Michel Jean Claude Bruno Broué

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Michel Jean Claude Bruno Broué

English (default): Michel Jean Claude Bruno
Birthdate:
Birthplace: Privas, Ardeche, Auvergne-Rhône-Alpes, France
Immediate Family:

Son of Pierre Broué and Private
Husband of Anouk Broue
Ex-husband of Private
Father of Private and Private
Half brother of Private

Occupation: Mathématicien
Managed by: Pierre Quenee
Last Updated:
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Immediate Family

    • Private
      ex-spouse
    • Private
      child
    • Private
      child
    • father
    • Private
      parent
    • Private
      stepchild
    • Private
      step-parent
    • Private
      half sibling

About Michel Jean Claude Bruno Broué

Michel Broué, né le 28 octobre 1946 à Privas (Ardèche), est un mathématicien français. Il a une activité politique importante au sein de l'extrême gauche trotskiste, puis à partir des années 1980 autour du Parti socialiste.

Biographie

Carrière

Fils de Simone Charras, institutrice, et de Pierre Broué, historien, il est élevé par ses grands-parents et a passé son enfance à Privas.

Après une terminale au lycée de Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne) et des classes préparatoires au lycée Saint-Louis, il devient en 1966 élève de l'École normale supérieure de Saint-Cloud, d'où il sort en 1970 agrégé de mathématiques, et docteur de troisième cycle sous la direction de Claude Chevalley.

Chercheur au CNRS de 1970 à 1980, docteur d'État en 1975 (sous la direction de Claude Chevalley, et partiellement de Jean-Pierre Serre), il est nommé professeur à l'université Paris 7 en 1980, directeur du service de mathématiques de l'École normale supérieure de jeunes filles (Sèvres) en 1983, puis directeur du département de mathématiques et d'informatique de l'École normale supérieure de la rue d'Ulm en 1986, fonctions qu'il exerce jusqu'en 1993. Il y fonde le magistère de mathématiques pures et appliquées et d'informatique. Parallèlement, il est maître de conférences à l'École polytechnique (1985-1997). Nommé membre senior de l'Institut universitaire de France en 1994, il rejoint son université d'origine, pour la quitter à nouveau en 1999 comme directeur de l'Institut Henri-Poincaré, fonctions qu'il exerce jusqu'en juin 2009. En septembre 2009, il réintègre l'Institut universitaire de France et l'université Paris Diderot.

Invité de nombreuses universités étrangères : Chicago, Yale, Berkeley (Chancelor's Professor en 2008), Minnesota (Ordway Professor en 1999), Virginia (USA), Sydney (Australie), Cambridge (Fellow de Caius College en 1997, de Churchill College en 2008), Oxford, Birmingham (UK), Heidelberg (Allemagne), Aarhus (Danemark), Beijing (Chine), ETH Zurich et EPFL, il est orateur au Congrès international des mathématiciens à Berkeley en 1986, conférencier de la série « Current Developments in Mathematics » (Harvard-MIT 2000), titulaire des "Albert Lectures" (Chicago 2003), Abel Lecturer (Oslo 2008). Il est prix de l'Académie des sciences en 1986, docteur honoris causa de l'université de Birmingham et Fellow de l'American Mathematical Society1. Il est élu en 2014 Honorary Foreign Member de l'American Academy of Arts and Sciences [archive].

Influencé par les travaux de Claude Chevalley et de Jean-Pierre Serre, il est spécialiste d'algèbre, et plus particulièrement de la théorie des groupes (groupes finis d'abord, puis groupes algébriques, groupes de réflexions (en), groupe de tresses) et de leurs représentations, auteur de nombreux articles dans les revues spécialisées, et de très nombreuses communications dans les conférences et séminaires internationaux. Il a énoncé en 1988 une conjecture 2 qui a depuis stimulé et suscité de nombreuses recherches.

Parmi ses élèves : Serge Bouc, Marc Cabanes (chercheurs au CNRS), David Bessis (chercheur au CNRS et chef d'entreprise), Raphaël Rouquier (professeur à Oxford, puis à UCLA). Organisateur de nombreuses rencontres internationales (MSRI Berkeley 1990 et 2008, Newton Institute Cambridge 1997, Mathematisches Forschungsinstitut Oberwolfach, CIRM Luminy), il est éditeur de plusieurs revues scientifiques internationales (Algebra Colloquium, Journal of Group Theory, Journal of Pure and Applied Algebra), et Éditeur en Chef du Journal of Algebra3.

Tout au long de sa carrière, il a défendu la coopération scientifique internationale et s'est insurgé par voie de presse contre les entraves qui y sont périodiquement mises. Lors de la mise en place de la "Circulaire Guéant", il a écrit une lettre ouverte au Premier ministre à propos de l'expulsion de France d'un jeune scientifique biélorusse .

Il collabore régulièrement à la vulgarisation et à la réflexion publique sur les mathématiques, par divers exposés grands public (comme la série "Un texte, un mathématicien" à la BNF, ou le "Festival du Mot"6), en participant à diverses émissions de radio ou de grand public radiodiffusées, en donnant des conférences régulières dans les lycées, en tenant une chronique régulière dans le journal Les Echos.

Activités politiques

Parallèlement à ses activités scientifiques, il a eu des activités politiques variées. Il est d'abord membre de l'Organisation communiste internationaliste (OCI) (trotskiste) où il est recruté par Lionel Jospin en 1971.

Durant toutes ces années militantes trotskistes il se consacre essentiellement à la défense des droits de l'homme, une des activités importantes de l'OCI.

C'est d'abord, dans le cadre du Comité des Mathématiciens, qu'il a fondé et animé avec Henri Cartan et Laurent Schwartz, dont le succès le plus spectaculaire fut la libération en 1976 du mathématicien ukrainien Léonide Pliouchtch à la suite d'une campagne internationale qui ébranla le lien entre le PCF et la direction soviétique . Le Comité des Mathématiciens a aussi obtenu la libération de nombreux autres mathématiciens persécutés pour leur opinions politiques (dont Anatoly Shcharansky en URSS, Sion Assidon au Maroc, José Luis Massera (en) en Uruguay).

À la suite de l'arrestation de deux jeunes Français en Tchécoslovaquie en 1980 et des arrestations massives (dont celle de Václav Havel) opérées en conséquence dans les milieux dissidents, Michel Broué a mené une campagne très active en faveur des membres de la Charte 77 (voir photo ci-dessus), en particulier en collaboration avec l'association AIDA fondée et animée par Ariane Mnouchkine. Après la prise du pouvoir en Pologne de Jaruzelski, il a également animé, entre autres en compagnie de Jacques Le Goff et Simone Signoret, des actions de solidarité avec les Polonais emprisonnés ou poursuivis.

Il quitte l'Organisation communiste internationaliste en 1984, soit (contrairement à ce qui est souvent affirmé) deux ans avant les membres du secteur étudiant (mené par Jean-Christophe Cambadélis et Benjamin Stora) qui rejoignent le Parti socialiste en 1986. De 1986 à 1988, il participe activement à Convergences socialistes (scission de militants trotskistes qui ont rejoint le Parti socialiste (PS)) créé par ce groupe durant la même période, et devient membre du Parti socialiste. Dans ce cadre, il anime la mobilisation contre le projet de code de nationalité porté par le Premier ministre Jacques Chirac, dont le point culminant est un meeting qu'il préside dans la grande salle de la Mutualité.

En 1988, après le score important réalisé par Jean-Marie Le Pen au premier tour de l'élection présidentielle, il lance en compagnie de Jacques Le Goff et Laurent Schwartz un Appel intitulé La bête immonde qui réunit un grand nombre de signatures d'intellectuels. Cette initiative provoque sa rupture avec Convergences socialistes, et son éloignement du PS dont Jean-Christophe Cambadélis devient l'un des dirigeants. Puis en 1990, en compagnie de François Jacob, Jacques Le Goff, Madeleine Rebérioux, Laurent Schwartz, Pierre Vidal-Naquet, il appelle à la mobilisation contre les négationnistes dans l'université.

En 2001, il a fondé, en compagnie de ses amis le journaliste Edwy Plenel et l'historien Benjamin Stora, le Club Mémoire et Politique, qu'il a présidé jusqu'à sa dissolution en 2005. En 2005, dans Le Monde, il a pris fermement position en faveur d'Edwy Plenel, accusé par Roland Dumas d'être un agent de la CIA lors du procès des écoutes de l'Élysée.

Il a participé activement aux deux campagnes présidentielles menées par Lionel Jospin (1995 et 2002). En opposition constante et ouverte à la personnalité et aux méthodes de Claude Allègre depuis 1988, il a été chargé par Lionel Jospin, dans la campagne de 2002, des secteurs de la recherche et de l'université. Trois jours avant le 21 avril 2002, il a publié, en collaboration avec le metteur en scène Bernard Murat, un article dans Le Monde intitulé « À nos amis de gauche qui deviennent fous » attirant l'attention sur le danger imminent du vote pour Jean-Marie Le Pen. En 2007, il a mené campagne publique et active pour Ségolène Royal, dans les médias, et en prenant la parole lors du meeting de la candidate au gymnase Japy.

Il a étroitement participé en 2008, en compagnie d'Edwy Plenel, à la fondation du site d'information Mediapart, dont il est le président de la Société des amis. Il tient un blog sur Mediapart.

En 2012, il signe une tribune intitulée « Pour une nouvelle république » appelant à voter pour le candidat François Hollande.

Vie privée et famille

Il est le père d'Isabelle Broué (née en 1968, cinéaste) et Caroline Broué (née en 1972, journaliste et productrice à France Culture), nées de son union avec Marie-Claude Cidère. Depuis janvier 2003 il partage la vie de la comédienne Anouk Grinberg, qu'il a épousée en 2016.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Brou%C3%A9

About Michel Jean Claude Bruno Broué (Français)

Michel Broué, né le 28 octobre 1946 à Privas (Ardèche), est un mathématicien français.

Directeur du département de mathématiques de l'École normale supérieure, il a été professeur au sein de l’École Polytechnique. Influencé par les travaux des mathématiciens Claude Chevalley et Jean-Pierre Serre, il est spécialiste d'algèbre, et plus particulièrement de la théorie des groupes.

Militant politique, il s'engage d'abord au sein de l'extrême gauche trotskiste, et est connu pour avoir soutenu des mathématiciens persécutés comme Anatoly Chtcharansky ou José Luis Massera. Il soutient à partir des années 1980 le Parti socialiste

Biographie

Carrière

Fils de Simone Charras, institutrice, et de Pierre Broué, historien, il est élevé par ses grands-parents et a passé son enfance à Privas.

Après une terminale au lycée de Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne) et des classes préparatoires au lycée Saint-Louis, il devient en 1966 élève de l'École normale supérieure de Saint-Cloud, d'où il sort en 1970 agrégé de mathématiques, et docteur de troisième cycle sous la direction de Claude Chevalley.

Chercheur au CNRS de 1970 à 1980, docteur d'État en 1975 (sous la direction de Claude Chevalley, et partiellement de Jean-Pierre Serre), il est nommé professeur à l'université Paris 7 en 1980, directeur du service de mathématiques de l'École normale supérieure de jeunes filles (Sèvres) en 1983, puis directeur du département de mathématiques et d'informatique de l'École normale supérieure de la rue d'Ulm en 1986, fonctions qu'il exerce jusqu'en 1993. Il y fonde le magistère de mathématiques pures et appliquées et d'informatique. Parallèlement, il est maître de conférences à l'École polytechnique (1985-1997). Nommé membre senior de l'Institut universitaire de France en 1994, il rejoint son université d'origine, pour la quitter à nouveau en 1999 comme directeur de l'Institut Henri-Poincaré, fonctions qu'il exerce jusqu'en juin 2009. En septembre 2009, il réintègre l'Institut universitaire de France et l'université Paris Diderot.

Invité de nombreuses universités étrangères : Chicago, Yale, Berkeley (Chancelor's Professor en 2008), Minnesota (Ordway Professor en 1999), Virginia (USA), Sydney (Australie), Cambridge (Fellow de Caius College en 1997, de Churchill College en 2008), Oxford, Birmingham (UK), Heidelberg (Allemagne), Aarhus (Danemark), Beijing (Chine), ETH Zurich et EPFL, il est orateur au Congrès international des mathématiciens à Berkeley en 1986, conférencier de la série « Current Developments in Mathematics » (Harvard-MIT 2000), titulaire des "Albert Lectures" (Chicago 2003), Abel Lecturer (Oslo 2008). Il est prix de l'Académie des sciences en 1986, docteur honoris causa de l'université de Birmingham et Fellow de l'American Mathematical Society1. Il est élu en 2014 Honorary Foreign Member de l'American Academy of Arts and Sciences [archive].

Influencé par les travaux de Claude Chevalley et de Jean-Pierre Serre, il est spécialiste d'algèbre, et plus particulièrement de la théorie des groupes (groupes finis d'abord, puis groupes algébriques, groupes de réflexions (en), groupe de tresses) et de leurs représentations, auteur de nombreux articles dans les revues spécialisées, et de très nombreuses communications dans les conférences et séminaires internationaux. Il a énoncé en 1988 une conjecture 2 qui a depuis stimulé et suscité de nombreuses recherches.

Parmi ses élèves : Serge Bouc, Marc Cabanes (chercheurs au CNRS), David Bessis (chercheur au CNRS et chef d'entreprise), Raphaël Rouquier (professeur à Oxford, puis à UCLA). Organisateur de nombreuses rencontres internationales (MSRI Berkeley 1990 et 2008, Newton Institute Cambridge 1997, Mathematisches Forschungsinstitut Oberwolfach, CIRM Luminy), il est éditeur de plusieurs revues scientifiques internationales (Algebra Colloquium, Journal of Group Theory, Journal of Pure and Applied Algebra), et Éditeur en Chef du Journal of Algebra3.

Tout au long de sa carrière, il a défendu la coopération scientifique internationale et s'est insurgé par voie de presse contre les entraves qui y sont périodiquement mises. Lors de la mise en place de la "Circulaire Guéant", il a écrit une lettre ouverte au Premier ministre à propos de l'expulsion de France d'un jeune scientifique biélorusse .

Il collabore régulièrement à la vulgarisation et à la réflexion publique sur les mathématiques, par divers exposés grands public (comme la série "Un texte, un mathématicien" à la BNF, ou le "Festival du Mot"6), en participant à diverses émissions de radio ou de grand public radiodiffusées, en donnant des conférences régulières dans les lycées, en tenant une chronique régulière dans le journal Les Echos.

Activités politiques

Parallèlement à ses activités scientifiques, il a eu des activités politiques variées. Il est d'abord membre de l'Organisation communiste internationaliste (OCI) (trotskiste) où il est recruté par Lionel Jospin en 1971.

Durant toutes ces années militantes trotskistes il se consacre essentiellement à la défense des droits de l'homme, une des activités importantes de l'OCI.

C'est d'abord, dans le cadre du Comité des Mathématiciens, qu'il a fondé et animé avec Henri Cartan et Laurent Schwartz, dont le succès le plus spectaculaire fut la libération en 1976 du mathématicien ukrainien Léonide Pliouchtch à la suite d'une campagne internationale qui ébranla le lien entre le PCF et la direction soviétique . Le Comité des Mathématiciens a aussi obtenu la libération de nombreux autres mathématiciens persécutés pour leur opinions politiques (dont Anatoly Shcharansky en URSS, Sion Assidon au Maroc, José Luis Massera (en) en Uruguay).

À la suite de l'arrestation de deux jeunes Français en Tchécoslovaquie en 1980 et des arrestations massives (dont celle de Václav Havel) opérées en conséquence dans les milieux dissidents, Michel Broué a mené une campagne très active en faveur des membres de la Charte 77 (voir photo ci-dessus), en particulier en collaboration avec l'association AIDA fondée et animée par Ariane Mnouchkine. Après la prise du pouvoir en Pologne de Jaruzelski, il a également animé, entre autres en compagnie de Jacques Le Goff et Simone Signoret, des actions de solidarité avec les Polonais emprisonnés ou poursuivis.

Il quitte l'Organisation communiste internationaliste en 1984, soit (contrairement à ce qui est souvent affirmé) deux ans avant les membres du secteur étudiant (mené par Jean-Christophe Cambadélis et Benjamin Stora) qui rejoignent le Parti socialiste en 1986. De 1986 à 1988, il participe activement à Convergences socialistes (scission de militants trotskistes qui ont rejoint le Parti socialiste (PS)) créé par ce groupe durant la même période, et devient membre du Parti socialiste. Dans ce cadre, il anime la mobilisation contre le projet de code de nationalité porté par le Premier ministre Jacques Chirac, dont le point culminant est un meeting qu'il préside dans la grande salle de la Mutualité.

En 1988, après le score important réalisé par Jean-Marie Le Pen au premier tour de l'élection présidentielle, il lance en compagnie de Jacques Le Goff et Laurent Schwartz un Appel intitulé La bête immonde qui réunit un grand nombre de signatures d'intellectuels. Cette initiative provoque sa rupture avec Convergences socialistes, et son éloignement du PS dont Jean-Christophe Cambadélis devient l'un des dirigeants. Puis en 1990, en compagnie de François Jacob, Jacques Le Goff, Madeleine Rebérioux, Laurent Schwartz, Pierre Vidal-Naquet, il appelle à la mobilisation contre les négationnistes dans l'université.

En 2001, il a fondé, en compagnie de ses amis le journaliste Edwy Plenel et l'historien Benjamin Stora, le Club Mémoire et Politique, qu'il a présidé jusqu'à sa dissolution en 2005. En 2005, dans Le Monde, il a pris fermement position en faveur d'Edwy Plenel, accusé par Roland Dumas d'être un agent de la CIA lors du procès des écoutes de l'Élysée.

Il a participé activement aux deux campagnes présidentielles menées par Lionel Jospin (1995 et 2002). En opposition constante et ouverte à la personnalité et aux méthodes de Claude Allègre depuis 1988, il a été chargé par Lionel Jospin, dans la campagne de 2002, des secteurs de la recherche et de l'université. Trois jours avant le 21 avril 2002, il a publié, en collaboration avec le metteur en scène Bernard Murat, un article dans Le Monde intitulé « À nos amis de gauche qui deviennent fous » attirant l'attention sur le danger imminent du vote pour Jean-Marie Le Pen. En 2007, il a mené campagne publique et active pour Ségolène Royal, dans les médias, et en prenant la parole lors du meeting de la candidate au gymnase Japy.

Il a étroitement participé en 2008, en compagnie d'Edwy Plenel, à la fondation du site d'information Mediapart, dont il est le président de la Société des amis. Il tient un blog sur Mediapart.

En 2012, il signe une tribune intitulée « Pour une nouvelle république » appelant à voter pour le candidat François Hollande.

Vie privée et famille

Il est le père d'Isabelle Broué (née en 1968, cinéaste) et Caroline Broué (née en 1972, journaliste et productrice à France Culture), nées de son union avec Marie-Claude Cidère. Depuis janvier 2003 il partage la vie de la comédienne Anouk Grinberg, qu'il a épousée en 2016.

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Michel Jean Claude Bruno Broué's Timeline

1946
October 28, 1946
Privas, Ardeche, Auvergne-Rhône-Alpes, France