David Joachim Friedländer

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David Joachim Friedländer

Birthdate:
Birthplace: Königsberg, Giessen, Hessen, Germany
Death: December 25, 1834 (84)
Berlin, Germany
Place of Burial: Berlin-Mitte, Mitte, Berlin, Germany
Immediate Family:

Son of Joachim Moses Friedländer and Henriette (Hinde) Lewin Friedländer
Husband of Margarete (Blümchen) Susanna Friedländer
Father of Johann Gottlieb Julius Benoni Friedländer; Moses Mor Friedländer; Salomon David Friedländer; Hanna Friedländer and Wedels
Brother of Frommet Veronica Bendix; Wulff Joachim Friedländer; Meyer (Moses) Joachim Friedländer; Bernhardt (Baruch) Joachim Friedländer; Simon Joachim Friedländer and 1 other

Occupation: banker, writer and communal leader, Author
Managed by: Private User
Last Updated:

About David Joachim Friedländer

né le 16 décembre 1750 selon Samuel Sabel

he was a major force in the movement for Jewish religious reform

he employed Moses Mendelssohn in his silk factory, and founded the bank of "Mendelssohn and Friedländer" with Moses's son, Joseph

http://de.wikipedia.org/wiki/David_Friedl%C3%A4nder

http://en.wikipedia.org/wiki/David_Friedl%C3%A4nder

http://fr.wikipedia.org/wiki/David_Friedl%C3%A4nder

http://he.wikipedia.org/wiki/%D7%93%D7%95%D7%93_%D7%A4%D7%A8%D7%99%...

http://www.friedlaender.de/en/friedlaender.html

Quelle: Judenbürgerbücher der Stadt Berlin: Nr. 7* (1792) Besitzer einer Seidenfabrik, Assessor des Manufaktur-Kollegiums, Hauptvorkämpfer der Judenemanzipation in Preußen, erster jüdischer Stadtrat in Berlin, Numismatiker.



He was a German Jewish banker, writer and communal leader.

Friedländer settled in Berlin in 1771. As the son-in-law of the rich banker Daniel Itzig, and a friend, pupil, and subsequently intellectual successor of Moses Mendelssohn, he occupied a prominent position in both Jewish and non-Jewish circles of Berlin. His endeavors on behalf of the Jews and Judaism included the emancipation of the Jews of Berlin and the various reforms connected therewith. Frederick William II, on his accession, called a committee whose duty was to acquaint him with the grievances of the Jews, Friedländer and Itzig being chosen as general delegates. But the results of the conference were such that the Jews declared themselves unable to accept the reforms proposed, and not until after the French Revolution, with the edict of March 11, 1812, did the Jews then living on Prussian territory succeed in obtaining equal rights from Frederick William III.

Friedländer and his friends in the community of Berlin now turned their attention to the reform of worship in harmony with modern ideas and the changed social position of the Jews. The proposition in itself was unjustified, and the propositions of Friedländer, who had meanwhile been called (1813) to the conferences on the reorganization of the Jewish cult held in the Israelite Consistory of Westphalia (Royal Westphalian Consistory of the Israelites (he)) at Cassel, were unacceptable to even the most radical members, as they tended to reduce Judaism to a mere colorless code of ethics.

Friedländer was more successful in his educational endeavors. He was one of the founders of a Jewish free school (1778), which he directed in association with his brother-in-law, Isaac Daniel Itzig. In this school, however, exclusively Jewish subjects were soon crowded out. Friedländer also wrote text-books, and was one of the first to translate the Hebrew prayer-book into German.

Source: https://en.wikipedia.org/wiki/David_Friedländer


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About David Joachim Friedländer (Français)

David Friedländer, quelquefois écrit Friedlander, né le 16 décembre 1750 à Königsberg et mort le 25 décembre 1834 à Berlin, est un banquier, écrivain et philosophe allemand. Il est l'un des responsables de la communauté juive de Berlin.

Sa vie

Friedländer s'installe à Berlin en 1771. En tant que gendre du riche banquier Daniel Itzig, et ami et élève et par la suite successeur spirituel de Moses Mendelssohn, il occupe une position influente dans les cercles aussi bien juifs que non juifs de Berlin. Ses efforts en faveur des Juifs et du judaïsme, portent sur l'émancipation des Juifs de Berlin et les différentes réformes afférentes. Frédéric-Guillaume II de Prusse à son accession sur le trône, convoque un comité chargé de lui faire connaître les doléances des Juifs. Friedländer et Itzig sont nommés délégués généraux. Mais les résultats de la conférence sont tels que les Juifs se déclarent eux-mêmes incapables d'accepter les réformes proposées1 et ce ne sera qu'après la Révolution française, que les Juifs vivant dans les territoires prussiens obtiendront l'égalité des droits de Frédéric-Guillaume III de Prusse par l'édit du 11 mars 1812.

Friedländer et ses amis à la communauté juive de Berlin se tournent dès lors vers la réforme du culte, en harmonie avec les idées modernes et la nouvelle position sociale des Juifs. Cette idée de moderniser la liturgie est parfaitement justifiée, mais les propositions de Friedländer, qui entre-temps a été appelé à la conférence sur la réorganisation du culte juif tenu en 1813 au consistoire de Cassel, sont inacceptables même pour les membres les plus radicaux, car elles tendent à réduire le judaïsme à un simple et incolore code de morale.

Friedländer obtient plus de succès dans ses efforts pour modifier l'enseignement. Il est un des fondateurs de l'École libre juive (1778), qu'il dirige en association avec son beau-frère Isaac Daniel Itzig. Dans cette école, cependant, les sujets strictement juifs deviennent rapidement prédominants. Friedländer écrit aussi des manuels et est un des premiers à traduire les livres de prière de l'hébreu à l'allemand.

L'initiative du « baptême sec »

Friedländer cherche par tous les moyens à faciliter son entrée et celle de ses coreligionnaires dans les cercles chrétiens et à éradiquer l'antisémitisme latent.

En 1799, il fait une proposition radicale et stupéfiante à un doyen protestant important de Berlin, le Oberconsistorialrat Wilhelm Teller. Dans sa lettre ouverte, Friedländer dit s'adresser "au nom de nombreux chefs de famille juive". Il écrit que les Juifs seraient prêts à accepter un "baptême sec", et à rejoindre l'église luthérienne sur la base de valeurs morales partagées, si on ne leur demandait pas de croire en la divinité du Christ et s'ils pouvaient échapper à certaines cérémonies. En retour, le judaïsme abandonnerait les lois cérémonielles. La proposition "envisage l'établissement d'une église-synagogue unitarienne confédérée".

Teller répond négativement à Friedländer avec la plus extrême sévérité. La réaction de la communauté juive à cette initiative est particulièrement hostile, et est qualifiée "d'acte déshonorable" et de "désertion". Heinrich Graetz traitera même Friedländer de "singe".

En 1816, quand le gouvernement prussien décide d'améliorer la situation des Juifs polonais, Friedländer est contacté par Malziewsky, évêque de Cujavie. Friedländer lui présente un rapport circonstancié sur les conditions matérielles et intellectuelles des Juifs et lui indique les moyens pour les améliorer.

Carrière littéraire

Friedländer affiche une grande activité dans le domaine littéraire. Poussé par Moses Mendelssohn, il commence la traduction en allemand de plusieurs parties de la Bible selon les commentaires de Mendelssohn. Il traduit le Sefer ha-Nefesh (Berlin – 1787) et le Kohelet (1788) de Mendelssohn. Il écrit un commentaire en hébreu du Pirke Avot avec sa traduction en allemand (Vienne – 1791). Il traduit en 1798 le manifeste Dibre Shalom we-Emet de Wessely. Il écrit sur son maître Mendelssohn et sur les communautés juives d'Allemagne et de Pologne, dont sa réponse à l'évêque de Cujavie qu'il fait publier en 1819.

Friedländer est l'adjoint du président du Collège Royal de l'Industrie et du Commerce de Berlin et le premier Juif à siéger au conseil municipal de la ville. Sa fortune lui permet d'aider les sciences et les arts. Entre autres, il encourage et soutient financièrement les frères Alexander et Wilhelm von Humboldt.

Wikipedia

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David Joachim Friedländer's Timeline

1750
December 16, 1750
Königsberg, Giessen, Hessen, Germany
1773
June 4, 1773
Berlin, Brandenburg, Preußen
1774
August 27, 1774
Berlin, Berlin, Germany
1776
1776
Berlin, Brandenburg, Prussia
1777
1777
1834
December 25, 1834
Age 84
Berlin, Germany
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Berlin-Mitte, Mitte, Berlin, Germany