comme le « prix Nobel d'économie » —, bien que le seul cours officiel d'économie qu'il ait suivi ait porté sur le commerce international. À partir de la fin 1950, après avoir publié sa thèse et des articles sur le problème de la négociation, il ne travaille plus sur la théorie des jeux. En attendant un poste stable qui lui garantira des revenus, il donne à Princeton des cours d'analyse mathématique à des étudiants non diplômés et intègre un projet financé par le Bureau de stratégie navale.

Au début de l'année universitaire 1956-1957, Nash réintègre l'Institute for Advanced Study de Princeton (New Jersey), qui a des liens forts mais informels avec l'Université de Princeton. Il aime échanger des idées avec quelques collègues mathématiciens de l'Institut Courant de sciences mathématiques, proche de sa résidence new-yorkaise. Il est rapidement captivé par ses discussions avec Peter Lax, mais aussi Louis Nirenberg. Au terme de l'année universitaire 1956-1957, on a pu dire que Nash a passé presque plus de temps au sein de l'Institut Courant qu'à Princeton. C'est précisément Lax et Nirenberg qui l'encouragent à s'aventurer dans le monde des équations différentielles non linéaires aux dérivées partielles. Pendant les trente ans de sa maladie mentale, il enseigne épisodiquement à Princeton.

RAND Corporation et M.I.T.

Ses travaux sur la théorie des jeux contribuent à expliquer de manière réaliste les situations de conflit. En septembre 1949, l'Union soviétique annonce qu'elle possède la bombe atomique. Face à cette menace, les États-Unis créent la Research And Development Corporation (Institut de recherche et développement), plus connue par son acronyme, RAND. Rand paie bien mieux que n'importe quelle université et ouvre la possibilité d'intégrer un groupe scientifique très actif. Nash collabore occasionnellement avec elle pendant quatre ans, particulièrement pendant l'été. Il en est expulsé sans égards après avoir été accusé d'homosexualité et d'exhibitionnisme fin août 1954.

Contrarié par le fait qu'il ne parvient pas à se faire engager durablement à Princeton, Nash accepte l'offre du MIT à Cambridge (Massachusetts), de l'engager pour consolider son département de mathématiques. En 1951, il y devient professeur et est rapidement surnommé par ses étudiants l'«enfant professeur». Son arrogance trouve un terrain favorable au MIT, où le niveau de recherches est clairement inférieur à celui de Princeton. Il se considère comme un génie des mathématiques et ne trouve personne, en dehors de Norbert Wiener et Norman Levinson qui puisse se hisser à sa hauteur. À sa sortie de l'hôpital McLean, en 1959, il rassemble ses économies, renonce au M.I.T. pour toujours et annonce qu'il part pour l'Europe.

Maladie mentale

Sa schizophrénie se révèle en 1958. Aujourd'hui certains psychiatres fondent l'hypothèse d'un facteur génétique pour cette maladie qui se développe à la fin de l'adolescence ou au début de l'âge adulte. D'autres hypothèses (des « évènements traumatisants ») ont été émises à l'époque pour l'expliquer. Quand il est en situation d'être recruté pour la guerre de Corée, l'université de Princeton, la marine de guerre et la Rand déclarent qu'il est indispensable à la défense nationale, et ces soutiens suffisent pour lui éviter d'aller au front. Mais tout cela provoque chez lui un grand stress et plusieurs décennies plus tard, il attribue en partie ses premiers troubles mentaux à l'angoisse vécue pendant ces quelques jours d'incertitude. Il confesse aussi que son expulsion déshonorante de la Rand Corporation, en 1954, a été un coup très dur qui l'a déséquilibré mentalement. Frustré en 1957 d'avoir été devancé par Ennio De Giorgi dans sa tentative de résoudre le dix-neuvième problème de Hilbert, frustré de se voir privé de la médaille Fields en 1958, aveuglé par sa quête du succès, il veut vérifier l'hypothèse de Riemann (trente ans plus tard, lorsqu'il retrouve la raison, il ne se souvient même pas qu'il a réfléchi à la solution de ce problème).

Ses aspirations se révèlent démesurées et commencent à voler en éclats lorsque, vers la fin de l'année 1958, son esprit manifeste les premiers symptômes de la schizophrénie qui, quelques mois plus tard, dévaste sa vie. En avril-mai 1959, il est interné à l'hôpital McLean de Boston, et on lui diagnostique une schizophrénie paranoïde. Nash se croit victime d'une conjuration ourdie par son entourage, souffre d'hallucinations auditives : il entend plusieurs voix se disputant entre elles quand il rapporte « Ma tête est comme un sac à vent gonflé avec des voix qui se disputent à l'intérieur ». Il quitte l'hôpital le 27 mai 1959, une semaine après la naissance de son fils, John Charles Martin Nash, dont les premières années d'éducation sont confiées aux parents d'Alicia. Après des séjours difficiles à Paris et à Genève, Nash rentre à Princeton en 1960. Il fait des séjours réguliers à l'hôpital jusqu'en 1970 et occupe un poste de chercheur à l'université Brandeis de 1965 à 1967. Il ne publie rien pendant trente ans. Sa santé mentale ne s'améliore que très lentement. Son intérêt pour les mathématiques ne lui revient que très progressivement, ainsi que sa capacité à raisonner logiquement. Au cours des années 1990, on constate le retour de son génie, amoindri par un esprit très affaibli.

Portrait et vie sentimentale

Portrait

Tous les témoignages s'accordent sur le fait que c'est un enfant timide et solitaire qui a du mal à entrer en contact avec les autres. Cela s'avère être une constante dans sa vie, elle lui vaut la réputation d'une personne peu sympathique. Jeune, il n'a pas l'habitude de jouer avec les autres enfants, ce qui contribue peut-être à renforcer son caractère orgueilleux, parfois arrogant. Il ne fait aucun effort pour améliorer sa sociabilité et considère que toute activité le tenant éloigné de ses centres d'intérêt est une perte de temps.

De 1945 à 1948, à la résidence de l'Institut Carnegie, il se sent dans son élément au sein du groupe d'étudiants en mathématiques, mais en dehors de ce cercle, il demeure peu sociable, très peu apprécié, il est l'objet de blagues et de mépris. Motivé par ses premiers succès en mathématiques, il participe au concours mathématique William Lowell Putnam mais ne termine même pas parmi les cinq premiers. Il en résulte une énorme frustration mais ce ressentiment le stimule pour devenir un meilleur mathématicien et ne pas perdre la confiance qu'il a en lui-même. Au sein des doctorants de première année de Princeton, Nash est rapidement considéré comme une personne étrange, excentrique, orgueilleuse et arrogante. Personne ne l'intimide, même Einstein avec qui il discute pendant une heure de ses équations appliquées à la physique. La seule personne avec laquelle il maintient une relation ressemblant à de la camaraderie est Lloyd Shapley qui remportera lui aussi le prix Nobel d'économie, en 2012.

Vie sentimentale

En 1952, il tombe sous le charme d'une infirmière, Eleanor Stier, avec laquelle il entame une liaison amoureuse. Ils ne sont pas mariés quand elle accouche, le 19 juin 1953, de son premier enfant. Il refuse d'en reconnaître la paternité, l'enfant porte donc le nom de John David Stier. Au surplus, Nash fait pression sur la mère, presque sans ressources et hébergée dans un foyer pour mères célibataires, pour qu'elle abandonne leur enfant et le fasse adopter. Cette tentative reflète son manque d'empathie et son incapacité à comprendre les sentiments d'autruiN 14. John David Stier sera finalement élevé par sa mère. Les rares visites que Nash rend à ce fils prennent fin en 1959, lorsque ses contacts sociaux se réduisent à cause de sa grave maladie.

En même temps que sa liaison avec Eleanor, on lui découvre, en 1954, une relation avec Jack Bricker, un étudiant du Massachusetts Institute of Technology. Le scandale éclate vers la fin du mois d'août 1954, lorsque Nash est arrêté et accusé d'exhibitionnisme. Il affirme qu'il n'est pas homosexuel et apporte la photo d'Eleanor et de son fils, exposant ainsi cette relation au grand jour. Jack Bricker doit quitter le MIT.

À la phonothèque de cette université, alors qu'il écoute ses musiciens préférés, il remarque une jeune femme, qui avait été son élève, Alicia Lardé Lopez-Harrison. Cette séduisante étudiante salvadorienne, issue d'une famille riche exilée aux États-Unis, avait suivi son cours d'analyse avancée, destiné aux doctorants en physiqueN 15. Il lui avait fait une forte impression. Une idylle se noue. Malgré des hauts et des bas, leur relation débouche sur un mariage, célébré en février 1957. Le couple décide de s'installer à New York où Alicia a de meilleures perspectives professionnelles. Ils ont un fils ensemble, John Charles Martin Nash, né le 20 mai 1959. Mais la schizophrénie paranoïde dont souffre Nash à partir de 1959 affecte la relation du couple, jusqu'au divorce en 1963. En 1970, Alicia revient à son secours et reste vivre avec lui à Princeton. Toutes les biographies et les divers témoignages s'accordent à dire que, par cette décision, elle lui sauve la vie. Au début des années 1990, la santé mentale de Nash s'améliore et au printemps 2001, trente-huit ans après leur divorce, les anciens époux se remarient.

Sa vie est racontée de façon très romancée dans le film A Beautiful Mind (en français par Un homme d'exception) sorti en 2001 et réalisé par Ron Howard d'après le livre éponyme de Sylvia Nasar (en français Un cerveau d'exception)1

Mort accidentelle

Avec son ami Louis Nirenberg, le 19 mai 2015 à Oslo, il reçoit le prix Abel des mains du roi Harald V. Le 23 mai, de retour aux États-Unis, après l'atterrissage à l'aéroport de Newark, John Nash et son épouse discutent durant une heure avec Louis Nirenberg puis, vers 16 h 30, ils rentrent chez eux en taxi dans le New Jersey. Sur l'autoroute New Jersey Turnpike, au niveau de Monroe Township, le conducteur perd le contrôle du véhicule alors qu'il roule sur la voie de gauche, et percute la barrière de sécurité en béton. N'ayant pas bouclé leur ceinture de sécurité, les Nash sont éjectés du taxi lors de l'impact et décèdent. Le conducteur n'est que blessé.

Wikipedia
Nash is the subject of the Hollywood movie A Beautiful Mind. The film, loosely based on the biography of the same name, focuses on Nash's mathematical genius and apparent struggle with paranoid schizophrenia.

In 2011, the National Security Agency declassified letters written by Nash in 1950s, in which he had proposed a new encryption-decryption machine. The letters show that Nash had anticipated many concepts of modern cryptography, which are based on computational hardness.

Family Life:

Per Nash's biography, from 1951 onwards, he had an affair with a nurse, Eleanor Stier. She bore a child named John David Stier. Though Nash had thoughts of marrying her, he later decided against it and left them.

In 1951, Nash went to the Massachusetts Institute of Technology as a C. L. E. Moore Instructor in the mathematics faculty. There, he met Alicia Lopez-Harrison de Lardé (born January 1, 1933), a physics student from El Salvador, whom he married in February 1957. She admitted Nash to a mental hospital in 1959 for schizophrenia; their son, John Charles Martin Nash, was born soon afterward, but remained nameless for a year because his mother felt that her husband should have a say in the name.

Nash and de Lardé divorced in 1963, though after his final hospital discharge in 1970 Nash lived in de Lardé's house. They were remarried in 2001.
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John Forbes Nash, Jr., Nobel Memorial Prize in Economic Sciences, 1994's Timeline

1928
June 13, 1928
Bluefield, Mercer, West Virginia, United States
2015
May 23, 2015
Age 86
New Jersey Turnpike, Monroe, Middlesex, New Jersey, United States
????
Saint Paul's Parish Cemetery, Princeton, Mercer, New Jersey, United States