Reina Consorte María Ana Margarita of Habsburg-Spain, Holy Roman Empress, German Queen, Queen consort of Hungary and B

Linz, Ôsterreich, Deutschland(HRR)

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Reina Consorte María Ana Margarita of Habsburg-Spain (Habsburg-Lothringen), Holy Roman Empress, German Queen, Queen consort of Hungary and B

Also Known As: "Of Austria /Anne/", "Ana Maria Mauricia", "also known as Maria Anna of Austria", "Infanta of Spain", "Archduchess of Austria", "and after marriage", "The Holy Roman Empress and Queen of Hungary"
Birthdate:
Birthplace: Valladolid, Espagña
Death: May 13, 1646 (39)
Linz, Ôsterreich, Deutschland(HRR)
Place of Burial: Wien, Ôsterreich, Deutschland(HRR)
Immediate Family:

Daughter of Felipe III de España y Portugal and Margaret of Austria
Wife of Ferdinand III von Habsburg, Kaiser
Mother of Ferdinand IV von Habsburg, König von Ungarn und Kaiser des Heiligen Römischen Reiches Deu; Mariana de Austria, Reina consorte de España; Philipp August von Österreich Habsburg; Maximilian Thomas von Österreich Habsburg; Leopold I von Österreich, Kaiser HRR and 1 other
Sister of Anne of Austria; Maria Francisca de Austria y Austria Estiria, Princess of Spain; Philip IV, King of Spain and Portugal; Carlos de Austria y Austria, Infante de España; Fernando de Austria, cardenal-infante and 2 others

Occupation: Мария-Ана Испанска, която става императрица на Свещената Римска империя, Governor of Brittany 1647-1666, Queen of France and Navarre 1615-1643, Queen/Empress consort, Archduchess of Austria, Inf
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About Reina Consorte María Ana Margarita of Habsburg-Spain, Holy Roman Empress, German Queen, Queen consort of Hungary and B

Anne d'Autriche (Ana Maria Mauricia), infante d'Espagne, née le 22 septembre 1601 à Valladolid et morte le 20 janvier 1666 à Paris d'un cancer du sein, fut reine de France et de Navarre de 1615 à 1643 en tant qu'épouse de Louis XIII.

Elle est la fille du roi Philippe III (1578-1621), roi d'Espagne (et autres terres) (1598-1621) et de l'archiduchesse Marguerite d'Autriche (1584-1611). Par sa naissance, elle porte les titres d'infante d'Espagne, infante de Portugal, archiduchesse d'Autriche, princesse de Bourgogne et princesse des Pays-Bas. Elle est la mère du Louis XIV, le « roi Soleil ».

Sommaire

1 Un mariage politique

2 L'épouse espagnole

3 La mésentente

3.1 Sous l'influence de la duchesse de Chevreuse

3.2 L'adversaire politique de Richelieu

3.2.1 Des époux profondément brouillés

3.2.2 La Reine entre deux feux

3.2.3 Rumeurs et réalités

4 Descendance

5 Régente

6 Inspirations littéraires et cinématographiques

7 Bibliographie

8 Voir aussi

9 Liens externes

Un mariage politique

Fiancée à l'âge de dix ans, en gage de l'alliance franco-espagnole voulue par Marie de Médicis, elle épouse, le 18 octobre 1615 à Burgos, Louis XIII, fils de Henri IV, roi de France et roi de Navarre, et de Marie de Médicis. Ce 18 octobre 1615, Louis XIII n'est pas physiquement présent à son mariage, mais représenté par le duc d'Uceda. Le même jour, à Bordeaux, Elisabeth, sœur de Louis XIII épouse l'infant Philippe, frère d'Anne, futur Philippe IV d'Espagne. Les princesses ont ensuite été "échangées" sur l'île des Faisans, située dans la Bidassoa, près d'Hendaye. Le mariage en France, d'Anne d'Autriche et Louis XIII, est célébré à Bordeaux le 21 novembre suivant.

Bien que les jeunes mariés n'aient que quatorze ans, Marie de Médicis, alors régente, ne veut pas qu'on puisse remettre en question cette union et s'ingénie à ce que ce mariage soit immédiatement consommé, ceci, pour des raisons politiques. Cependant, du fait de l'inexpérience des mariés, la nuit de noces semble s'être assez mal passée.

Le jeune roi la vit comme une véritable humiliation. Il en gardera longtemps rancune contre sa mère, mais surtout, il ne s'approchera plus de son épouse pendant les trois années suivantes.

L'épouse espagnole

Installée dans les appartements du Louvre avec sa suite, Anne d'Autriche reçoît tous les égards dû à son rang mais est délaissée. D'une part, Marie de Médicis continue à porter avec hauteur le titre de reine de France, sans la moindre déférence à l'égard de sa belle-fille. D'autre part, Louis XIII continue à se désintéresser d'elle. Il est vrai que le roi a une nature complexe et sa timidité l'empêche de s'accorder avec elle. En outre, Anne d'Autriche n'est à ses yeux qu'une espagnole, c’est-à-dire une ennemie. Entourée par une petite cour peuplée d'une centaine de dames espagnoles, elle continue à vivre à la mode espagnole et son français est encore très hésitant. Anne éprouve ainsi des difficultés à communiquer avec sa nouvelle famille. Enfin, Anne d'Autriche partage avec son époux une timidité et une inexpérience qui n'arrangent pas la situation.

Il faut attendre le coup d'état de Louis XIII contre sa mère en 1617 pour voir les choses évoluer. Conscient du problème diplomatique et dynastique que cause l'indifférence du roi à l'égard de la reine, le duc de Luynes tente par tous les moyens d'y remédier. Tout d'abord, il fait chasser la cour espagnole d'Anne d'Autriche et fait remplacer les dames d'atours espagnoles par des françaises. Parmi elles, on trouve notamment la princesse de Conti, ou encore Marie de Rohan, la propre femme du duc de Luynes (la future duchesse de Chevreuse). Le duc organise des rendez-vous intimes entre Anne et le roi. Sous l'influence de Mme de Luynes, la reine commence à s'habiller et à se comporter comme une française. On lui fait porter des décolletés. Au printemps 1619, Luynes finit par forcer le roi à coucher avec la reine. A partir de ce moment, les relations entre Anne et Louis XIII ne cesseront de s'améliorer. L'amour que porte le roi pour Anne s'intensifie au point qu'il est au bord du désespoir lorsque Anne tombe gravement malade.

La mésentente

Sous l'influence de la duchesse de Chevreuse
Anne d'Autriche (portrait des années 1620)Après quelques années de bonheur, la mésentente s'installe à nouveau entre les souverains. Tout d'abord, Anne fait plusieurs fausses couches qui désenchantent le roi. Le 14 mars 1622, alors qu'elle jouait avec ses dames d'atours, Anne tomba dans un escalier et fit une fausse couche (c'était la deuxième). Louis XIII lui en veut, mais plus encore à Mme de Luynes impardonnable à ses yeux d'avoir entraîné la reine enceinte dans une telle imprudence. À partir de cette époque, le roi supporte de plus en plus mal l'influence déplorable que Mme de Luynes exerce sur Anne. L'antipathie de la duchesse pour le roi est réciproque et lourde de conséquence pour le couple royal. La situation se détériore d'autant plus que le duc de Luynes, responsable de l'entente conjugale, est mort et que le roi est complètement occupé par la guerre contre les protestants.

Anne devint complètement inséparable de la duchesse et défendit sa cause lors de son mariage avec son amant le duc de Chevreuse.

L'adversaire politique de Richelieu

Des époux profondément brouillés
La mésentente perdure entre les souverains, pour deux raisons.

La première est qu'Anne reste stérile pendant seize ans.

La seconde raison est la présence, au plus près du roi, de son ministre Richelieu, avec qui la reine ne s'entend pas car celui-ci mène la lutte contre la Maison d'Autriche dont elle est issue, mais surtout contre les Grands du royaume avec qui la reine s'entend.

Toujours sous l'influence néfaste de la duchesse de Chevreuse, la reine se laissa entraîner dans l'opposition, défiant la politique absolutiste du cardinal de Richelieu, nouveau premier ministre du roi à partir de 1624. La Chevreuse la compromet dans plusieurs complots contre celui-ci. Plusieurs rumeurs de trahison ont été portées à l'encontre de la reine, mais sans réel élément à charge, notamment concernant sa participation aux conspirations de Chalais puis de Cinq-Mars.

La Reine entre deux feux

En 1635, la France déclare la guerre à l'Espagne, plaçant Anne d'Autriche dans une position encore plus délicate. En effet, la correspondance secrète qu'elle entretient avec le roi d'Espagne Philippe IV, son frère, va au-delà des nécessités de la simple affection fraternelle. Deux ans plus tard, en août 1637, Anne est suspectée. Richelieu l'oblige à signer des aveux concernant cette correspondance, et son courrier est désormais ouvert. Son entourage est épuré (la trop remuante duchesse de Chevreuse est exilée) et ses sorties sont surveillées!

Anne d'Autriche et son fils Louis XIVMalgré ce climat de méfiance, la reine est enceinte peu après.

Rumeurs et réalités

La rumeur attribue ce rapprochement inespéré des deux époux à un orage providentiel qui, empêchant Louis XIII de rejoindre Saint-Maur, l'aurait forcé à passer la nuit chez la reine, au Louvre mais la chronologie dément cette rumeur puisqu'elle indique que le couple royal séjournait à Saint-Germain lors de la semaine du 23 au 30 novembre 1637 (semaine présumée de la conception de Louis XIV). Après 2 (ou 4) fausses couches, Louis Dieudonné (qui porte bien son nom) naît le 5 septembre 1638, à Saint-Germain-en-Laye. Mais cette naissance, suivie d'une deuxième, ne suffit pas à rétablir la confiance entre les deux époux.

Toujours au chapitre des rumeurs, de nombreux opuscules, le plus souvent hollandais (alors fortement hostiles à le France) affublent la Reine d'une liste impressionnante d'amants, parmi ceux ci:

Mazarin,

Un certain CDR (Cardinal de Richelieu),

un cettain CDB (Charles de Beaufort, gentilhomme de la Reine ou bien encore le Comte de Buckingam...)

D'Artagnan, L'homme au masque de fer, etc...etc.

La principale source de ces anecdotes réside un petit livre anonyme, assez rare imprimé à Cologne en 1692, sous ce titre: Les amours d'Anne d'Autriche, épouse de Louis XIII, avec M. le C. D. R., le véritable père de Louis XIV, roi de France; où l'on voit au long comment on s'y prit pour donner un héritier à la couronne, les ressorts qu'on fit jouer pour cela, et enfin le dénouaient de cette comédie.

Mais la troisième édition de ce libelle, imprimée en 1731, porte sur son titre le cardinal du Richelieu, au lieu des initiales C. D. R., mais on pense qu'il faut plutôt lire le comte de Rivière, ou, selon M. Paul Lacroix, le comte de Rochefort. On en tira l'induction que cet heureux amant pouvait bien être le prisonnier masqué. Lenglet-Dufresnoy, dans son "Plan de l'histoire générale et particulière de la monarchie française", publiée en 1754, en parlant de la disparition de François de Vendôme, duc de Beaufort (voir ce nom) devant Candie en 1669 en fait d'ailleurs L'homme au masque de fer...

En fait l'imaginaire populaire mais aussi littéraire devant une situation très particulière (intrigues multiples autour d'une reine délaissée) a donné libre cours à son imagination, et ce essentiellement pour des raisons de phantasmes ou de manœuvres politiques.

Descendance

Seuls deux enfants mâles sont issus de cette union :

Louis XIV (1638-1715), roi de France (1643-1715).

Philippe de France (1640-1701), duc d'Orléans (1660-1701)

Régente

Anne d'Autriche par Moncornet en 1660Lorsque Richelieu meurt le 4 décembre 1642, suivi par Louis XIII le 14 mai 1643, Anne d'Autriche est nommée Régente du royaume (1643-1651). Avec l'aide du chancelier Pierre Séguier, elle fait casser, par le Parlement de Paris, le testament de Louis XIII, qui limitait ses prérogatives. À la stupéfaction générale, elle nomme le cardinal Mazarin, déjà présent dans le Conseil de régence, comme son principal ministre. On la soupçonne d'ailleurs d'avoir ultérieurement contracté un mariage secret avec lui (sans qu'aucun élément probant fût jamais apporté, mais avec des indices). Son rôle politique ne s'arrêta pas à la majorité légale de Louis XIV en 1651, à 13 ans, mais dura tout le reste de la vie du cardinal Mazarin, après la mort duquel le roi s'empara réellement du pouvoir. Principal soutien de la Compagnie du Saint-Sacrement, elle se retira ensuite jusqu'à sa mort au Val-de-Grâce, bien que toujours tenue en grande vénération par son fils.

Inspirations littéraires et cinématographiques

On lui a prêté une intrigue amoureuse avec George Villiers de Buckingham, intrigue qui constitue une partie de la trame des Trois Mousquetaires, roman-feuilleton (1844) d'Alexandre Dumas. Mais là encore, rien ne fut jamais prouvé, en dehors des visibles assiduités de Buckingham à son égard et la grande piété de la Reine plaide plutôt pour une relation amicale ou un amour platonique.Son génie politique en tant que régente est traité dans le film de Roger Planchon: "Louis, enfant roi" (1992). Également, on prête à Anne d'Autriche une relation plus qu'intime avec le Mousquetaire D'Artagnan, laquelle intrigue est développée dans le film de Randall Wallace, L'Homme au Masque de fer (The Man in the Iron Mask) réalisé en 1998.

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Ana Maria Maurica von Habsburg, Princesa de España (1)

F, #101565, b. 22 September 1601, d. 20 January 1666

Ana Maria Maurica von Habsburg, Princesa de España was born on 22 September 1601 at Valladolid, Castile, Spain. (3) She was the daughter of Felipe III von Habsburg, Rey de España and Margarete Erzherzogin von Österreich.

She married Louis XIII, Roi de France, son of Henri IV, Roi de France and Marie de Medici, on 24 November 1615 at Bordeaux, Dauphine, France. (3) She died on 20 January 1666 at age 64 at The Louvre, Paris, France. (3) She was buried at Saint-Denis, Île-de-France, France. (3)

    Ana Maria Maurica von Habsburg, Princesa de España gained the title of Princesa Ana de España.1 As a result of her marriage, Ana Maria Maurica von Habsburg, Princesa de España was styled as Reine Anne de France on 24 November 1615. She held the office of Queen Regent of France between 1643 and 1651. (3)

Forrás / Source

http://thepeerage.com/p10157.htm#i101565


Maria Anna von Habsburg, Infanta de España

F, #103057, b. 1606, d. 1646

Last Edited=7 Mar 2007

Consanguinity Index=9.13%

Maria Anna von Habsburg, Infanta de España was born in 1606.

She was the daughter of Felipe III von Habsburg, Rey de España and Margarete Erzherzogin von Österreich.

She married Ferdinand III von Habsburg, Holy Roman Emperor, son of Ferdinand II von Österreich, Holy Roman Emperor and Maria-Anna Prinzessin von Bayern, in 1631. (2)

She died in 1646. (2)

    Maria Anna von Habsburg, Infanta de España gained the title of Infanta de España.

Children of Maria Anna von Habsburg, Infanta de España and Ferdinand III von Habsburg, Holy Roman Emperor

-1. Ferdinand IV Franz, King of Bohemia (2) b. 1633, d. 1654

-2. Maria Anne Erzherzogin von Österreich+ b. 24 Dec 1635, d. 1696

-3. Philip August von Habsburg b. 1637, d. 1639

-4. Maximilian Thomas Erzherzog von Österreich b. 1638, d. 1639

-5. Leopold I von Österreich, Holy Roman Emperor+ b. 9 Jun 1640, d. 5 May 1705

-6. Marie von Habsburg b. 1646, d. 1646

Forrás / Source

http://thepeerage.com/p10306.htm#i103057

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See also / Lásd még:

http://en.wikipedia.org/wiki/Maria_Anna_of_Spain

http://hu.wikipedia.org/wiki/Mária_Anna_spanyol_infánsnő


spanyol infánsnő


http://de.wikipedia.org/wiki/Maria_Anna_von_Spanien_%281606%E2%80%9...

Maria Anna von Spanien (1606–1646)

aus Wikipedia, der freien Enzyklopädie

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Diego Velázquez – Porträt der Infantin María von Österreich, Ölgemälde um 1628, Museo del Prado

Maria Anna von Spanien (spanisch: María Ana de Austria) (* 18. August 1606 in Real Sitio de San Lorenzo de El Escorial bei Madrid; † 13. Mai 1646 in Linz) war Infantin von Spanien und Portugal und durch Heirat Königin von Ungarn und Böhmen, sowie römisch-deutsche Kaiserin.

Inhaltsverzeichnis

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   * 1 Leben

* 2 Nachkommen
* 3 Vorfahren
* 4 Literatur
* 5 Weblinks
Leben [Bearbeiten]

Maria Anna war die älteste Tochter des spanischen König Philipp III. (1578–1621) und seiner Ehefrau Margarete von Österreich, dritte Tochter des Erzherzogs Karl II. von Innerösterreich-Steiermark.

Maria Anna von Spanien mit dem kleinen Ferdinand

Auf dem Wege nach Wien – mitten im Dreißigjährigen Krieg ein gefährliches Unternehmen – erfolgte am 26. Januar 1631 in Triest die feierliche Übergabe der Braut durch das spanische Gefolge an ihren Schwager Erzherzog Leopold Wilhelm von Österreich, der die Infantin nach Wien geleitete. Am 26. Februar 1631 heiratete die Infantin Maria Anna von Spanien in der Augustinerkirche zu Wien, den späteren römisch-deutschen Kaiser, Erzherzog Ferdinand III. von Österreich (1608–1657), dritter Sohn von Kaiser Ferdinand II. und Prinzessin Maria Anna von Bayern. Die anschließenden Hochzeitfeierlichkeiten zogen sich über einen Monat hin. Maria Anna war dem Kaiser eine zuverlässige Ratgeberin. Häufig begleitete sie ihren Gemahl auf Reisen, wurde aber auch mehrfach während der Abwesenheit Ferdinands III. von diesem zur Regentin bestellt.

Als junge Prinzessin war sie als Gemahlin des späteren Königs Karl I. von England ausersehen, der zusammen mit seinem Freund, dem Herzog von Buckingham nach Spanien reiste um seine Braut in Augenschein zu nehmen. Die Spanier widmeten diesem Ereignis ein Lied:

Carlos Estuardo soy, Que siendo amor mi guia, A cielo d'Espana voy, Per ver estrella Maria (deutsch: Karl Stuart bin ich, durch Liebe von weit hergebracht, unter den spanischen Himmel bin ich gekommen, um Maria zu sehen, meinen Stern)

Das Heiratsprojekt zerschlug sich, da Karl nicht katholisch werden und Maria keinen „Ketzer“ heiraten wollte. Kaiserin Maria Anna starb 1646 in Linz und wurde unter der Kapuzinerkirche in Wien bestattet.

Nachkommen [Bearbeiten]

Grab der Kaiserin Maria Anna

Die Ehe war eine jener wenigen politischen Ehen, die überaus glücklich wurden. Aus der gemeinsamen Ehe gingen sechs Kinder hervor:

   * Ferdinand IV. (HRR) (1633–1654)

* Maria Anna von Österreich (1634–1696) ∞ 1649 Philipp IV. (1605–1665) König von Spanien
* Philipp August (1637–1639)
* Maximilian Thomas (1638–1639)
* Leopold I. (HRR) (1640–1705) Kaiser des Heiligen Römischen Reiches
1. ∞ 1666 Margarita Teresa von Spanien (1651–1673)
2. ∞ 1673 Claudia Felizitas von Tirol (1653–1676)
3. ∞ 1676 Eleonore Magdalene Therese von der Pfalz (1655–1720)
* Maria (*/† 1646)
Literatur [Bearbeiten]
* Helmut Andics: Die Frauen der Habsburger; Wilhelm Heyne Verlag München (1997), ISBN 3-453-07034-8
* Richard Reifenscheid: Die Habsburger in Lebensbildern, Piper Verlag 2007, ISBN 978-3-492-24753-5
Weblinks [Bearbeiten]

Commons Commons: Maria Anna of Spain – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien

Diese Seite wurde zuletzt am 16. April 2010 um 12:57 Uhr geändert.


Anne of Austria

From Wikipedia, the free encyclopedia

Anne of Austria (September 22, 1601 - January 20, 1666) was Queen Consort of France and Navarre and regent for her son, Louis XIV of France. During her regency (1643–1651) Cardinal Mazarin served as France's chief minister.

Early Life

Anne was born in Valladolid, Spain and baptised Ana Maria Mauricia, as the daughter of Habsburg parents, Philip III, king of Spain, and Margaret of Austria. She bore the titles of infanta of Spain and of Portugal, archduchess of Austria, princess of Burgundy and of the Low Countries.

Anne was bethrothed at the age of ten, and on November 24, 1615, at Burgos she was married by proxy to King Louis XIII of France (1601-1643), part of the Bourbon Dynasty, a purely political match. On the same day, at Bordeaux, Elisabeth of Bourbon, sister of Louis XIII married, also by proxy, the infante Philip, brother of Anne, destined to become Philip IV of Spain.

These marriages followed a tradition of cementing military and political alliances between the Catholic powers of France and Spain with royal marriages. The tradition went back to the marriage of King Philip II of Spain with the French princess, Elisabeth of Valois, the daughter of King Henry II of France, in 1559 as part of the Peace of Cateau-Cambrésis. Like hostages, the two princesses were exchanged on the Isle of Pheasants in the river Bidassoa that divides France and Spain, near Hendaye.

Marriage to Louis XIII

The marriage began badly, with the fourteen-year-old couple forced to consummate the marriage, to forestall any possibility of future annulment. Although installed with all propriety in her own suite of apartments in the Louvre, Anne was ignored. Louis' mother, Marie de' Medici, continued to conduct herself as Queen of France, without any deference to her daughter-in-law, while the timid and private young king appeared profoundly uninterested. As a Spaniard, among her entourage of high-born Spanish ladies-in-waiting, Anne was out of the mainstream of French culture; she continued to live according to Spanish etiquette and failed to improve her stilted French.

In 1617, Louis conspired with Charles d'Albert, duc de Luynes to dispense with the influence of his mother in a virtual palace coup d'état, having her favorite Concino Concini assassinated on April 26 of that year. During the years he was in the ascendancy, the duc de Luynes attempted to remedy the formal distance between Louis and his queen. He sent away the Spanish ladies and replaced them with French ones, notably the princesse de Conti and Marie de Rohan-Montbazon, his wife, and organized court events that would bring the couple together under amiable circumstances. Anne began to dress in the French manner, and in 1619 Luynes pressed the King to bed his Queen: some affection developed, to the point where it was noted that Louis was distracted during a serious illness of the Queen.

A series of miscarriages disenchanted the King and served to chill their relations. On 14 March 1622, while playing with her ladies, Anne fell on a staircase and suffered her second miscarriage, for which Louis blamed her and was angry with Mme de Luynes for having encouraged the Queen in what was seen as negligence. Henceforth, the King had less tolerance for the influence the duchesse de Luynes had over Anne, and the situation deteriorated after the death of Luynes (December 1621). The King's attention was monopolized by his war against the Protestants, while the Queen defended the remarriage of her inseparable companion, center of all court intrigue, to her lover, the duc de Chevreuse, in 1622.

Louis turned now to Cardinal Richelieu as his advisor; Richelieu's foreign policy of struggle against the Habsburgs, who surrounded France on two fronts, inevitably created tension between himself and Anne, who remained childless for another sixteen years, while Louis depended ever more on Richelieu, who was his first minister from 1624.

Under the influence of la Chevreuse, the Queen let herself be drawn into political opposition to Richelieu and became embroiled in several intrigues against his policies. Vague rumors of betrayal circulated in the court, notably her supposed involvement with the conspiracies of the comte de Chalais that La Chevreuse organized in 1626, then of the king's treacherous lover, Cinq-Mars, who had been introduced by Richelieu.

In 1635, France declared war on Spain, placing the Queen in an untenable position. Her secret correspondence with her brother Philip IV of Spain passed beyond the requirements of sisterly affection. In August 1637, Anne was suspected, with enough cause that Richelieu forced her to sign covenants regarding her correspondence, which was henceforth open to inspection. The duchesse de Chevreuse was exiled and close watch was kept on the Queen.

[edit]Birth of an Heir

Surprisingly, in such a climate of distrust, the Queen was soon pregnant once more, a circumstance that contemporary gossip attributed to a single stormy night that prevented Louis from travelling to Saint-Maur and obliged him to spend the night with the queen[1]. The Dauphin Louis Dieudonné was born on 5 September 1638, securing the Bourbon line.

The birth soon afterwards of a second son failed to reestablish confidence between the royal couple.

Richelieu made Louis a gift of his palatial hôtel, the Palais Cardinal, north of the Louvre in 1636, but the King never took possession: Anne fled the Louvre to install herself there with her two small sons, and remained as Regent (hence the name Palais-Royal the structure still carries) Louis tried to prevent Anne from obtaining the regency after his death, which came in 1643, not long after that of Richelieu.

[edit]Regent of France

Anne was named regent upon her husband's death. With the aid of Pierre Séguier, she had the Parlement de Paris break the will of the late king, which would have limited her powers. Their four-year-old son was crowned King Louis XIV of France. Anne assumed the regency but to general surprise entrusted the government to the chief minister, Jules Cardinal Mazarin, who was a protegé of Richelieu and figured among the council of the regency. Mazarin left the hôtel Tuboeuf to take up residence at the Palais Royal near Queen Anne. Before long he was believed to be her lover, and, it was hinted, even her husband.

[edit]Later Life

With Mazarin's support, Anne overcame the revolt of aristocrats, led by Louis II de Bourbon, Prince de Condé, that became known as the Fronde. In 1651, when her son Louis XIV officially came of age, her regency legally ended. However, she kept much power and influence over her son until the death of Mazarin. In 1659, the war with Spain ended with the Treaty of the Pyrenees. The following year, peace was cemented by the marriage of the young King to Anne's niece, the Spanish Habsburg princess Maria Theresa of Spain.

In 1661, on the death of Mazarin, Anne, always a principal patron of the Compagnie du Saint-Sacrament, retired to the Compagnie's convent of Val-de-Grâce where she later died of breast cancer.

Her lady-in-waiting, Madame de Motteville wrote the story of the queen's life in her Mémoires d'Anne d'Autriche. Many view her as a brilliant and cunning woman and she is one of the central figures in Alexandre Dumas, père's novel, The Three Musketeers.


http://de.wikipedia.org/wiki/Anna_von_%C3%96sterreich_%281601%E2%80...

nna von Österreich (1601–1666)

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Anna von Österreich

Anna als Infantin von Spanien

Anna mit ihren Söhnen, 1646

Anna Maria Mauricia von Spanien, genannt von Österreich gemäß ihrem spanischen Namen Ana de Austria bzw. ihrem späteren französischen Namen Anne d'Autriche (* 22. September 1601 in Valladolid; † 20. Januar 1666 in Paris) war eine spanisch-portugiesische Infantin und Erzherzogin von Österreich aus dem Hause Habsburg sowie ab 1615 Königin und von 1643 bis 1651, als Mutter des noch minderjährigen Ludwig XIV., Regentin von Frankreich.

Inhaltsverzeichnis

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   * 1 Leben

* 2 Vorfahren
* 3 Literatur
* 4 Weblinks
* 5 Einzelnachweise
Leben [Bearbeiten]

Ihr Vater war Philipp III. von Spanien, ihre Mutter Margarete von Österreich.

Am 21. November 1615 wurde sie mit dem jungen französischen König Ludwig XIII. in der Kathedrale Saint-André in Bordeaux getraut. Maria de’ Medici, Ludwigs Mutter, hatte diese Verbindung auf Anregung ihres Beraters Concino Concini arrangiert. Anna und Ludwig XIII. waren ein Paar, das unterschiedlicher nicht sein konnte: Er bevorzugte die Jagd, sie war dem Theater, dem Tanz und der leichten Muse zugetan.

Nachdem drei Fehlgeburten am Anfang der Ehe die Hoffnung auf einen Thronfolger aussichtslos erscheinen ließen, wurde Anna von Ludwig mit Nichtachtung gestraft. Später wurden ihr Affären mit hohen Adligen nachgesagt, wie Henri II. de Montmorency und George Villiers, Herzog von Buckingham, was allerdings unwahrscheinlich ist, da sie als Königin einer strengen sozialen Kontrolle unterlag.

Als Habsburgerin und fromme Katholikin war Anna entsetzt, als Kardinal Richelieu Frankreich 1635 in den Krieg gegen Spanien und an der Seite protestantischer Fürsten gegen die kaiserlich-katholische Partei in Deutschland führte.

Nach dreiundzwanzig Jahren kinderloser Ehe in wachsender Verbitterung hatte Anna am 5. Dezember 1637 eine schicksalhafte Begegnung mit ihrem Mann. Dieser, der eigentlich auf dem Weg in sein Jagdschloss bei Versailles war, musste wegen eines Unwetters seine Fahrt unterbrechen und übernachtete im Pariser Louvre, wo sich die Königin für den Winter eingerichtet hatte. Zur damaligen Zeit wurden nur diejenigen herrschaftlichen Räume in Schlössern beheizt, die auch bewohnt wurden. Der König sah sich also gezwungen, das einzige warme Schlafzimmer aufzusuchen: das der Königin. Neun Monate später brachte Anna am 5. September im Alter von knapp 37 Jahren ihr erstes gesundes Kind zur Welt, den späteren König Ludwig XIV. Zwei Jahre später, am 21. September 1640, gebar sie einen zweiten Sohn, Philipp. Damit war ihre Position am Hof gesichert und sie musste nicht mehr mit der Abschiebung in ein Kloster rechnen.

So glücklich der König über die Geburt des Stammhalters war, so offensichtlich war er bald eifersüchtig angesichts der Zuneigung seines Sohnes zur Mutter. Er machte ihr Vorwürfe, sie nehme diesen gegen ihn ein.

Am 4. Dezember 1642 starb der Anna verhasste Kardinal Richelieu. Doch auch der Gesundheitszustand des Königs verschlechterte sich rasch. Vor seinem Tod am 14. Mai 1643 verfügte er testamentarisch, dass nicht Anna die Regentschaft für den noch minderjährigen Ludwig XIV. ausüben sollte, sondern ein Regentschaftsrat. Sie ließ jedoch vom Obersten Pariser Gerichtshof, dem Parlement, die betreffende Klausel des Testaments annullieren und beseitigte so den Regentschaftsrat. Als ersten Minister behielt sie den von Ludwig XIII. selbst als Nachfolger Richelieus eingesetzten Kardinal Jules Mazarin, der auch Pate des jungen Königs war.

Ihre ersten politischen Entscheidungen sorgten für Aufsehen. Anstatt mit ihrem Bruder Philipp Frieden zu schließen, führte sie den Krieg gegen Spanien weiter, nachdem die französischen Truppen am 19. Mai 1643 bei Rocroi in den Ardennen einen entscheidenden Sieg erzielt hatten.

Allerdings wurden Anna und der beim Adel wie beim Volk verhasste Mazarin mit Aufständen innerhalb Frankreichs konfrontiert, beispielsweise der 1648 beginnenden Fronde.

Annas Regentschaft endete offiziell, als Ludwig XIV. 1651 mit dreizehn Jahren für volljährig erklärt wurde. Doch übten sie und Mazarin auch weiterhin die Macht aus. 1652 sah Anna sich auf Druck der „Frondeure“ gezwungen, Mazarin zu entlassen, der ins Exil nach Brühl bei Köln ging, sie von dort aus aber weiter beriet und 1653 zurückkehren konnte.

Nachdem Frankreich seine kriegerischen Aktivitäten in Deutschland mit dem Westfälischen Frieden 1648 beendet hatte, schloss es 1659 auch den sog. Pyrenäen-Frieden mit Spanien. Bei der Unterzeichnung des Friedensvertrags auf der Fasaneninsel im spanisch-französischen Grenzfluss Bidasoa sah Anna erstmals seit 1615 ihren Bruder Philipp IV. wieder. Das Treffen war allerdings eher kühl, verständlicherweise, denn Spanien musste Gebiete an Frankreich abtreten. Immerhin wurde beim Friedensschluss die Eheschließung ihres Sohnes Ludwig mit ihrer Nichte, der Infantin Maria Theresia von Spanien, vereinbart, die 1660 stattfand. Als nach dem Tod Mazarins 1661 Ludwig die Regierungsgeschäfte selbst übernahm, zog sich Anna nach und nach vom Hof zurück und lebte meist im Kloster Val-de-Grâce am südlichen Stadtrand von Paris. Am 20. Januar 1666 starb sie an Brustkrebs.

Anna galt als eine der schönsten Frauen ihrer Zeit, sie hatte „die meist bewunderten und unzählig Male besungenen Hände ihrer Zeit“[1]. Mit ihrem Sohn Ludwig verband sie ein sehr inniges Verhältnis. Wenn sie unter sich waren, wurde sie von ihm nicht, wie nach der Etikette üblich, „Madame“, sondern „Maman“ genannt. Ihrer Regentschaft sind die beiden Werke Rodogune von Pierre Corneille (1644, publ. 46/47) und Gabriel Gilbert (1646) gewidmet, die sie der Partherprinzessin Rhodogune vergleichen.[2]

Literatur [Bearbeiten]

   * Thea Leitner: Habsburgs verkaufte Töchter. 8. Auflage. Piper, München 1999, ISBN 3-492-21827-X .

* Anka Muhlstein: Königinnen auf Zeit. 1. Auflage. Insel, Frankfurt am Main 2005, ISBN 3-458-34832-8.
Weblinks [Bearbeiten]

Commons Commons: Anna von Österreich – Album mit Bildern und/oder Videos und Audiodateien

   * Literatur von und über Anna von Österreich (1601–1666) im Katalog der Deutschen Nationalbibliothek (Datensatz zu Anna von Österreich (1601–1666) • PICA-Datensatz • Apper-Personensuche)

* Druckschriften von und über Anna von Österreich (1601–1666) im VD 17
Einzelnachweise [Bearbeiten]

  1. ↑ Leitner, S. …

2. ↑ Michael Wenzel: Heldinnengalerie – Schönheitengalerie. Studien zu Genese und Funktion weiblicher Bildnisgalerien 1470–­1715. Dissertation Philosophisch-­historische Fakultät der Ruprecht-Karls-Universität, Heidelberg, Anmerkung 259, S. 86 (Webdokument. Abgerufen am 6. Januar 2009 (ps)).
Vorgängerin

Maria von Medici

Königin von Frankreich und Navarra

1615 – 1643 Nachfolgerin

Maria Theresia von Spanien

Normdaten: PND: 118649469 – weitere Informationen | LCCN: n80153910 | VIAF: 72187556

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Maria Anna of Spain

From Wikipedia, the free encyclopedia

Maria Anna (18 August 1606 – 13 May 1646), also known as Maria Anna of Austria, Infanta of Spain, Archduchess of Austria, and after marriage, The Holy Roman Empress and Queen of Hungary, was the youngest daughter of King Philip III of Spain and Margaret of Austria.

She was a younger sister of Anne of Austria, queen consort of Louis XIII of France, and Philip IV of Spain. She was also an older sister of Cardinal-Infante Ferdinand.

In the early 1620s, James I of England envisioned Maria Anna as a possible bride for his son and heir, the future Charles I of England and Scotland. Charles even visited Madrid to meet the young Maria Anna. This romantic endeavor of the future king of England is set forth in the fictional Captain Alatriste by Arturo Pérez-Reverte published first in English in 2005. However negotiations failed, and Charles eventually married Henrietta Maria of France.

She was married instead to her first cousin, the future Ferdinand III, then the titular king of Hungary, on 20 February 1631. They were parents to six children:

Ferdinand IV of Hungary (8 September 1633–9 July 1654).

Mariana of Austria (23 December 1634–16 May 1696). Married her maternal uncle Philip IV of Spain. They were parents to Charles II of Spain, degenerate last Habsburg monarch of Spain.

Philip August, Archduke of Austria (1637–1639).

Maximilian Thomas, Archduke of Austria (1638–1639).

Leopold I, Holy Roman Emperor (9 June 1640–5 May 1705).

Maria of Austria (1646).

During the Thirty Years War, the imperial family moved to Linz, where she died of poisoning during her last pregnancy. The child she was carrying, Maria, was still alive, and was born by cesarean section, but died soon after. Mother and daughter were buried together in a single coffin.

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Reina Consorte María Ana Margarita of Habsburg-Spain, Holy Roman Empress, German Queen, Queen consort of Hungary and B's Timeline

1606
August 18, 1606
Valladolid, Espagña
August 18, 1606
- February 20, 1631
Madrid, Madrid, Community of Madrid, Spain
September 18, 1606
El Escorial, Madrid, Madrid, Community of Madrid, Spain
1631
February 20, 1631
- May 13, 1646
Age 24
Prague, Hlavní město Praha, Prague, Czech Republic
February 20, 1631
- May 13, 1646
Age 24
Budapest, Budapest, Budapest, Hungary
1633
September 8, 1633
Wien, Ôsterreich, Deutschland(HRR)
1634
December 24, 1634
Wien, Österreich, Deutschland (HRR)
1637
February 15, 1637
- May 13, 1646
Age 30
Vienna, Vienna, Austria
February 15, 1637
- May 13, 1646
Age 30
Borginia, Borginia, Santa Islands