Dr. jur. Eric Cohn-Bendit

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Dr. jur. Eric Cohn-Bendit (Cohn)

German: Dr. jur. Erich Cohn-Bendit (Cohn)
Birthdate:
Birthplace: Berlin, Berlin, Germany
Death: August 14, 1959 (56)
Frankfurt am Main, Hessen, Germany
Immediate Family:

Son of Alexander Cohn and Rosa Clara Cohn
Husband of Friedel Laske - Cohn and Hertha Judith Cohn-Bendit
Father of Gabriel Cohn-Bendit and Daniel Marc Cohn-Bendit
Brother of Gerda Freudenthal

Occupation: Avocat de gauche au "Secours rouge international", juif et antinazi, Rechtsanwalt
Managed by: Pierre Quenee
Last Updated:

About Dr. jur. Eric Cohn-Bendit

Individual Note

- Erich Cohn (1902-1959), devenu Cohn-Bendit en 1930, fut un des avocats du Secours rouge international à la fin des années 1920. Il fréquenta les communistes dissidents, les spartakistes, et fut très tôt, et de façon durable, antistalinien. La mère, Herta David (1908-1963), était encore étudiante lorsqu’ils fuirent le nazisme en 1933. Ils s’installèrent à Paris dans le XV° arrondissement, non loin de leurs amis Hannah Arendt et Max Ophuls. Après la débâcle en 1940, ils partirent pour Montauban (Tarn-et-Garonne) et vécurent à Moissac. La mère fut intendante, en 1941-1942, d’un home d’enfants juifs du Centre des éclaireurs israélites, institution dissoute en 1943. Gabriel fut alors confié à la famille d’un architecte de Moissac qui s’en occupa avec une grande humanité. Les parents passèrent la guerre dans cette région où Daniel naquît à la fin du conflit.

Erich Cohn-Bendit, avocat de gauche juif et antinazi, fuit l’Allemagne avec son épouse Herta, alors étudiante en droit, en 1933, au lendemain de l’incendie du Reichstag. Le couple quitte Berlin et s’installe à Paris, où naîtra Jean-Gabriel, surnommé Gaby ou Gabriel, en 1936. Mais au début de la guerre, Erich, qui fréquente les milieux intellectuels de gauche parisiens, est placé dans un camp de prisonniers politiques en Bretagne.
Il s’en échappe et rejoint à pied Montauban, où sa femme et son fils se sont réfugiés en 1940. Dans le sud-ouest de la France, où est né Daniel en 1945, « le Parisien » et « Aujourd’hui en France » ont retrouvé les témoins de l’époque, la famille qui a hébergé les Cohn-Bendit et le prêtre qui délivrait aux juifs des certificats de catholicisme. En 1941, dans la petite ville de Moissac (Tarn-et-Garonne), les destins des Cohn-Bendit et des Kauffmann se sont mêlés. Camille Kauffmann, née Lassence, avait tout juste 20 ans, et c’est dans sa famille que les parents de Dany le Rouge ont trouvé refuge. Aujourd’hui âgée de 88 ans, Camille Kauffmann, derrière des lunettes en verre fumé, se souvient de cette époque avec émotion. « On a vécu une vraie histoire d’amour avec la famille Cohn-Bendit », lâche-t-elle. Tout commence par une proposition du réseau des Eclaireurs israélites de France faite à ses parents. « Monsieur Simon, le directeur du centre, a dit à ma mère : Voulez-vous garder un petit garçon de 5 ans ? Elle a répondu sans hésiter : Oui, c’est d’accord . » L’enfant et ses parents arrivent quelques jours plus tard. « Je les ai vus la première fois au siège des Eclaireurs israélites de France. La dame était blonde, de taille moyenne, et parlait bien le français. On l’appelait Tricotie, car elle avait toujours un tricot dans son sac. Le papa, plus discret, fatigué, s’exprimait en allemand. » Le petit Gaby Cohn-Bendit s’installe donc dans la famille de Camille, sous le faux nom de Jean Collet. « Quand j’allais le chercher à la sortie de l’école, je disais que c’était mon neveu », raconte la vieille femme qui se remémore aussi des risques qu’ils prenaient. « Comme il était blond, Gaby passait pour un petit aryen, on l’envoyait jouer aux billes devant la Kommandantur, à Moissac, et au retour, avec sa maîtrise de la langue allemande, il nous traduisait ce qu’ils avaient dit! »

 1 - « Dany, le portrait de Tricotie, sa maman » Les parents Cohn-Bendit emménagent sous le nom de Delpioux dans la grande maison de trois étages au 18, quai du Port, sur les bords du Tarn. La bâtisse appartient alors aux Eclaireurs israélites de France. « Dans la journée, la maman exerçait la profession d’intendante auprès des autres réfugiés. Elle réglait les problèmes pratiques des uns et des autres », se souvient Roger Kauffmann, le mari de Camille, lui aussi résistant à Moissac. « Le papa, Erich, ne disait presque rien. Il préférait rester dans son coin, tout seul, comme s’il ne se remettait pas des épreuves », ajoute Camille. Dany naîtra quelques années plus tard, le 4 avril 1945, dans la ville voisine de Montauban, mais l’histoire des Kauffmann l’a lui aussi profondément marqué. « Ces gens ont été d’un courage extraordinaire, nous a-t-il confié. Ils ont sauvé mes parents et mon frère au péril de leur vie. » Camille, entre deux bouffées de cigarette, se souvient d’ailleurs du jour où Dany est venu leur rendre visite, en 1999 : « C’était pour une précédente élection européenne. Il était venu à Moissac pour rencontrer les agriculteurs. Lorsque je l’ai eu en face de moi, blond et vif d’esprit, j’ai vu ressurgir le portrait tout craché de sa maman Tricotie. » La vieille femme n’a pas oublié les mots prononcés ce jour-là par Daniel Cohn-Bendit : « On ne vous a jamais oubliés, vous êtes irremplaçables dans mon coeur. »

Le parisien - 16 juin 2009 (http://gaelle.hautetfort.com/archive/2009/06/17/on-a-vecu-une-vraie...)

 2 - Daniel Cohn-Bendit, fils de Montauban Le saviez-vous ? C'est à Montauban qu'est né Daniel Cohn-Bendit ! Ses parents avaient été au nombre des familles juives protégées pendant la guerre, par Monseigneur Théas. Beaucoup l'ignorent, mais c'est à Montauban qu'est née la figure emblématique de mai 68, Daniel Cohn-Bendit. Ses parents, juifs d'origine allemande, et sa famille s'étaient réfugiés au début de la guerre, en 1940, dans notre ville et ont vécu dans plusieurs maisons de la ville (dont au Fau), et d'abord au Carreyrat au 558-chemin des Cabouillous, dans une modeste habitation appartenant à M.Beaufauché, aujourd'hui habitée par M.Brousse.

 2.1 - Faux actes de baptême Son père Erich Cohn-Bendit, sa mère Judith-Herta David, et la tante Dora Agnès Anna Cohn, ont été protégés, avec d'autres familles juives, par Monseigneur Théas, qui les a fait bénéficier de faux certificats de baptême. Si l'on ne possède pas ces fameux certificats en ce qui concerne les parents de Daniel, nous avons pu retrouver, grâce à l'abbé Etienne, une copie du faux certificat dressé pour la tante, le 27 octobre 1942. On peut lire sur ce document, signé par le vicaire général pour l'évêque Mgr Théas : « Vu la demande adressée à nous par Mme Dora Agnès Anna Cohn, née Grim de parents catholiques le 3 décembre 1907 à Berlin GrossLichterfelde (Allemagne), habitant Paris depuis 1933, et Montauban depuis 1940..., entendu sa déclaration et la déposition de Mme Max Rosenheimer, catholique, affirmant qu'elle a été baptisée 8 jours après sa naissance dans l'église de la sainteFamille à Gross-Lichterfelde par monsieur le curé Max Bayer, ... Nous, Pierre Marie Théas, évêque de Montauban, donnons cette attestation comme quoi Mme Dora Agnès Anna Cohn, née de parents catholiques, a été baptisée et est elle-même catholique ».

 2.2 - Né en 1945 Daniel Cohn-Bendit est né à la fin de la guerre, le 4 avril 1945, à Montauban. Il y a donc très peu vécu puisque ses parents ont ensuite quitté la ville. Son frère, par contre, JeanGabriel Cohn-Bendit, né en 1936, a été scolarisé pendant la guerre à l'école du Carreyrat. Curieusement Jean-Gabriel, si l'on en croit le Quid qui le le catalogue comme militant antisioniste « a soutenu les thèses de Robert Faurisson sur le génocide hitlérien, en 1980 ». La page montalbanaise de Daniel Cohn-Bendit est donc très brève, il n'en demeure pas moins un fils de Montauban, ville qui une fois de plus, a manifesté à travers l'aide apportée aux siens, son attachement à la liberté, à l'humanisme et à la tolérance, valeurs qui constituent une permanence dans son Histoire.

http://www.ladepeche.fr/article/1998/05/13/211020-daniel-cohn-bendi... Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: May 10 2017, 9:09:17 UTC

Individual Note

- Erich Cohn (1902-1959), devenu Cohn-Bendit en 1930, fut un des avocats du Secours rouge international à la fin des années 1920. Il fréquenta les communistes dissidents, les spartakistes, et fut très tôt, et de façon durable, antistalinien. La mère, Herta David (1908-1963), était encore étudiante lorsqu’ils fuirent le nazisme en 1933. Ils s’installèrent à Paris dans le XV° arrondissement, non loin de leurs amis Hannah Arendt et Max Ophuls. Après la débâcle en 1940, ils partirent pour Montauban (Tarn-et-Garonne) et vécurent à Moissac. La mère fut intendante, en 1941-1942, d’un home d’enfants juifs du Centre des éclaireurs israélites, institution dissoute en 1943. Gabriel fut alors confié à la famille d’un architecte de Moissac qui s’en occupa avec une grande humanité. Les parents passèrent la guerre dans cette région où Daniel naquît à la fin du conflit.

Erich Cohn-Bendit, avocat de gauche juif et antinazi, fuit l’Allemagne avec son épouse Herta, alors étudiante en droit, en 1933, au lendemain de l’incendie du Reichstag. Le couple quitte Berlin et s’installe à Paris, où naîtra Jean-Gabriel, surnommé Gaby ou Gabriel, en 1936. Mais au début de la guerre, Erich, qui fréquente les milieux intellectuels de gauche parisiens, est placé dans un camp de prisonniers politiques en Bretagne.
Il s’en échappe et rejoint à pied Montauban, où sa femme et son fils se sont réfugiés en 1940. Dans le sud-ouest de la France, où est né Daniel en 1945, « le Parisien » et « Aujourd’hui en France » ont retrouvé les témoins de l’époque, la famille qui a hébergé les Cohn-Bendit et le prêtre qui délivrait aux juifs des certificats de catholicisme. En 1941, dans la petite ville de Moissac (Tarn-et-Garonne), les destins des Cohn-Bendit et des Kauffmann se sont mêlés. Camille Kauffmann, née Lassence, avait tout juste 20 ans, et c’est dans sa famille que les parents de Dany le Rouge ont trouvé refuge. Aujourd’hui âgée de 88 ans, Camille Kauffmann, derrière des lunettes en verre fumé, se souvient de cette époque avec émotion. « On a vécu une vraie histoire d’amour avec la famille Cohn-Bendit », lâche-t-elle. Tout commence par une proposition du réseau des Eclaireurs israélites de France faite à ses parents. « Monsieur Simon, le directeur du centre, a dit à ma mère : Voulez-vous garder un petit garçon de 5 ans ? Elle a répondu sans hésiter : Oui, c’est d’accord . » L’enfant et ses parents arrivent quelques jours plus tard. « Je les ai vus la première fois au siège des Eclaireurs israélites de France. La dame était blonde, de taille moyenne, et parlait bien le français. On l’appelait Tricotie, car elle avait toujours un tricot dans son sac. Le papa, plus discret, fatigué, s’exprimait en allemand. » Le petit Gaby Cohn-Bendit s’installe donc dans la famille de Camille, sous le faux nom de Jean Collet. « Quand j’allais le chercher à la sortie de l’école, je disais que c’était mon neveu », raconte la vieille femme qui se remémore aussi des risques qu’ils prenaient. « Comme il était blond, Gaby passait pour un petit aryen, on l’envoyait jouer aux billes devant la Kommandantur, à Moissac, et au retour, avec sa maîtrise de la langue allemande, il nous traduisait ce qu’ils avaient dit! »

 1 - « Dany, le portrait de Tricotie, sa maman » Les parents Cohn-Bendit emménagent sous le nom de Delpioux dans la grande maison de trois étages au 18, quai du Port, sur les bords du Tarn. La bâtisse appartient alors aux Eclaireurs israélites de France. « Dans la journée, la maman exerçait la profession d’intendante auprès des autres réfugiés. Elle réglait les problèmes pratiques des uns et des autres », se souvient Roger Kauffmann, le mari de Camille, lui aussi résistant à Moissac. « Le papa, Erich, ne disait presque rien. Il préférait rester dans son coin, tout seul, comme s’il ne se remettait pas des épreuves », ajoute Camille. Dany naîtra quelques années plus tard, le 4 avril 1945, dans la ville voisine de Montauban, mais l’histoire des Kauffmann l’a lui aussi profondément marqué. « Ces gens ont été d’un courage extraordinaire, nous a-t-il confié. Ils ont sauvé mes parents et mon frère au péril de leur vie. » Camille, entre deux bouffées de cigarette, se souvient d’ailleurs du jour où Dany est venu leur rendre visite, en 1999 : « C’était pour une précédente élection européenne. Il était venu à Moissac pour rencontrer les agriculteurs. Lorsque je l’ai eu en face de moi, blond et vif d’esprit, j’ai vu ressurgir le portrait tout craché de sa maman Tricotie. » La vieille femme n’a pas oublié les mots prononcés ce jour-là par Daniel Cohn-Bendit : « On ne vous a jamais oubliés, vous êtes irremplaçables dans mon coeur. »

Le parisien - 16 juin 2009 (http://gaelle.hautetfort.com/archive/2009/06/17/on-a-vecu-une-vraie...)

 2 - Daniel Cohn-Bendit, fils de Montauban Le saviez-vous ? C'est à Montauban qu'est né Daniel Cohn-Bendit ! Ses parents avaient été au nombre des familles juives protégées pendant la guerre, par Monseigneur Théas. Beaucoup l'ignorent, mais c'est à Montauban qu'est née la figure emblématique de mai 68, Daniel Cohn-Bendit. Ses parents, juifs d'origine allemande, et sa famille s'étaient réfugiés au début de la guerre, en 1940, dans notre ville et ont vécu dans plusieurs maisons de la ville (dont au Fau), et d'abord au Carreyrat au 558-chemin des Cabouillous, dans une modeste habitation appartenant à M.Beaufauché, aujourd'hui habitée par M.Brousse.

 2.1 - Faux actes de baptême Son père Erich Cohn-Bendit, sa mère Judith-Herta David, et la tante Dora Agnès Anna Cohn, ont été protégés, avec d'autres familles juives, par Monseigneur Théas, qui les a fait bénéficier de faux certificats de baptême. Si l'on ne possède pas ces fameux certificats en ce qui concerne les parents de Daniel, nous avons pu retrouver, grâce à l'abbé Etienne, une copie du faux certificat dressé pour la tante, le 27 octobre 1942. On peut lire sur ce document, signé par le vicaire général pour l'évêque Mgr Théas : « Vu la demande adressée à nous par Mme Dora Agnès Anna Cohn, née Grim de parents catholiques le 3 décembre 1907 à Berlin GrossLichterfelde (Allemagne), habitant Paris depuis 1933, et Montauban depuis 1940..., entendu sa déclaration et la déposition de Mme Max Rosenheimer, catholique, affirmant qu'elle a été baptisée 8 jours après sa naissance dans l'église de la sainteFamille à Gross-Lichterfelde par monsieur le curé Max Bayer, ... Nous, Pierre Marie Théas, évêque de Montauban, donnons cette attestation comme quoi Mme Dora Agnès Anna Cohn, née de parents catholiques, a été baptisée et est elle-même catholique ».

 2.2 - Né en 1945 Daniel Cohn-Bendit est né à la fin de la guerre, le 4 avril 1945, à Montauban. Il y a donc très peu vécu puisque ses parents ont ensuite quitté la ville. Son frère, par contre, JeanGabriel Cohn-Bendit, né en 1936, a été scolarisé pendant la guerre à l'école du Carreyrat. Curieusement Jean-Gabriel, si l'on en croit le Quid qui le le catalogue comme militant antisioniste « a soutenu les thèses de Robert Faurisson sur le génocide hitlérien, en 1980 ». La page montalbanaise de Daniel Cohn-Bendit est donc très brève, il n'en demeure pas moins un fils de Montauban, ville qui une fois de plus, a manifesté à travers l'aide apportée aux siens, son attachement à la liberté, à l'humanisme et à la tolérance, valeurs qui constituent une permanence dans son Histoire.

http://www.ladepeche.fr/article/1998/05/13/211020-daniel-cohn-bendi... Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: May 10 2017, 9:15:44 UTC



http://de.wikipedia.org/wiki/Erich_Cohn-Bendit

Erich Cohn-Bendit (* 26. November 1902 in Berlin als Erich Cohn; † 14. August 1959 in Frankfurt am Main) war ein deutscher Rechtsanwalt.

Leben[Bearbeiten] Erich Cohn entstammt einer wohlhabenden Berliner Kaufmannsfamilie;[1] der Vater Alex Cohn betrieb einen Textilhandel.[2][3] Erich Cohn war jüdischer Herkunft;[4] bekannte sich aber zum Atheismus.[5] Nach dem Abitur studierte er Rechtswissenschaften und wurde zum Dr. jur. promoviert.

Als Rechtsanwalt eröffnete er in Berlin-Friedrichstadt eine Kanzlei, zugelassen für die Landgerichte Berlin I-III und das Amtsgericht Schöneberg.[6] Mit der Selbstständigkeit nahm er den Mädchennamen „Bendit“ seiner Mutter an.[6] 1932 war er einer der Strafverteidiger im sogenannten Felseneckprozess.[7] Neben Hans Litten gehörte er zu den wichtigsten Unterstützern der KPD-nahen Hilfsorganisation Rote Hilfe Deutschlands (RHD).[4] Er lehnte den totalitär empfundenen Stalinismus ab und war ein Anhänger Trotzkis.[4] Nach der „Machtergreifung“ der Nationalsozialisten erhielt er im April 1933 wegen vermeintlicher „kommunistischer Betätigung“ Berufsverbot; er stand auf einer Verfolgungsliste mit anderen unliebsamen Juristen wie Alfred Apfel, Ludwig Bendix und Hilde Benjamin.[7] Später wurde er von den Nationalsozialisten aus Deutschland zwangsausgebürgert.[8]

Noch im Jahr 1933 emigrierte er wegen der drohenden[9] Verhaftung durch die Gestapo nach Frankreich;[7] seine Lebensgefährtin, eine Jura-Studentin, folgte ihm wenig später und sie heirateten im Exil.[2] Seine Eltern flohen 1939 nach Paris und die Schwester ging nach Kenia.[2] Als feindlicher Ausländer wurde Cohn-Bendit zunächst interniert; arbeitete dann als Handelsvertreter.[2] In Paris lebte er mit falschen Papieren als Katholik und gehörte zum engen Freundeskreis von Hannah Arendt.[7] Diese Freundschaft pflegte er bis in die 1950er Jahre. In der französischen Hauptstadt verkehrte er in den 1930er Jahren mit anderen linken Intellektuellen wie Hannah Arendt, Walter Benjamin, Carl Heidenreich, Fritz Fränkel, Chanan Klenbort und Heinrich Blücher.[10] Außerdem war er in der 1938 gegründeten trotzkistischen Vierten Internationale aktiv.[11] Nach der deutschen Besetzung Nordfrankreichs 1940 lebte er im südwestfranzösischen Montauban. Dort arbeitete er als Tagelöhner; seine Frau ernährte weitgehend die Familie durch Handarbeit.[2] Aufgrund seiner deprimierenden Situation verfiel er zeitweilig dem Alkohol.[2]

Nach dem Krieg 1952 kehrte er nach Deutschland zurück und eröffnete erneut eine Kanzlei in Frankfurt-Westend.[12] Seine Frau Herta David und sein jüngerer Sohn Daniel Cohn-Bendit folgten ihm 1958. Auch in Frankfurt stand er im Kontakt mit Vertretern der Frankfurter Schule wie Max Horkheimer[13] und Theodor W. Adorno sowie mit Bertolt Brecht und Helene Weigel.[14] Zu seinen Mandanten gehörte unter anderem Bruno Bettelheim.[15] Außerdem beschäftigte er sich in einer Publikation von Hendrik van Dam, dem Generalsekretär des Zentralrats der Juden in Deutschland, kritisch mit dem Bundesentschädigungsgesetz (BEG).[16] In seinen letzten Lebensjahren wohnte er in der Privatwohnung einer ehemaligen Mandantin in Frankfurt.[17]

Ein weiterer Sohn ist der Pädagoge Gabriel Cohn-Bendit (* 1936).[7]

Werke[Bearbeiten] Plädoyer für Litten. In: Die Weltbühne. 30. August 1932, S. 314–317.

cf. also in German: https://de.wikipedia.org/wiki/Erich_Cohn-Bendit

About Dr. jur. Eric Cohn-Bendit (Français)

Individual Note

- Erich Cohn (1902-1959), devenu Cohn-Bendit en 1930, fut un des avocats du Secours rouge international à la fin des années 1920. Il fréquenta les communistes dissidents, les spartakistes, et fut très tôt, et de façon durable, antistalinien. La mère, Herta David (1908-1963), était encore étudiante lorsqu’ils fuirent le nazisme en 1933. Ils s’installèrent à Paris dans le XV° arrondissement, non loin de leurs amis Hannah Arendt et Max Ophuls. Après la débâcle en 1940, ils partirent pour Montauban (Tarn-et-Garonne) et vécurent à Moissac. La mère fut intendante, en 1941-1942, d’un home d’enfants juifs du Centre des éclaireurs israélites, institution dissoute en 1943. Gabriel fut alors confié à la famille d’un architecte de Moissac qui s’en occupa avec une grande humanité. Les parents passèrent la guerre dans cette région où Daniel naquît à la fin du conflit.

Erich Cohn-Bendit, avocat de gauche juif et antinazi, fuit l’Allemagne avec son épouse Herta, alors étudiante en droit, en 1933, au lendemain de l’incendie du Reichstag. Le couple quitte Berlin et s’installe à Paris, où naîtra Jean-Gabriel, surnommé Gaby ou Gabriel, en 1936. Mais au début de la guerre, Erich, qui fréquente les milieux intellectuels de gauche parisiens, est placé dans un camp de prisonniers politiques en Bretagne.
Il s’en échappe et rejoint à pied Montauban, où sa femme et son fils se sont réfugiés en 1940. Dans le sud-ouest de la France, où est né Daniel en 1945, « le Parisien » et « Aujourd’hui en France » ont retrouvé les témoins de l’époque, la famille qui a hébergé les Cohn-Bendit et le prêtre qui délivrait aux juifs des certificats de catholicisme. En 1941, dans la petite ville de Moissac (Tarn-et-Garonne), les destins des Cohn-Bendit et des Kauffmann se sont mêlés. Camille Kauffmann, née Lassence, avait tout juste 20 ans, et c’est dans sa famille que les parents de Dany le Rouge ont trouvé refuge. Aujourd’hui âgée de 88 ans, Camille Kauffmann, derrière des lunettes en verre fumé, se souvient de cette époque avec émotion. « On a vécu une vraie histoire d’amour avec la famille Cohn-Bendit », lâche-t-elle. Tout commence par une proposition du réseau des Eclaireurs israélites de France faite à ses parents. « Monsieur Simon, le directeur du centre, a dit à ma mère : Voulez-vous garder un petit garçon de 5 ans ? Elle a répondu sans hésiter : Oui, c’est d’accord . » L’enfant et ses parents arrivent quelques jours plus tard. « Je les ai vus la première fois au siège des Eclaireurs israélites de France. La dame était blonde, de taille moyenne, et parlait bien le français. On l’appelait Tricotie, car elle avait toujours un tricot dans son sac. Le papa, plus discret, fatigué, s’exprimait en allemand. » Le petit Gaby Cohn-Bendit s’installe donc dans la famille de Camille, sous le faux nom de Jean Collet. « Quand j’allais le chercher à la sortie de l’école, je disais que c’était mon neveu », raconte la vieille femme qui se remémore aussi des risques qu’ils prenaient. « Comme il était blond, Gaby passait pour un petit aryen, on l’envoyait jouer aux billes devant la Kommandantur, à Moissac, et au retour, avec sa maîtrise de la langue allemande, il nous traduisait ce qu’ils avaient dit! »

 1 - « Dany, le portrait de Tricotie, sa maman » Les parents Cohn-Bendit emménagent sous le nom de Delpioux dans la grande maison de trois étages au 18, quai du Port, sur les bords du Tarn. La bâtisse appartient alors aux Eclaireurs israélites de France. « Dans la journée, la maman exerçait la profession d’intendante auprès des autres réfugiés. Elle réglait les problèmes pratiques des uns et des autres », se souvient Roger Kauffmann, le mari de Camille, lui aussi résistant à Moissac. « Le papa, Erich, ne disait presque rien. Il préférait rester dans son coin, tout seul, comme s’il ne se remettait pas des épreuves », ajoute Camille. Dany naîtra quelques années plus tard, le 4 avril 1945, dans la ville voisine de Montauban, mais l’histoire des Kauffmann l’a lui aussi profondément marqué. « Ces gens ont été d’un courage extraordinaire, nous a-t-il confié. Ils ont sauvé mes parents et mon frère au péril de leur vie. » Camille, entre deux bouffées de cigarette, se souvient d’ailleurs du jour où Dany est venu leur rendre visite, en 1999 : « C’était pour une précédente élection européenne. Il était venu à Moissac pour rencontrer les agriculteurs. Lorsque je l’ai eu en face de moi, blond et vif d’esprit, j’ai vu ressurgir le portrait tout craché de sa maman Tricotie. » La vieille femme n’a pas oublié les mots prononcés ce jour-là par Daniel Cohn-Bendit : « On ne vous a jamais oubliés, vous êtes irremplaçables dans mon coeur. »

Le parisien - 16 juin 2009 (http://gaelle.hautetfort.com/archive/2009/06/17/on-a-vecu-une-vraie...)

 2 - Daniel Cohn-Bendit, fils de Montauban Le saviez-vous ? C'est à Montauban qu'est né Daniel Cohn-Bendit ! Ses parents avaient été au nombre des familles juives protégées pendant la guerre, par Monseigneur Théas. Beaucoup l'ignorent, mais c'est à Montauban qu'est née la figure emblématique de mai 68, Daniel Cohn-Bendit. Ses parents, juifs d'origine allemande, et sa famille s'étaient réfugiés au début de la guerre, en 1940, dans notre ville et ont vécu dans plusieurs maisons de la ville (dont au Fau), et d'abord au Carreyrat au 558-chemin des Cabouillous, dans une modeste habitation appartenant à M.Beaufauché, aujourd'hui habitée par M.Brousse.

 2.1 - Faux actes de baptême Son père Erich Cohn-Bendit, sa mère Judith-Herta David, et la tante Dora Agnès Anna Cohn, ont été protégés, avec d'autres familles juives, par Monseigneur Théas, qui les a fait bénéficier de faux certificats de baptême. Si l'on ne possède pas ces fameux certificats en ce qui concerne les parents de Daniel, nous avons pu retrouver, grâce à l'abbé Etienne, une copie du faux certificat dressé pour la tante, le 27 octobre 1942. On peut lire sur ce document, signé par le vicaire général pour l'évêque Mgr Théas : « Vu la demande adressée à nous par Mme Dora Agnès Anna Cohn, née Grim de parents catholiques le 3 décembre 1907 à Berlin GrossLichterfelde (Allemagne), habitant Paris depuis 1933, et Montauban depuis 1940..., entendu sa déclaration et la déposition de Mme Max Rosenheimer, catholique, affirmant qu'elle a été baptisée 8 jours après sa naissance dans l'église de la sainteFamille à Gross-Lichterfelde par monsieur le curé Max Bayer, ... Nous, Pierre Marie Théas, évêque de Montauban, donnons cette attestation comme quoi Mme Dora Agnès Anna Cohn, née de parents catholiques, a été baptisée et est elle-même catholique ».

 2.2 - Né en 1945 Daniel Cohn-Bendit est né à la fin de la guerre, le 4 avril 1945, à Montauban. Il y a donc très peu vécu puisque ses parents ont ensuite quitté la ville. Son frère, par contre, JeanGabriel Cohn-Bendit, né en 1936, a été scolarisé pendant la guerre à l'école du Carreyrat. Curieusement Jean-Gabriel, si l'on en croit le Quid qui le le catalogue comme militant antisioniste « a soutenu les thèses de Robert Faurisson sur le génocide hitlérien, en 1980 ». La page montalbanaise de Daniel Cohn-Bendit est donc très brève, il n'en demeure pas moins un fils de Montauban, ville qui une fois de plus, a manifesté à travers l'aide apportée aux siens, son attachement à la liberté, à l'humanisme et à la tolérance, valeurs qui constituent une permanence dans son Histoire.

http://www.ladepeche.fr/article/1998/05/13/211020-daniel-cohn-bendi... Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: May 10 2017, 9:09:17 UTC

Individual Note

- Erich Cohn (1902-1959), devenu Cohn-Bendit en 1930, fut un des avocats du Secours rouge international à la fin des années 1920. Il fréquenta les communistes dissidents, les spartakistes, et fut très tôt, et de façon durable, antistalinien. La mère, Herta David (1908-1963), était encore étudiante lorsqu’ils fuirent le nazisme en 1933. Ils s’installèrent à Paris dans le XV° arrondissement, non loin de leurs amis Hannah Arendt et Max Ophuls. Après la débâcle en 1940, ils partirent pour Montauban (Tarn-et-Garonne) et vécurent à Moissac. La mère fut intendante, en 1941-1942, d’un home d’enfants juifs du Centre des éclaireurs israélites, institution dissoute en 1943. Gabriel fut alors confié à la famille d’un architecte de Moissac qui s’en occupa avec une grande humanité. Les parents passèrent la guerre dans cette région où Daniel naquît à la fin du conflit.

Erich Cohn-Bendit, avocat de gauche juif et antinazi, fuit l’Allemagne avec son épouse Herta, alors étudiante en droit, en 1933, au lendemain de l’incendie du Reichstag. Le couple quitte Berlin et s’installe à Paris, où naîtra Jean-Gabriel, surnommé Gaby ou Gabriel, en 1936. Mais au début de la guerre, Erich, qui fréquente les milieux intellectuels de gauche parisiens, est placé dans un camp de prisonniers politiques en Bretagne.
Il s’en échappe et rejoint à pied Montauban, où sa femme et son fils se sont réfugiés en 1940. Dans le sud-ouest de la France, où est né Daniel en 1945, « le Parisien » et « Aujourd’hui en France » ont retrouvé les témoins de l’époque, la famille qui a hébergé les Cohn-Bendit et le prêtre qui délivrait aux juifs des certificats de catholicisme. En 1941, dans la petite ville de Moissac (Tarn-et-Garonne), les destins des Cohn-Bendit et des Kauffmann se sont mêlés. Camille Kauffmann, née Lassence, avait tout juste 20 ans, et c’est dans sa famille que les parents de Dany le Rouge ont trouvé refuge. Aujourd’hui âgée de 88 ans, Camille Kauffmann, derrière des lunettes en verre fumé, se souvient de cette époque avec émotion. « On a vécu une vraie histoire d’amour avec la famille Cohn-Bendit », lâche-t-elle. Tout commence par une proposition du réseau des Eclaireurs israélites de France faite à ses parents. « Monsieur Simon, le directeur du centre, a dit à ma mère : Voulez-vous garder un petit garçon de 5 ans ? Elle a répondu sans hésiter : Oui, c’est d’accord . » L’enfant et ses parents arrivent quelques jours plus tard. « Je les ai vus la première fois au siège des Eclaireurs israélites de France. La dame était blonde, de taille moyenne, et parlait bien le français. On l’appelait Tricotie, car elle avait toujours un tricot dans son sac. Le papa, plus discret, fatigué, s’exprimait en allemand. » Le petit Gaby Cohn-Bendit s’installe donc dans la famille de Camille, sous le faux nom de Jean Collet. « Quand j’allais le chercher à la sortie de l’école, je disais que c’était mon neveu », raconte la vieille femme qui se remémore aussi des risques qu’ils prenaient. « Comme il était blond, Gaby passait pour un petit aryen, on l’envoyait jouer aux billes devant la Kommandantur, à Moissac, et au retour, avec sa maîtrise de la langue allemande, il nous traduisait ce qu’ils avaient dit! »

 1 - « Dany, le portrait de Tricotie, sa maman » Les parents Cohn-Bendit emménagent sous le nom de Delpioux dans la grande maison de trois étages au 18, quai du Port, sur les bords du Tarn. La bâtisse appartient alors aux Eclaireurs israélites de France. « Dans la journée, la maman exerçait la profession d’intendante auprès des autres réfugiés. Elle réglait les problèmes pratiques des uns et des autres », se souvient Roger Kauffmann, le mari de Camille, lui aussi résistant à Moissac. « Le papa, Erich, ne disait presque rien. Il préférait rester dans son coin, tout seul, comme s’il ne se remettait pas des épreuves », ajoute Camille. Dany naîtra quelques années plus tard, le 4 avril 1945, dans la ville voisine de Montauban, mais l’histoire des Kauffmann l’a lui aussi profondément marqué. « Ces gens ont été d’un courage extraordinaire, nous a-t-il confié. Ils ont sauvé mes parents et mon frère au péril de leur vie. » Camille, entre deux bouffées de cigarette, se souvient d’ailleurs du jour où Dany est venu leur rendre visite, en 1999 : « C’était pour une précédente élection européenne. Il était venu à Moissac pour rencontrer les agriculteurs. Lorsque je l’ai eu en face de moi, blond et vif d’esprit, j’ai vu ressurgir le portrait tout craché de sa maman Tricotie. » La vieille femme n’a pas oublié les mots prononcés ce jour-là par Daniel Cohn-Bendit : « On ne vous a jamais oubliés, vous êtes irremplaçables dans mon coeur. »

Le parisien - 16 juin 2009 (http://gaelle.hautetfort.com/archive/2009/06/17/on-a-vecu-une-vraie...)

 2 - Daniel Cohn-Bendit, fils de Montauban Le saviez-vous ? C'est à Montauban qu'est né Daniel Cohn-Bendit ! Ses parents avaient été au nombre des familles juives protégées pendant la guerre, par Monseigneur Théas. Beaucoup l'ignorent, mais c'est à Montauban qu'est née la figure emblématique de mai 68, Daniel Cohn-Bendit. Ses parents, juifs d'origine allemande, et sa famille s'étaient réfugiés au début de la guerre, en 1940, dans notre ville et ont vécu dans plusieurs maisons de la ville (dont au Fau), et d'abord au Carreyrat au 558-chemin des Cabouillous, dans une modeste habitation appartenant à M.Beaufauché, aujourd'hui habitée par M.Brousse.

 2.1 - Faux actes de baptême Son père Erich Cohn-Bendit, sa mère Judith-Herta David, et la tante Dora Agnès Anna Cohn, ont été protégés, avec d'autres familles juives, par Monseigneur Théas, qui les a fait bénéficier de faux certificats de baptême. Si l'on ne possède pas ces fameux certificats en ce qui concerne les parents de Daniel, nous avons pu retrouver, grâce à l'abbé Etienne, une copie du faux certificat dressé pour la tante, le 27 octobre 1942. On peut lire sur ce document, signé par le vicaire général pour l'évêque Mgr Théas : « Vu la demande adressée à nous par Mme Dora Agnès Anna Cohn, née Grim de parents catholiques le 3 décembre 1907 à Berlin GrossLichterfelde (Allemagne), habitant Paris depuis 1933, et Montauban depuis 1940..., entendu sa déclaration et la déposition de Mme Max Rosenheimer, catholique, affirmant qu'elle a été baptisée 8 jours après sa naissance dans l'église de la sainteFamille à Gross-Lichterfelde par monsieur le curé Max Bayer, ... Nous, Pierre Marie Théas, évêque de Montauban, donnons cette attestation comme quoi Mme Dora Agnès Anna Cohn, née de parents catholiques, a été baptisée et est elle-même catholique ».

 2.2 - Né en 1945 Daniel Cohn-Bendit est né à la fin de la guerre, le 4 avril 1945, à Montauban. Il y a donc très peu vécu puisque ses parents ont ensuite quitté la ville. Son frère, par contre, JeanGabriel Cohn-Bendit, né en 1936, a été scolarisé pendant la guerre à l'école du Carreyrat. Curieusement Jean-Gabriel, si l'on en croit le Quid qui le le catalogue comme militant antisioniste « a soutenu les thèses de Robert Faurisson sur le génocide hitlérien, en 1980 ». La page montalbanaise de Daniel Cohn-Bendit est donc très brève, il n'en demeure pas moins un fils de Montauban, ville qui une fois de plus, a manifesté à travers l'aide apportée aux siens, son attachement à la liberté, à l'humanisme et à la tolérance, valeurs qui constituent une permanence dans son Histoire.

http://www.ladepeche.fr/article/1998/05/13/211020-daniel-cohn-bendi... Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: May 10 2017, 9:15:44 UTC

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Dr. jur. Eric Cohn-Bendit's Timeline

1902
November 26, 1902
Berlin, Berlin, Germany
1936
April 14, 1936
Montrouge, Hauts-de-Seine, IDF, France
1945
April 4, 1945
Montauban, Tarn-et-Garonne, Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, France
1959
August 14, 1959
Age 56
Frankfurt am Main, Hessen, Germany