Félicité du Crest de Saint Aubin, comtesse de Genlis

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Individual Note

Madame de GENLIS, préceptrice de Louis-Philippe d'Orléans, harpiste de talent, auteur de nombreux ouvrages d'éducation, animatrice d'un salon littéraire. Elle eut une fille ???deux filles ??? de Philippe Egalité.... D'autres prétendent qu'elle n'aurait pas eu plusieurs enfants de Philippe Égalité. Mais est-ce parce que les descendants ne souhaitent pas avoir de régicides parmis leurs ancêtres; Faut-il alors qu'ils cachent ces liaisons peu recommandables ?

Les avis sont très partagés .... sur le personnage ... Jacques Bernot ("La fortune disparue du roi Louis Philippe" p.64) cite Anne Pierre de Montesquiou qui s'était entremis pour aider Louis Philipe en exil en Suisse ... ("une duêgne qui est d'une habileté rare pour s'emparer de l'argent d'autrui") l'accusant de d'avoir intrigué auprès des banquiers anglais séquestrant les biens que leur avaient confiés Philippe Egalité ( Edwars Wacquiers n'était -il pas ami du comte de Valence, gendre de cette dame ?) Edward FITZGERALD ? (gdt)

--- Fille d'un gentilhomme peu fortuné, élevée au château de Saint-Aubin, elle se dota elle-même d'une éducation solide, dans l'esprit des Lumières. A 16 ans, elle épousa Charles Brûlart de Genlis. Sa tante, Madame de Montesson, lui ouvrit les portes de la Cour Elle fut dame d'honneur de la duchesse d'Orléans, chargée d'élever ses enfants, dont la princesse Adélaïde et le futur Louis-Philippe. Elle recueillit en outre le fils de son portier, Casimir, ainsi que la belle orpheline, Pamela, prétendue être, à tort très probablement, la fille du duc d'Orléans (futur Philippe Egalité) et de sa relation avec lui. Acquise aux thèses révolutionnaires, "Madame de Genlis" devint "Citoyenne Brûlart" en 1789. Elle dut néanmoins émigrer, à cause de ses intrigues en faveur de Philippe Egalité. Revenue en France en 1800, Bonaparte l'accueillit favorablement Brillante causeuse, excellente musicienne, elle est souvent représentée jouant de la harpe. Ses dernières années furent pauvres, n'ayant aucun ordre et étant fort généreuse. Elle mourut dans la gêne, 3 mois après la Révolution de Juillet qui portait Louis-Philippe au pouvoir. Le roi et sa soeur la visitèrent jusqu'à la fin et lui firent de splendides funérailles. Elle fut enterrée au Père Lachaise dans un caveau édifié par ordre de Louis-Philippe.* Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: Nov 17 2019, 14:05:10 UTC

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Madame de GENLIS, préceptrice de Louis-Philippe d'Orléans, harpiste de talent, auteur de nombreux ouvrages d'éducation, animatrice d'un salon littéraire. Elle eut une fille ???deux filles ??? de Philippe Egalité.... D'autres prétendent qu'elle n'aurait pas eu plusieurs enfants de Philippe Égalité. Mais est-ce parce que les descendants ne souhaitent pas avoir de régicides parmis leurs ancêtres; Faut-il alors qu'ils cachent ces liaisons peu recommandables ?

Les avis sont très partagés .... sur le personnage ... Jacques Bernot ("La fortune disparue du roi Louis Philippe" p.64) cite Anne Pierre de Montesquiou qui s'était entremis pour aider Louis Philipe en exil en Suisse ... ("une duêgne qui est d'une habileté rare pour s'emparer de l'argent d'autrui") l'accusant de d'avoir intrigué auprès des banquiers anglais séquestrant les biens que leur avaient confiés Philippe Egalité ( Edwars Wacquiers n'était -il pas ami du comte de Valence, gendre de cette dame ?) Edward FITZGERALD ? (gdt)

--- Fille d'un gentilhomme peu fortuné, élevée au château de Saint-Aubin, elle se dota elle-même d'une éducation solide, dans l'esprit des Lumières. A 16 ans, elle épousa Charles Brûlart de Genlis. Sa tante, Madame de Montesson, lui ouvrit les portes de la Cour Elle fut dame d'honneur de la duchesse d'Orléans, chargée d'élever ses enfants, dont la princesse Adélaïde et le futur Louis-Philippe. Elle recueillit en outre le fils de son portier, Casimir, ainsi que la belle orpheline, Pamela, prétendue être, à tort très probablement, la fille du duc d'Orléans (futur Philippe Egalité) et de sa relation avec lui. Acquise aux thèses révolutionnaires, "Madame de Genlis" devint "Citoyenne Brûlart" en 1789. Elle dut néanmoins émigrer, à cause de ses intrigues en faveur de Philippe Egalité. Revenue en France en 1800, Bonaparte l'accueillit favorablement Brillante causeuse, excellente musicienne, elle est souvent représentée jouant de la harpe. Ses dernières années furent pauvres, n'ayant aucun ordre et étant fort généreuse. Elle mourut dans la gêne, 3 mois après la Révolution de Juillet qui portait Louis-Philippe au pouvoir. Le roi et sa soeur la visitèrent jusqu'à la fin et lui firent de splendides funérailles. Elle fut enterrée au Père Lachaise dans un caveau édifié par ordre de Louis-Philippe.

• Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: Nov 17 2019, 14:06:14 UTC