Paul dit Tristan Bernard

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Paul dit Tristan Bernard

Birthdate:
Birthplace: Besançon, Doubs, Franche-Comté, France
Death: December 07, 1947 (81)
Paris, Paris, Île-de-France, France
Immediate Family:

Son of Myrthil Bernard and Emma Bernard
Husband of Suzanne Rebecca Bernard and Agathe Marcelle Bernard
Father of Jean-Jacques Bernard; Raymond Bernard and Etienne Bernard
Brother of Alfred Bernard; Renée Strauss and Marguerite Thérèse Veber

Occupation: écrivain humoristique
Managed by: Private User
Last Updated:

About Paul dit Tristan Bernard

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tristan_Bernard

romancier et auteur dramatique français, il est célèbre pour ses mots d'esprit

http://www.dailymotion.com/video/xfdzcs_interview-du-professeur-ber...

Tristan Bernard (7 September 1866 – 7 December 1947) was a French playwright, novelist, journalist and lawyer.

Contents [show] Life[edit]

Tristan Bernard with Eleonora Duse, Matilde Serao, and others, 1897. Photo by Giuseppe Primoli. Born Paul Bernard into a Jewish family in Besançon, Doubs, Franche-Comté, France, he was the son of an architect. He left Besançon at the age of 14 years, relocating with his father to Paris, where he studied at the Lycée Condorcet, which was noted for its numerous literary alumni.

In 1888 was born his son Jean-Jacques Bernard, also a dramatist.

He studied law, but after his military service he started his career as the manager of an aluminium smelter. In the 1890s he also managed the Vélodrome de la Seine at Levallois-Perret and the Vélodrome Buffalo, whose events were an integral part of Parisian life, being regularly attended by personalities such as Toulouse-Lautrec.[1] He reputedly introduced the bell to signify the last lap of a race.[2]

After his first publication in La Revue Blanche in 1891, he became increasingly a writer and adopted the pseudonym Tristan. His first play, Les Pieds Nickelés (Nickel-plated Feet), was a great success and was representative of the style of his later work (generally humorous). He became known especially for his writing for vaudeville-type performances, which were very popular in France during that time. He also wrote several novels and some poetry.

Bernard is remembered mainly for witticisms, particularly from his play Les Jumeaux de Brighton (The Brighton Twins).

In 1932, he was a candidate for the Académie Française, but was not elected, receiving only 2 votes of a total of 39.

Drancy[edit] He was interned during World War II at the Drancy deportation camp. When Gestapo agents were at his door he turned to his wife, who was crying, and said "Don´t cry, we were living in fear, but from now on we will live in hope".

Public protest of his imprisonment caused his release in 1943. He died in Paris four years later, allegedly of the results of his internment, and was buried in Passy cemetery.

Legacy[edit] A theater in Paris that he ran briefly as the "Théâtre Tristan-Bernard" in 1931 was later given the name permanently to honor him.

His descendants have achieved some fame. His son Raymond Bernard became an influential French filmmaker (using as scripts a number of works authored by his father) while his son Jean-Jacques Bernard published a memoir of his father in 1955 titled Mon père Tristan Bernard (My Father, Tristan Bernard). Tristan Bernard's grandson Christian Bernard is the current Imperator of the Rosicrucian organization AMORC. One of his grand-nephews is Francis Veber, a screenwriter, director and playwright whose films have been frequently remade or adapted in Hollywood.

Works[edit] Plays[edit] Les Pieds nickelés (1895) L'Anglais tel qu'on le parle (1899) Triplepatte (1905) Les Jumeaux de Brighton (1908) The Little Cafe (Le petit café) (1911) Narrative works[edit] Vous m'en direz tant (1894) collaboration with Pierre Veber Contes de Pantruche et d'ailleurs (1897) Sous toutes réserves (1898) Mémoires d'un jeune homme rangé (1899) Amants et voleurs (1905) L'Affaire Larcier (1924) Robin des bois (1935) Un mari pacifique Aux abois


Biographie de Tristan Bernard

Tristan Bernard, de son véritable nom Paul Bernard est né à Besançon le 7 septembre 1866 dans une famille juive alsacienne. Il est né dans la même rue que Victor Hugo, la Grande-Rue, « lui au 138 et moi, plus modestement au 23 ».
Tristan Bernard quitte Besançon pour Paris à l’âge de quatorze ans et fait ses études au lycée Condorcet, puis à la faculté de Droit. Sa carrière d’avocat est très brève. Il travaille un temps dans l’usine de son père puis collabore à partir de 1891 à la Revue Blanche. Cette revue fondée en 1889 par les frères Natanson rassemble pendant dix ans la plupart des écrivains, peintres, musiciens, hommes politiques, intellectuels les plus marquants de la fin du XIXe siècle et du début du XXème siècle.
Joueur, il mise un jour sur un cheval portant le nom de Tristan. Le cheval gagne la course, lui rapporte une importante somme d’argent : il prend alors le nom du cheval pour signer ses articles.
Passionné par le sport, il devint, en 1894, directeur sportif du Vélodrome Bussalo, et rédacteur en chef du Journal des Velocipédistes.

Tristan Bernard. (auteur)
En 1894, il publie en collaboration avec Pierre Veber Un recueil de fantaisies, Vous m’en direz tant ! Il rédige, seul, un journal éphémère : Le Chasseur de Chevelures (Moniteur du Possible) . En 1894 également il publie Vous m’en direz tant son premier recueil de contes (en collaboration avec Pierre Veber). En 1895, sa première pièce, Les Pieds nickelés, remporte un grand succès, au Théâtre de L’Œuvre.
En 1904, il fait partie de la première rédaction de L’Humanité, le journal de Jean Jaurès et contribue en 1917 aux débuts du Canard enchaîné.
Tristan Bernard est aujourd’hui principalement connu pour ses bons mots. Il a écrit 21 romans, dont plusieurs romans policiers. En 1899, il publie Mémoires d’un jeune homme rangé, titre que Marguerite Youcenar féminisera pour le premier volet de son oeuvre autobiographique.
Tristan Bernard a écrit près de 70 pièces, principalement des vaudevilles fantaisistes et des comédies de mœurs. L’anglais tel qu’on le parle a été représenté à la Comédie-Française le 1er janvier 1907, huit ans après sa création à la Comédie-Parisienne.

Lien vers le théâtre de Tristan Bernard sur Libre Théâtre :http://libretheatre.fr/theatre-de-tristan-bernard/

Tristan Bernard, Homme de Lettres
Pendant l’Occupation, il se réfugie à Cannes où il vit à l’hôtel Windsor. Il est arrêté par les Allemands en 1943 et interné au camp de Drancy ; à son départ pour le camp, il a cette phrase : « Jusqu’à présent nous vivions dans l’angoisse, désormais, nous vivrons dans l’espoir. »
Il est libéré trois semaines plus tard grâce à l’intervention de Sacha Guitry et d’Arletty. Il refuse une première fois sa libération, ne voulant pas laisser sa femme, Mamita ; ils sortent finalement tous les deux quelques jours après. Son petit-fils, François, arrêté comme résistant, est déporté à Mauthausen et y meurt ; Tristan Bernard ne se remettra jamais de cette disparition.
Tristan Bernard meurt à Paris le 7 décembre 1947.

Il convient de lire le très bel hommage que lui a rendu Roland Dorgelès, dans la Revue des Deux Mondes parue le 1er juillet 1952. Lien vers l’article sur le site de la Revue des Deux Mondes : https://www.revuedesdeuxmondes.fr/article-revue/tristan-bernard-ou-...

Pour en savoir plus:

Interview de Tristan Bernard. Interviewé à Deauville où il prend ses vacances Tristan BERNARD évoque des souvenirs de 1874 à Trouville. Il fait une digression sur Victor HUGO originaire comme lui de Besançon puis en revient à sa fidélité à la côte normande. Il se souvient des séjours chez Lucien GUITRY, parle de Jules RENARD et de leurs parties de poker. Il aime le sport, en particulier le golf et dit son amitié pour le boxeur Georges CARPENTIER. Sur le site de l’INA : https://www.ina.fr/audio/PHD86068918

Tristan Bernard, formidable conteur du sport, Emission L’Œil du Tigre de France inter, du 4 juin 2017, sur le site de France Inter : https://www.franceinter.fr/emissions/l-oeil-du-tigre/l-oeil-du-tigr...

Tristan Bernard par Dorgelès : «Il était noble sans emphase et simple avec grandeur», Le Figaro du 7 septembre 1966 :http://www.lefigaro.fr/histoire/archives/2017/12/06/26010-20171206A....

Tristan Bernard dans le domaine public sur le Blog de Gallica

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Paul dit Tristan Bernard's Timeline

1866
September 7, 1866
Besançon, Doubs, Franche-Comté, France
1888
July 30, 1888
Enghien-les-Bains, Val-d'Oise, Île-de-France, France
1891
October 10, 1891
8ème arrondissement, Paris, Paris, Île-de-France, France
1893
September 28, 1893
17ème, Paris, Paris, Île-de-France, France
1947
December 7, 1947
Age 81
Paris, Paris, Île-de-France, France